Le refus de la condition de la femme en islam

[NowOrNever]

Phil....bonne lecture.....et mince ce Google garde trace de tout même les mot avec des chiffres ...c'est flippant

C'est dans ce fameux topic que Now s'est fait le biceps qu'elle exhibe si fièrement héhéhé

Mdrrrrrrr bachi....ça fait 5 minutes que je rigole de cette phrase....tu m'as achevée

We can do it

[veniziano]

Justement si je commencerai à énumérer les mots et expressions inventés par les chouyoukh, y aura du travail à faire. Exemple le mot "al 3a9ida" العقيدة qui n'a aucune citation au Coran tandis que le mot réel utilisé dans ce dernier est plutôt "al Imane" الإيمان.

[wiwla]

salam

afifa laibi (peintre) a démenti avoir écrit cette article

توضيح من الفنانة عفيفة لعيبي

وجهات نظر
تعقيباً على ما نشر هنا، وردتنا رسالة شخصية من الفنانة عفيفة لعيبي تؤكد: انه لا صلة لها، على الإطلاق، بالمقالة التي نشرتها العديد من المواقع الإلكترونية بعنوان (أنا لا أؤمن بكل ما ذكر في الكتب الدينية) وعملاً بحق الرد، ننشر ماورد من رد على لسان السيدة لعيبي.


وقبل ذلك من المفيد أن ننوِّه بأننا استفسرنا من كاتب المقالة المنشورة في وجهات نظر، وأكد انه يتحمل المسؤولية الأدبية والأخلاقية ويعتذر للسيدة إذا لم تكن هي الكاتبة.
وأكد بكل وضوح:
"إن كانت السيدة عفيفة لعيبي لم تكتب المقالة فكل ما ورد من تعريض بها وبالأفكار المنسوبة لها ساقط في محله دون شك، ولا قيمة له وهذا لا يضيرني فالحق مطلبي ولو كان ثمن ذلك سيفاً على رقبتي"
وإليكم، قراءنا الكرام، رد السيدة لعيبي الذي أرسلته إلى بريدنا الإلكتروني اليوم:
الأخوة الأفاضل لتحرير وجهات نظر، لقد نشرتم رداً لشخص يدعى ابو الحق على مقالة وقعت باسمي لم اكتبها انا، والظاهر ان هناك حملة تشهير يراد منها الإساءة لي كفنانة أو إنسانة، لقد كتبت لكل من نشر هذه المقالة باسمي ووضحت ان من كتبها ليس انا، ليس خوفا بل إحقاقا للحق وعدم سرقة جهود الآخرين، انا لست كاتبة ولا انشر مقالات ومن يعرفني شخصيا يعرف ان من كتبت هذه المقالة لا تمت بصلة بسيرة حياتي.
انا اعتقد ان هذا السلوك يدخل في خانة الإساءة للثقافة العراقية الشريفة وللمخلصين من المثقفين العراقيين والإلحاد هو اسهل الطرق وأرخصها للإطاحة بالمثالي.
أطالب ان يرفع اسمي من المقالة ونشر ردي هذه على صفحة مدونتكم هذه ولكم مني جزيل الشكر.
عفيفة العيبي
..
ونحن بدورنا، نقدم للسيدة اعتذارنا عن النشر، في حال حصول خطأ من جانبنا، رغم أننا بذلنا جهداً في التحقق منها قبل نشرها، ولم نجد أي نفي من السيدة من قبل، ونرجو ان يكون هذا التوضيح كافياً.
مع التقدير

[wiwla]

salam

concernant l'article !!

comme phil l'a écrit , ya un mélange de chaabane maa remdhane

je pense que l’écrivain de cet article est non musulman si on se refere a la conclusion , sur le fond tout est discutable

[Megane]

Pour moi peu importe finalement si c'est cette dame qui a écrit l'article ou une autre femme.
Il est criant de vérité, des vérités que les musulmans se forcent à ne pas voir.
Dire que c'est forcément un non musulman qui a écrit le texte c'est aller vite en besogne.

On ne peut pas dire que ce qui y est écrit n'est qu'un tissu de mensonges à moins d'être vraiment de mauvaise foi.


Je n'arrive pas à retrouver la vidéo de la saoudienne (Postée par Fortuna il y a quelques mois) qui disait à peu près la même chose et à visage découvert.
Il ne faut pas se mentir, beaucoup de femmes ont de plus en plus de mal avec les archaïsmes de l'Islam des origines.
On ne peut pas cacher éternellement certaines vérités sans risquer de se prendre le retour en pleine figure.

[Gingerman]

Voilà circulez y a rien à voir.

