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L'Islam a-t-il vraiment libéré la femme ?

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  • Megane

    C'est toi qui parle de malhonnêteté!! alors que je suis certaines que tu connais beaucoup d'exemples de mari remariés sans l'accord de ses épouses à commencer par le prophète!

    Que de la mauvaise foi et des pleurnicheries..
    avec ça, cheikh mertaw est habillé pour l'hiver
    3tik saha

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    • Mertaw

      Tu ne saisis pas le débat

      Je m'en contre fiche dela polygamie si certains veulent la pratiquer ( mais pour ma personne je la refuse et la considère comme tromper ) , ce que j'essaye de démontrer est que tu dis "elle a le droit de divorcer " tu omets les contexte et le statut de "tutelle" à vie .
      Tu n'es pas honnête intellectuellement


      Quant au viol de la femme par son mari, on est d'accord que le divorce est la solution si la femme refuse rapport avec son mari.
      Mais là on nous ne sommes d'accord c'est le fait que tu admets le viol avant que la décision de divorce soit prise .
      Ce n'est pas parce que c'est son mari que ce n'est pas un viol ...
      là aussi tu es malhonnête intellectuellement parlant


      Pour l'histoire des savantes , si c'est si facile que ça pourquoi on en voit pas ??


      J'ai confiance en l'islam mais pas dans les musulmans et les interprétations qu'ils en font

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      • @ Wiwla excuse moi je ne t'ai pas reconnu, mais merci de demander des nouvelles qui que tu sois

        @Abderahamane

        C'est quoi pour toi la liberté de la femme ? l'exposer tel un objet de plaisir et de publicité, comme en occident ?!!
        La liberté c'est quand ta femme pense par elle même et n'a pas besoin de ton autorisation pour lancer le processus de reflexion dans son cerveau.
        La femme en Islam est un objet de plaisir réservé à son mari ou à son maitre, elle ne choisit rien. La femme en occident choisit ou pas d'être un objet, c'est SON choix, tu vois ca s'appelle la liberté.


        Le hidjab en Islam est une conviction personnelle de la femme, dont aucune sanction ici bas n'est prévue pour son non port ( ya ayouha ennabiyou qoul قل...Al AHZAB verset 51), contrairement à l'obligation de la salate ( wa amor امر ahlaka
        Le hidjab est une arnaque inventée pour mieux enfermer et soumettre les femmes. Où était cette pudeur quand le prophète était en vie et que les esclaves se baladaient seins nus et servaient ses invités?

        N'étaient elles pas des femmes désirables comme les autres? Le topless est loin du djilbab pourtant...

        Le voile est né d'une histoire de besoins que les femmes du prophète allaient faire la nuit dehors et se faisaient embêter car prises pour des esclaves, de nos jours on en a fait un sixième pilier de l'Islam alors qu'il n'en est rien.

        Le prophète et les sahaba avaient tous le loisir d'admirer la beauté des femmes avant de les épouser, je doute qu'ils en auraient épousé autant si elles étaient toutes en djilbab et niqab! surprise!surprise!

        Au lieu de conviction j'utiliserai un autre mot manipulation et détournement de cet habit pour mieux enfermer et soumettre les femmes.
        Dernière modification par Megane, 05 septembre 2015, 20h45.
        Hope is the little voice you hear whisper "maybe" when it seems the entire world is shouting "no!"

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        • Bahdelt b'rohek
          Un roquet qui se prend pour un bouledogue. Roh allah y noub. Va chercher une autre proie.
          Si tu savais que ma frustration n' arrive même pas au 1/1000 de la tienne pour la simple et unique raison que je ne vis pas dans ton pays d'interdits et de femmes hijab.

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          • arbia,

            pour complainte c sans commentaire, cela ne colle pas avec la raison..

            pour,

            « Nulle contrainte en religion ! Car le bon chemin s'est distingué de l'égarement. Donc, quiconque mécroit au Tâghût tandis qu'il croit en Allah saisit l'anse la plus solide, qui ne peut se briser. Et Allah est Audient et Omniscient. »


            je fais appel à ta raison.. nulle contrainte en religion veut-il dire que ses valeurs ne sont pas contraignantes ? comme c écrit, Dieu précise qu'il y a deux chemins en amont taghut et allah..

            il n'y a pas de contraine (libre choix)

            mais une fois que le choix est fait, on doit se contraindre aux préceptes qui restent à définir

            je crois qu'on est d'accord sur la voie, mais on n'est pas d'accord pour les applications à l'intérieur de la voie..

