dans le coran on trouve souvent la phrase < les enfants d israel >isarel veut dire en hebreux prince de dieu.israel etait un profete sidna jacob et son oncle etait sidna isamel et son grand pere etait sidna ibrahim pere de la nation islamique et de la nation juive.en fait le profete avait 2 enfants ismael et isaak et isaak avait eu un fils qui s appelait jacob ( israel ).la mere se sidna isamel pere de la nation islamique s appelalit hagar et quand elle allait mourrir de soif en arabie saoudite allah lui donna une source (zem zem ) pour que elle ne meurt pas de soif dans le desert elle et son fils.
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ce que veut dire israel
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je vois que tu en sait plus que moi effectivement dans un texte de 1924 traduit de l hebreux israel veut dire fort contre dieu en reference a l ange que dieu a envoye a jacob pour lui barre la route et jacob lutta toute une journee contre cet ange que il fini par vaincre et dieu lui meme lui attribua ce nom israel (fort contre dieu )
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@chadli
Tu sais pour un nom propre datant de quelques milliers d'années il est difficile de retrouver une étymologie exacte d'autant que Yisraël est en hébreu alors que le gars en personne vaicut avant même que cette langue n'existât ... qui sais donc comment se prononçait son nom dans sa langue d'origine à l'époque ou il vivait et quel sens exact lui donner.
Il se pourrais bien que la tradition juive et rabbinique postérieure ai donnée à l'ancêtre éponyme du peuple d'Israël de telles orientations dans le but de le glorifier quitte à en faire un peu trop (genre combattre Dieu en duel et le battre) mais cela n'engage que els auteurs des ces choses là, pas le concerné ni son nom.
Ainsi, Y'aaqub (qlpssl) est aussi appelé Isrâïl par dieu dans le Coran ce qui signifie pour moi que son nom n'avais rien d'un blasphème à l'origine car autrement Dieu ne l'aurait pas repris non ?"L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]
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un ami ma dit en religioni lne faut pas chercher a tout savoir sinon tu t eloigne de la foi et donc moi maietanant j ai suivi son conseil d ailleurs meme si on vit 1000 ans il est impossible de tout connaitre.
ps. un con qui marche va plus loin que un intellectuel assis
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Envoyé par Chadliisrael veut dire en hebreux prince de dieu.
Ai, fils du dieu RA
ou prince du dieu RA
Israël est un mot composéun mensonge qui fait vivre est mieux qu’une vérité qui tue
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historiquement parlant ce nom apparait pour la 1ere fois
dans le texte du roi assyrien Salmanazar III datant du 854Av JC et désignant le roi Achab fils de Oumri l’israélien roi de Samarie
et une fois aussi dans un texte découvert dans la région de Moab a l’Est de la Jordanie datant du 9eme siècle Av JC écrit par Michii roi de Moab désignant Oumri occupants de ses terres et le décrivant comme roi d’Israël, Oumri est le fondateur du royaume de Samarieun mensonge qui fait vivre est mieux qu’une vérité qui tue
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Je crois que l'expression de taxi pour Tobrouk c :"Deux imbéciles qui marvhent vont plus vite qu'un intellectuel assis"
Enfin pour les musulmans la question c que fait un imbécile assis?
Sinon l'étymologie que j'ai concernant Israêl c : "que ton regne soit", ou "que ta puissance soit montrée"
Même si l'origine est égyptienne cela n'empècehe pas qu'il ya ait un sens en hébreu. Comme le Cor'an l'indique, Jesus a annoncé la venue du Prophète de l'Islam, et l'a nommé "Ahmad"; il serai étonnant que ce nom soit le même en Araméen."L'éternité c'est long surtout vers la fin" W.Allen
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Le nom de Jacob et son combat avec l'ange
Le cycle de Jacob se trouve, en gros, en Gn 25-40. Le nom « Jacob », en hébreu Ya'aqob, viendrait des anciennes langues mésopotamiennes qui sont de la même famille que l'hébreu, et signifierait « Que Dieu protège » (on reconnaît l'élément Ya qui renvoie au nom de Dieu). Le nom a été repris en grec et en latin, Jacobus, pour donner en français Jacques.
Les anciens aimaient s'amuser sur le nom de quelqu'un, mais il faut se garder d'y voir plus que ce que les auteurs ont voulu y mettre. Ainsi, les récits qui constituent le cycle de Jacob ne sont certainement pas historiques, mais plutôt légendaires ou anecdotiques. Cela est admis par tous les biblistes aujourd'hui. Cela ne signifie pas qu'il n'y ait pas un enseignement religieux ou un message. Ainsi, le nom de Jacob a été rapproché du mot hébreu 'aqeb signifie « talon ». On a alors composé le récit de Gn 25,26. On a encore rapproché ce nom du verbe 'aqab qui signifie « supplanter ». De là viennent les récits de Gn 27 où Jacob « supplante » son frère aîné Ésaü. Le récit n'y voit rien de mal, sinon l'accomplissement du plan de Dieu.
Le seul passage biblique qui se permet un certain jugement négatif sur ce qu'a fait Jacob est en Osée 12,4. Le Seigneur est en procès avec son peuple et il lui reproche ses péchés et les péchés de ses pères, selon le principe « tel père, tel fils ». Le prophète prend appui sur le récit de Gn 27.
Le combat de Jacob avec l'ange
Plusieurs des récits très anciens du livre de la Genèse sont « étiologiques ». On entend par là un récit ou une petite histoire qui veut expliquer une situation, une coutume, un nom, etc. Ainsi, le nom de Béer Shéva peut signifier en hébreu « le puits des sept » ou « le puits du serment ». On trouve un récit qui donne chacune de ces explications dans la Genèse (respectivement Gn 21,25-32 et 26,23-33). L'explication est simple. Comme pour aujourd'hui, les noms sont très anciens et on ne sait pas, ou on ne sait plus, pourquoi tel endroit porte tel nom. Alors, les sociétés orales des anciens aimaient composer un récit qui propose une explication. Les Amérindiens faisaient la même chose pour expliquer la forme d'une montagne ou d'un lac, par exemple.
Il semble bien que le récit du combat de Jacob avec l'ange (Gn 32,25-33) soit, lui aussi, un récit étiologique. Il s'agit bien d'un combat avec Dieu ; dans les récits très anciens, Dieu ou un ange, c'est pareil (voir Gn 18). Le récit entend expliquer comment Jacob a été surnommé Israël, qui signifie « Que Dieu lutte, se montre fort ». Si le nom d'Israël signifie cela, il faut donc qu'il y ait eu une lutte avec Dieu à un moment donné. Il y a peut-être aussi une autre étiologie au sujet de la mention de la hanche de Jacob (32,26.32). Au v. 26, le texte parle de « la paume de la cuisse ». S'agit-il des parties viriles, comme c'est souvent le cas dans la Bible (voir Gn 24,2)? Le texte veut-il dire que la force d'Israël est tempérée par une faiblesse congénitale? Une chose est certaine, c'est qu'après son combat avec Dieu, « Jacob boitait de la hanche » (voir le v. 32), ce qui signifie que le combat avait laissé des traces visibles ou perceptibles. Évidemment, il s'agit d'un récit assez mystérieux que l'aspect étiologique n'épuise probablement pas. Les relectures juives et chrétiennes qui y voient toute la vie spirituelle du croyant avec Dieu sont pleinement justifiées.
Hervé Tremblay, OP
Professeur au Collège dominicain de philosophie et de théologie (Ottawa)
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