[Pangeen]

Dans les trois religions monothéistes, la condition de la femme est sensiblement la même. Elle varie légèrement d'une religion à une autre en fonction des différences par rapport à l'ancien testament.

Le socle fondateur de cette condition est l'histoire de la pomme interdite ( Adam a été éjecté du paradis parce que Ève sa femme lui avait fait manger le fruit interdit ). Cette faute la femme doit la payer éternellement. Tel est l'enseignement des trois religions monothéistes.

Remettre en cause cet enseignement, c'est remettre en cause le caractère sacré de la religion. L'admettre c'est se soumettre. Entre les deux, le cœur balance.

Pour se libérer, il faut franchir le cap. Sans détour, haut et fort il faut crier que ces écritures ne sont pas d'essence divines mais humaines. Une philosophie de caste pour le pouvoir. Un pouvoir sur les femmes et les esclaves.

P.

[absent]

phile ..

Phile ..

A ma connaissance , c'est une loi inventée
elle n'a pas de référence ni dans le coran, ni dans la sunna
je pense que c'est un jugement que la femme doit rester fi bit etta3a malgrè qu'elle soit dans une situation de nouchouz, je ne connais pas les détails et je ne sais pas si en Algérie ce genre de loi existe.

la loi existe chez nous et meme en occident je crois que s'etait pris en consideration mais vu autrement ..
quitté le domicile conjugal revet une sorte d'atteinte au contrat qui rassemble les deux conjoints et n'est pas sans consequences .. donc avant d'arriver a un point de non retour l'un des deux conjoints peu se plaindre de la desertion du domicile conjugal par son autre conjoint .. et c'est pas specifique a la femme ..

[absent]

pangeen ..

Le socle fondateur de cette condition est l'histoire de la pomme interdite ( Adam a été éjecté du paradis parce que Ève sa femme lui avait fait manger le fruit interdit ). Cette faute la femme doit la payer éternellement. [B]Tel est l'enseignement des trois religions monotheistes

peux tu nous dire ou l'islam nous inculque ce que tu viens de souligné ???

[sabahe]

Peut importe qui a ecrit ce texte
il faut reconnaître que la femme musulmane est brimée dans ses droits , surtout en ce qui concerne son droit de divorce , l'héritage et la garde des enfants en cas de divorce

Si on parle de la situation de la femme en Arabie saoudite , elle n'a même pas le droit de conduire , de voyager seule et de travailler

En iran et en Afghanistan , les femmes sont cachées sous leurs burqa , dites moi pas qu'elles aiment Ca !

Donc oui , Ya une part de vérité dans ce texte

[said2010]

Le socle fondateur de cette condition est l'histoire de la pomme interdite ( Adam a été éjecté du paradis parce que Ève sa femme lui avait fait manger le fruit interdit ). Cette faute la femme doit la payer éternellement. Tel est l'enseignement des trois religions monothéistes.

Cher Pangeen,
Détrompez-vous, mon cher ami, en Islam dans la création divine infinie, l’homme n’est qu'un être parmi une multitude de créatures dont la majorité nous est totalement inconnue parvenue dans un concept de "paire" ou de "couple" appelée "parité" qui désigne généralement le mâle et la femelle."Louange à Celui qui a créé tous les couples, de ce que la terre fait pousser, d'eux-mêmes, et de ce qu'ils ne savent pas !" (Coran, 36 : 36). Cependant, comme le savent les trois religions monothéistes, de tous ces êtres la volonté divine a choisi l'Homme comme dépositaire de la conscience. D'Adam, par dédoublement, est venue Ève et ensuite l’humanité toute entière. { O hommes! Craignez votre Seigneur qui vous a créés d'un seul être, et a créé de celui-ci son épouse, et qui de ces deux-là a fait répandre (sur la terre) beaucoup d'hommes et de femmes. Craignez Allah au nom duquel vous vous implorez les uns les autres, et craignez de rompre les liens du sang. Certes Allah vous observe parfaitement }. [ Sourate 4 : Verset 1 ]