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            • C'est quoi pour toi la liberté de la femme ? l'exposer tel un objet de plaisir et de publicité, comme en occident ?!!
              J'ai quoté cette phrase parce qu'elle revient très souvent. neuf fois sur 10 quand on discute des droits des femmes en Islam, cette phrase est sortie comme un leitmotiv. Ca me laisse penser qu'au fond, tout ce qui intéresse certains musulmans males dans les droits des femmes c'est leur sexualité.
              La femme est souvent pris en objet sexuel en occident effectivement, les femmes d'occident condamnent cette attitude, mais il est clair que ces musulmans font pire, la femme est leur chose, ils l'emprisonnent par toutes sortes d'interdits, ils l'asservissent tel un automate, soit disant pour mieux la protéger.
              ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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              • « Féminisme » et « islamique » : si l’association de ces deux termes dérange encore et continue de susciter invariablement en Occident une interrogation incrédule, c’est parce que l’égalité des sexes est le fruit d’une élaboration historique. S’est-on jamais posé la question de la pertinence d’un féminisme chrétien, par exemple ? Un tel courant a pourtant bel et bien été fondé dès la fin du XIXe siècle, en particulier en France, en Belgique et au Canada. Il a permis notamment l’élaboration d’une théologie féministe qui a interrogé -– et interroge encore — le canon des Écritures, la paternité divine, l’identité du Christ, l’action de l’Esprit-Saint, le culte de Marie, et surtout les institutions patriarcales de l’Église, au grand dam du magistère de l’Église catholique.

                Mais la condition de « la femme musulmane » — toujours au singulier, comme si la dimension sociologique d’un grand nombre de pays très différents par leurs langues et leurs cultures ne jouait pas — est l’emblème et l’argument favori des islamophobes occidentaux contemporains comme de leurs prédécesseurs coloniaux. Elle témoignerait ainsi de l’obscurantisme fondamental du « monde musulman ». En conséquence, l’émancipation des femmes musulmanes et la conquête de leurs droits devrait passer obligatoirement par leur libération du « carcan » religieux. L’ouvrage dirigé par la sociologue Zahra Ali, Féminismes islamiques est, à contre-courant des préjugés racistes, un recueil d’articles et d’entretiens avec des chercheuses, des intellectuelles et des militantes engagées dans la défense des droits des femmes à l’intérieur du cadre religieux musulman1. Il affirme qu’il y a bien non seulement une dynamique féministe islamique, mais également qu’elle est soutenue par une pensée élaborée depuis des décennies, voire des siècles. Elle se veut aujourd’hui un « support de réflexion et d’analyse proposant une ouverture vers de nouvelles perspectives quant à la manière de poser le lien entre femmes, féminisme et islam ».

                Cette pensée est largement ignorée quand elle n’est pas stigmatisée, y compris par la plupart des féministes pour qui toute religion est patriarcale, surtout les religions monothéistes et surtout, parmi elles, l’islam. Mais aussi par nombre de musulmans qui considèrent qu’elle occidentalise la pensée islamique, appréhendée comme un cadre fini. Un même essentialisme fait l’unanimité, qui définit l’islam comme « une réalité statique, fondamentalement dogmatique, intrinsèquement sexiste » et le féminisme comme un modèle unique, issu de la modernité occidentale.

                L’ÉGALITÉ INSCRITE DANS LES TEXTES

                Pour Zahra Ali et pour les chercheuses et militantes à qui elle donne la parole, l’égalité est au contraire au fondement de la religion musulmane et le message de la Révélation coranique est garant des droits des femmes. Ainsi, « Le Coran affirme le principe d’égalité entre tous les êtres humains et ce sont les idées (l’idéologie) et les pratiques patriarcales qui ont entravé ou subverti la mise en pratique de cette égalité entre hommes et femmes » (Margot Badran).

