Salam
j'ouvre ce sujet afin de lever le voile, sur les idées reçues véhiculées ici et là sur le rôle qu'a eu l'Islam face à l'esclavagisme.
En effet, je vais poster au fur et à mesure plusieurs documents historiques et vidéo de sources sûres afin de donner un autre aperçu différent des idées reçues de l'attitude de l'Islam face à l'esclavagisme.
Pour ainsi essayer de façon la plus juste d'enrayer cette propagande évangéliste qui sévit sur le web en accablant l'Islam et font tout pour détourner leur réelles intentions et pointer du doigt les musulmans qui d'après eux sont les principaux pourvoyeurs d'esclaves... ben voyons
Penchons nous d'abord sur les pays qui se sont enrichis et ont assis leur puissance économique sur plus de 350 ans soit 3 siècle esclavagisme des plus inhumain que cette ère ait jamais connu pire que l'hololaust et le communisme réuni :
Numéro 1 : Les Etats Unis d'Amérique
L’esclavage transforma l’Amérique en une puissance économique. L’exploitation des noirs comme main d’œuvre gratuite fit du Sud, la région la plus riche et la plus puissante sur le plan politique dans le pays.
La demande britannique de coton américain fit du tronçon sud de la rivière Mississippi la « Silicon Valley » de son époque, offrant la concentration la plus importante de millionnaires de la nation. Mais l’esclavage fut une entreprise nationale.
De nombreuses entreprises de Wall Street tels que JPMorgan Chase, New York Life et la désormais défunte Lehman Brothers firent fortune en investissant dans le commerce des esclaves, activité économique la plus rentable des 350 ans d’histoire de New York.
L’esclavage fut si important pour la ville que New York fut l’une des municipalités urbaines les plus pro-esclavage du Nord. Selon le magazine Harper’s (Novembre 2000), les États-Unis ont volé un montant estimé à 100 000 000 000 000 de dollars pour 222.505.049 heures de travail forcé entre 1619 et 1865, avec un intérêt composé de 6%.
Source: news.nationalgeographic.com
Numéro 2 : L'Angleterre
Entre 1761 et 1808, les commerçants britanniques transportèrent 1.428.000 captifs africains à travers l’Atlantique et empochèrent 96,5 millions de dollars (environ 13 milliards de dollars en valeur d’aujourd’hui) pour les vendre comme esclaves.
De 1500 à 1860, selon des estimations très modestes, environ 12 millions d’Africains furent vendus comme esclaves aux Amériques. Dans les seuls navires britanniques, 3,25 millions d’Africains furent expédiés. Ces voyages sont souvent très rentables. Par exemple, au XVII° siècle, la Royal Africa Company pouvait acheter une esclave africaine avec des marchandises commerciales à une valeur de 5 $ et la revendre aux Amériques 32 $, faisant un bénéfice net moyen de 38% par voyage.
Planteurs et marchands esclavagistes qui vendirent des esclaves et des produits issuss de esclavage furent parmi les personnes les plus riches du XVIII° siècle en Grande Bretagne, mais de nombreux autres citoyens britanniques bénéficièrent de l’industrie de la traite des êtres humains.
Les bénéfices provenant de l’esclavage furent utilisés pour doter Oxford, d’une splendide bibliothèque; pour construire une vingtaine de banques, dont la Banque de Londres et Barclays; et pour financer les expériences de James Watt, l’inventeur de la première machine à vapeur efficace.
En tant que principal catalyseur de la révolution industrielle, la traite négrière transatlantique fournit aux propriétaires d’usines faisant affaire dans les textiles, le fer, le verre et les armes à feu un méga-marché en Afrique de l’Ouest, où les marchandises furent négociés pour les esclaves. Birmingham avait plus de 4000 fabricants d’armes, avec 100.000 d’armes par an pour les marchands d’esclaves.
Le boom dans le secteur manufacturier fournit de nombreux emplois pour les gens ordinaires en Grande-Bretagne qui, en plus de travailler dans les usines, pouvaient être utilisées pour construire des routes et des ponts, ainsi que dans la chasse, l’exploitation minière, etc.
Source: bbc.co.uk Source: revealinghistories.org.uk
Numéro 3 : La France
Avec plus de 1,6 millions d’esclaves africains transportés vers les Antilles, la France est clairement un acteur majeur dans le commerce d’esclave.
Ses ports négriers contribuèrent grandement aux progrès économiques du pays au XVII° siècle. Beaucoup de ses villes de la côte ouest, comme Nantes, Lorient, La Rochelle et Bordeaux, construisirent leur richesse grâce aux principaux bénéfices du commerce triangulaire.
Entre 1738 et 1745, de Nantes, leader des ports négriers de France, 55 000 esclaves furent embarqué, dans 180 navires, pour le Nouveau Monde. De 1713 à 1775, près de 800 navires négriers partirent de Nantes.
À la fin des années 1780, Saint-Domingue, qui est aujourd’hui Haïti, est devenu la colonie la plus riche et la plus prospère des Antilles, en cimentant son statut de port vital dans les Amériques pour les marchandises et les produits à destination et à partir de la France et de l’Europe.
Le revenu et les taxes de la production de sucre esclavagiste est devenu une source importante du budget national français. Chaque année, plus de 600 bateaux visitèrent les ports d’Haïti pour transporter son sucre, café, coton, indigo, cacao et consommateurs européens.