En Islam il est fortement précisé qu'après une période de vie indéterminée dans le paradis, Adam et Ève succombèrent conjointement à la tentation incarnée par Satan. Le Coran prend plutôt ses grandes distances de la Bible qui accuse seulement Ève d'avoir été tentée par le serpent avant d’entraîner après elle Adam à manger le fruit défendu. En conséquence, il ne culpabilise pas outre mesure la compagne d’Adam et reconnaît en elle, un être soumis aux mêmes penchants que les autres humains dans leur essence primordiale. La faute incombe donc personnellement aussi bien a Adam qu'à Ève, qui sont tenus d’en supporter les conséquences sans aucune répercussion sur leurs descendants. Dieu agréa le repentir d’Adam et d’Ève, ainsi qu’il est précisé dans la sourate suivante : « Ils dirent (Adam et Ève) : Seigneur, nous nous sommes lésés nous-mêmes ; si Tu ne nous pardonnes pas et si Tu ne nous fais pas miséricorde, nous serons au nombre des perdants. » (Coran 7. 23). « Nous leur dîmes : Descendez de ces lieux, ennemis les uns des autres (Satan et l’homme). Vous trouverez sur terre un lieu de séjour et de jouissance éphémère. Adam accueillit les Paroles de Son Seigneur et revint à Lui repentant. Dieu est en vérité, celui qui revient sans cesse vers le pécheur repentant. Il est Miséricordieux. » (Coran 2. 36. 37).

Comme nous venons donc de le percevoir clairement le discours coranique s’adresse équitablement bien à Adam et à Ève. Jamais donc les textes islamiques ne laissent entendre qu'Ève serait en quoi que ce soit la première à avoir cédé à la tentation ou que ce serait elle qui aurait poussé Adam à désobéir à Dieu. Adam et Ève ont tout les deux commis l’erreur de manger des fruits de l’arbre interdit et ils en portent tous deux la responsabilité. Cependant, dans un autre verset, Adam serait même celui qui a été trompé le premier : « Puis le Diable le tenta en disant: «Ô Adam, t’indiquerai-je l’arbre de l’éternité et un royaume impérissable? Tous deux (Adam et Eve) en mangèrent. Alors leur apparut leur nudité. Ils se mirent à se couvrir avec des feuilles du paradis. Adam désobéit ainsi à son Seigneur et il s’égara. » (Sourate 20: 120-121).. Satan s’adressait directement à Adam, et sue ce plan Ève l’a seulement suivi. Adam est donc au vu du Coran encore plus responsable. Les femmes peuvent s’en réjouir de ses versets coraniques pleins de lumière puisque elles ont été accusées des siècles durant, et le Coran vénéré les blanchit définitivement. Ève partage toutefois cette responsabilité avec Adam. Il n'est pas inutile de rappeler que le Coran impute la responsabilité du pêché conjointement sur Adam et Hawa et non pas sur Hawa toute seule comme c'est le cas dans la tradition Judéo-Chrétienne .

[Pangeen]

...
Comme nous venons donc de le percevoir clairement le discours coranique s’adresse équitablement bien à Adam et à Ève.
...

Alors comment expliques-tu que dans la société musulmane, la femme est une éternelle mineure. Mineure dans sa famille de naissance devant son père, mineure dans sa famille de mariage devant son mari ?

P.

[wiwla]

Le socle fondateur de cette condition est l'histoire de la pomme interdite ( Adam a été éjecté du paradis parce que Ève sa femme lui avait fait manger le fruit interdit ). Cette faute la femme doit la payer éternellement. Tel est l'enseignement des trois religions monothéistes.

pangeen, pas en islam!

[wiwla]

sabah !!

parler de la femme en islam, et le femme dans la société musulmane , c'est différent.

je suis musulmane, et l'avis qui dit que ma voix est 3awra jet que je suis naqissate 3aqle (malgrés differentes explications) je le prends pas en considération

Peut importe qui a ecrit ce texte
il faut reconnaître que la femme musulmane est brimée dans ses droits , surtout en ce qui concerne son droit de divorce , l'héritage et la garde des enfants en cas de divorce

Si on parle de la situation de la femme en Arabie saoudite , elle n'a même pas le droit de conduire , de voyager seule et de travailler

l'arabie saoudite n'est pas une référence

En iran et en Afghanistan , les femmes sont cachées sous leurs burqa , dites moi pas qu'elles aiment Ca !

ya pas de burqa en iran, mais le folard est obligatoire, chose qu'il n'ont pas le droit d'imposer

Donc oui , Ya une part de vérité dans ce texte

un constat sur nos sociétés, oui ya une part de vérité

[Pangeen]

pangeen, pas en islam!

L'histoire du fruit interdit est reprise par le coran avec des nuances, nuances auxquelles j'ai fait allusion dans cet extrait :

...Dans les trois religions monothéistes, la condition de la femme est sensiblement la même. Elle varie légèrement d'une religion à une autre en fonction des différences par rapport à l'ancien testament.
...

.

En Afrique, avant le monothéisme, la femme était l'égal de l'homme.

En Kabylie, jusqu'à une date récente ( date d'exhérédation ), dans les héritages, les filles avaient les mêmes parts que les garçons.

Depuis l'instauration du droit d'essence religieuse, la part d'une fille, dans un héritage, est la moitie de celle d'un garçon. Une injustice parmi tant d'autre.

P.