                Du reste, des femmes musulmanes ont de tout temps clairement contesté l’attitude machiste et les injustices subies par les femmes. Les tafsirs (commentaires du Coran) en témoignent, et deux versets répondent à leur conviction que l’égalité entre les sexes est explicite dans le Coran2. L’ouvrage retrace l’histoire de cette contestation, des premiers temps à l’époque contemporaine, pour affirmer l’existence d’un féminisme endogène aux sociétés musulmanes. Selon Asma Lamrabet, l’exclusion des femmes dans l’histoire de la civilisation islamique se construit avec le décalage entre le Coran et ses interprétations exégétiques et juridiques successives. Cette exclusion des femmes est à son apogée à l’ère coloniale : elles sont alors prises au piège entre le discours colonisateur (l’apport de la « civilisation » contre les archaïsmes religieux oppresseurs) et un discours nationaliste et traditionaliste qui leur intime de rester dans le rang, au nom d’une identité islamique en danger.

                UNE PENSÉE RÉFORMISTE

                Le temps fort de l’histoire du féminisme islamique remonte au mouvement réformiste musulman — la Nahda (Renaissance) — du XIXe siècle qui appelait au retour aux sources scripturaires, c’est-à-dire au Coran et à la Sunna, en différenciant la charia (littéralement « la voie » ou les principes déterminés par Dieu et exprimés dans le Coran) de al-Fiqh, le droit islamique élaboré à partir d’une interprétation humaine — et surtout exclusivement masculine. Dès les années 1930 en Égypte, puis à partir des années 1970 en Turquie, au Maghreb, en Syrie, en Arabie saoudite et surtout en Iran où naît le concept dans les années qui suivent la révolution iranienne, émerge une conscience féministe « islamique » à mesure que les femmes deviennent plus instruites, qu’elles s’approprient le savoir religieux et que le féminisme se développe en tant que discours intellectuel, mais aussi sous la forme de pratiques militantes. On passe alors « d’un discours féminin de défense de l’islam à un discours féministe à l’intérieur de l’islam ».

                Ces vingt dernières années, le féminisme islamique est devenu un courant théologique transnational qui, à l’instar du féminisme chrétien — dont il n’est pas la copie, mais il emprunte de fait des voies assez proches — propose une relecture des sources (Coran et Sunna) débarrassée de ses interprétations sexistes. Une élite savante utilise l’outil juridique de l’ijtihad3 pour repenser les droits des femmes en rapport avec les contextes dans lesquels elles se situent. En faisant usage des sciences sociales, les féministes extraient les principes d’égalité et de justice des sources de l’islam et les éloignent des interprétations élaborées à partir d’une grille de lecture machiste et patriarcale. Elles s’appuient notamment sur la notion d’unicité divine (tawhid)4 pour affirmer que l’égalité entre les hommes et les femmes est inscrite dans le Coran.

                La pensée féministe islamique légitime ainsi l’action militante qui opère à l’intérieur de l’islam. Elle ouvre un espace de réflexion entre la remise en question du modèle occidental qui se veut universaliste et, dans le champ islamique, tout un pan de la jurisprudence qui a organisé la marginalisation du rôle et de la place des femmes dans la cité et réservé le savoir et l’autorité religieuse aux hommes.

                POUR UNE ACTION UNITAIRE SOUS CONDITIONS

                Le militantisme féministe, quant à lui, « a concentré son travail sur la révision des statuts personnels inspirés par la « Loi islamique » dans de nombreux pays musulmans », au travers de réseaux tels que l’organisation malaisienne Sisters in Islam, Femmes sous lois musulmanes ou encore Mousawah (promotion de l’égalité et de la justice dans la famille musulmane). En Occident, ce même militantisme est engagé dans la défense des femmes contre les discriminations qui les frappent, avec des organisations comme Karamah (Muslim Women Lawyers for Human Rights).