Source : Mémorial de l’abolition de l’esclavage
seneweb
j'ouvre ce sujet afin de lever le voile, sur les idées reçues véhiculées ici et là sur le rôle qu'a eu l'Islam face à l'esclavagisme.
En effet, je vais poster au fur et à mesure plusieurs documents historiques et vidéo de sources sûres afin de donner un autre aperçu différent des idées reçues de l'attitude de l'Islam face à l'esclavagisme.
Pour ainsi essayer de façon la plus juste d'enrayer cette propagande évangéliste qui sévit sur le web en accablant l'Islam et font tout pour détourner leur réelles intentions et pointer du doigt les musulmans qui d'après eux sont les principaux pourvoyeurs d'esclaves... ben voyons
Penchons nous d'abord sur les pays qui se sont enrichis et ont assis leur puissance économique sur plus de 350 ans soit 3 siècle esclavagisme des plus inhumain que cette ère ait jamais connu pire que l'hololaust et le communisme réuni :
Numéro 1 : Les Etats Unis d'Amérique
L’esclavage transforma l’Amérique en une puissance économique. L’exploitation des noirs comme main d’œuvre gratuite fit du Sud, la région la plus riche et la plus puissante sur le plan politique dans le pays.
La demande britannique de coton américain fit du tronçon sud de la rivière Mississippi la « Silicon Valley » de son époque, offrant la concentration la plus importante de millionnaires de la nation. Mais l’esclavage fut une entreprise nationale.
De nombreuses entreprises de Wall Street tels que JPMorgan Chase, New York Life et la désormais défunte Lehman Brothers firent fortune en investissant dans le commerce des esclaves, activité économique la plus rentable des 350 ans d’histoire de New York.
L’esclavage fut si important pour la ville que New York fut l’une des municipalités urbaines les plus pro-esclavage du Nord. Selon le magazine Harper’s (Novembre 2000), les États-Unis ont volé un montant estimé à 100 000 000 000 000 de dollars pour 222.505.049 heures de travail forcé entre 1619 et 1865, avec un intérêt composé de 6%.
Source: news.nationalgeographic.com
Numéro 2 : L'Angleterre
Entre 1761 et 1808, les commerçants britanniques transportèrent 1.428.000 captifs africains à travers l’Atlantique et empochèrent 96,5 millions de dollars (environ 13 milliards de dollars en valeur d’aujourd’hui) pour les vendre comme esclaves.
De 1500 à 1860, selon des estimations très modestes, environ 12 millions d’Africains furent vendus comme esclaves aux Amériques. Dans les seuls navires britanniques, 3,25 millions d’Africains furent expédiés. Ces voyages sont souvent très rentables. Par exemple, au XVII° siècle, la Royal Africa Company pouvait acheter une esclave africaine avec des marchandises commerciales à une valeur de 5 $ et la revendre aux Amériques 32 $, faisant un bénéfice net moyen de 38% par voyage.
Planteurs et marchands esclavagistes qui vendirent des esclaves et des produits issuss de esclavage furent parmi les personnes les plus riches du XVIII° siècle en Grande Bretagne, mais de nombreux autres citoyens britanniques bénéficièrent de l’industrie de la traite des êtres humains.
Les bénéfices provenant de l’esclavage furent utilisés pour doter Oxford, d’une splendide bibliothèque; pour construire une vingtaine de banques, dont la Banque de Londres et Barclays; et pour financer les expériences de James Watt, l’inventeur de la première machine à vapeur efficace.
En tant que principal catalyseur de la révolution industrielle, la traite négrière transatlantique fournit aux propriétaires d’usines faisant affaire dans les textiles, le fer, le verre et les armes à feu un méga-marché en Afrique de l’Ouest, où les marchandises furent négociés pour les esclaves. Birmingham avait plus de 4000 fabricants d’armes, avec 100.000 d’armes par an pour les marchands d’esclaves.
Le boom dans le secteur manufacturier fournit de nombreux emplois pour les gens ordinaires en Grande-Bretagne qui, en plus de travailler dans les usines, pouvaient être utilisées pour construire des routes et des ponts, ainsi que dans la chasse, l’exploitation minière, etc.
Source: bbc.co.uk Source: revealinghistories.org.uk
Numéro 3 : La France
Avec plus de 1,6 millions d’esclaves africains transportés vers les Antilles, la France est clairement un acteur majeur dans le commerce d’esclave.
Ses ports négriers contribuèrent grandement aux progrès économiques du pays au XVII° siècle. Beaucoup de ses villes de la côte ouest, comme Nantes, Lorient, La Rochelle et Bordeaux, construisirent leur richesse grâce aux principaux bénéfices du commerce triangulaire.
Entre 1738 et 1745, de Nantes, leader des ports négriers de France, 55 000 esclaves furent embarqué, dans 180 navires, pour le Nouveau Monde. De 1713 à 1775, près de 800 navires négriers partirent de Nantes.
À la fin des années 1780, Saint-Domingue, qui est aujourd’hui Haïti, est devenu la colonie la plus riche et la plus prospère des Antilles, en cimentant son statut de port vital dans les Amériques pour les marchandises et les produits à destination et à partir de la France et de l’Europe.
Le revenu et les taxes de la production de sucre esclavagiste est devenu une source importante du budget national français. Chaque année, plus de 600 bateaux visitèrent les ports d’Haïti pour transporter son sucre, café, coton, indigo, cacao et consommateurs européens.
Source : Mémorial de l’abolition de l’esclavage
seneweb
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