Les sept dormants d’Ephèse (ahl al kahf) sont les fameux personnages mentionnés à travers la sourate 18 « La Caverne » (qui porte sûrement ce nom du fait que ces sept personnages dormaient dans une grotte ou caverne, le mot arabe désignant ce lieu est Kahf et dont la Bible donne aussi le récit).
Le Coran donne un aperçu court de cette histoire (récitée des versets 9 à 26), et nous enseigne que ces « dormants » étaient de jeunes personnes, probablement des chrétiens d’après la plupart des exégètes du Coran et de la Bible, accompagnés de leur chien. Ces personnes suivaient donc les enseignements du prophète Issa (PBSL) et vivaient au 2ème Siècle de notre aire à une époque qui ne fut guère propice à la spiritualité ou à l’adoration d’Allah le Dieu Unique.
Afin de préserver leur foi ces gens se réfugièrent dans une grotte, fuyant ainsi les persécutions dont ils étaient l’objet de la part de l’empereur Dèce qui été plus qu’hostile au monothéisme et à tout culte autre que le culte polythéiste en cours à l’époque.
La Vision chrétienne du récit
L’histoire chrétienne retient que ces jeunes gens furent en fait des soldats officiant au palais de l’empereur Dèce (249-251), persécutés du fait de leur conversion au Christianisme. Alors que l’empereur s’absentait pour un voyage d’une durée indéterminé, les sept officiers (prénommés Maximilien, Malchius, Marcien, Denys, Jean, Sérapion et Constantin) décidèrent d’un commun accord de faire don de tous leurs biens aux pauvres de la cité d’Ephèse. Ils se rendirent par la suite à la montagne avoisinante pour s'y cacher.
Dès son retour, l’empereur les fait rechercher, et les trouvent endormis dans une grotte. Il décide alors de les emmurer vivant. Ce n'est que 150 ans plus tard, en 418, qu’un maçon, en ouvrant l’entrée de la grotte aurait découvert le corps des sept chrétiens, toujours endormis.
A leur réveil, ces derniers restant ébahis devant le miracle dont ils viennent d’être les acteurs. L’empereur chrétien Théodose II (408-450) voit alors dans ce miracle un signe de Dieu à l’encontre de ceux qui réfutent la résurrection des morts.
Cette histoire est rapportée par Jacques de Voragine (Varazze Italie, 1228 – Gênes Italie, 1298), chroniqueur italien et archevêque de Gênes dans son ouvrage latin, la Légende dorée.
Le Coran donne un aperçu court de cette histoire (récitée des versets 9 à 26), et nous enseigne que ces « dormants » étaient de jeunes personnes, probablement des chrétiens d’après la plupart des exégètes du Coran et de la Bible, accompagnés de leur chien. Ces personnes suivaient donc les enseignements du prophète Issa (PBSL) et vivaient au 2ème Siècle de notre aire à une époque qui ne fut guère propice à la spiritualité ou à l’adoration d’Allah le Dieu Unique.
Afin de préserver leur foi ces gens se réfugièrent dans une grotte, fuyant ainsi les persécutions dont ils étaient l’objet de la part de l’empereur Dèce qui été plus qu’hostile au monothéisme et à tout culte autre que le culte polythéiste en cours à l’époque.
La Vision chrétienne du récit
L’histoire chrétienne retient que ces jeunes gens furent en fait des soldats officiant au palais de l’empereur Dèce (249-251), persécutés du fait de leur conversion au Christianisme. Alors que l’empereur s’absentait pour un voyage d’une durée indéterminé, les sept officiers (prénommés Maximilien, Malchius, Marcien, Denys, Jean, Sérapion et Constantin) décidèrent d’un commun accord de faire don de tous leurs biens aux pauvres de la cité d’Ephèse. Ils se rendirent par la suite à la montagne avoisinante pour s'y cacher.
Dès son retour, l’empereur les fait rechercher, et les trouvent endormis dans une grotte. Il décide alors de les emmurer vivant. Ce n'est que 150 ans plus tard, en 418, qu’un maçon, en ouvrant l’entrée de la grotte aurait découvert le corps des sept chrétiens, toujours endormis.
A leur réveil, ces derniers restant ébahis devant le miracle dont ils viennent d’être les acteurs. L’empereur chrétien Théodose II (408-450) voit alors dans ce miracle un signe de Dieu à l’encontre de ceux qui réfutent la résurrection des morts.
Cette histoire est rapportée par Jacques de Voragine (Varazze Italie, 1228 – Gênes Italie, 1298), chroniqueur italien et archevêque de Gênes dans son ouvrage latin, la Légende dorée.
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