                Les féministes musulmanes conçoivent une libération qui ne passe pas par la désacralisation des normes religieuses ni par la libéralisation sexuelle. À la condition d’accepter l’idée qu’il n’existe pas un, mais des féminismes — tous légitimes — et qu’ils naissent et demeurent fortement ancrés dans les sociétés d’où ils ont émergé, Zahra Ali estime en conclusion qu’il est possible de construire des coalitions entre eux, car ce qui les différencie n’empêche nullement la lutte commune pour les droits fondamentaux des femmes. Un « féminisme sans frontières » qui intègre les questions sociales et « raciales » à celle de la domination masculine, sans faire l’économie d’une réflexion approfondie sur les avatars contemporains de l’héritage orientaliste et colonial. Orientxx

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                • Un roquet qui se prend pour un bouledogue. Roh allah y noub. Va chercher une autre proie.
                  Si tu savais que ma frustration n' arrive même pas au 1/1000 de la tienne pour la simple et unique raison que je ne vis pas dans ton pays d'interdits et de femmes hijab.
                  Pourquoi chercher une autre proie, t'es le passe temps parfait
                  Non ya Mr "chib wel 3ib", si j'étais plus frustré que toi je serai comme toi une sorte de bouledogue à la langue constamment pendue à baver devant tout ce qui bouge, moi non je les fais pas ***** et je les respecte qu'elles soient voilées ou pas.. en fait t'es trop primitif par rapport à moi, tu devrais suivre mon exemple, il n'est pas trop ya l'fossile.. en commençant par exemple par arrêter d'insulter les femmes voilées

                  Commentaire


                  • mais une fois que le choix est fait, on doit se contraindre aux préceptes qui restent à définir
                    je dirais plutôt qu'une fois que le choix est fait, le ou (la) musulman(e) cherche à savoir le pourquoi de ces restrictions et pour chaque restrictions il y a une explication et Allah sait mieux

                    je crois qu'on est d'accord sur la voie, mais on n'est pas d'accord pour les applications à l'intérieur de la voie..
                    voilà à chacun de suivre son école de penser, mais ni toi ni moi ne pouvons imposer notre façon de penser ou la façon dont se doit d'être libre, d'ailleurs en Islam il vaut mieux conseiller avec preuve à l'appui qu'imposer et après libre à toi ou à moi de suivre ce conseil...

                    pour ma part ce sera ma dernière intervention sur ce sujet

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                    • Pourquoi chercher une autre proie, t'es le passe temps parfait
                      Non ya Mr "chib wel 3ib", si j'étais plus frustré que toi je serai comme toi une sorte de bouledogue à la langue constamment pendue à baver devant tout ce qui bouge, moi non je les fais pas ***** et je les respecte qu'elles soient voilées ou pas.. en fait t'es trop primitif par rapport à moi, tu devrais suivre mon exemple, il n'est pas trop ya l'fossile.. en commençant par exemple par arrêter d'insulter les femmes voilées
                      Encore un illuminé détenteur de vérités qui se croit investi d'une mission divine à défendre l'indéfendable.
                      Je te laisse volontiers mon quota de femmes hijabs, moi je baigne dans le yobosseyo saran saran et nikhaw ouayni pialiaw khwankho. Et à partir de la on peut déduire qui bave et qui est équilibré et quel est le frustré celui qui baigne dans les hijabs inaccessibles ou celui qui baigne dans la beauté couplée à un corps de déesse effectivement accessible. Et même une déesse qui a le droit de dire non merci.
                      A moins que vivre une vie de puceau dans ton cas jusqu'à un age avancé est devenu plus que halal.
                      Dernière modification par ali_baba, 05 septembre 2015, 22h24.

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                      • yobosseyo saran saran et nikhaw ouayni pialiaw khwankho
                        c est quoi ça une version du hidjab genre burqa occidentale

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                        • Envoyé par Megane
                          Le hidjab est une arnaque inventée pour mieux enfermer et soumettre les femmes.
                          Ah bon ces versets du Coran est une arnaque inventée par le Prophète (priere et paix d'Allah sur lui) ?!

                          { Ô Prophète ! Dis à tes épouses, à tes filles et aux croyantes de ramener sur elles leurs grands voiles : elles en seront plus vite reconnues et éviteront d’être offensées. Allah est Pardonneur et Miséricordieux } [ Sourate 33 - Verset 59 ]

                          { […] Et dis aux croyantes de baisser leurs regards, de garder leur chasteté, et de ne montrer de leurs atours que ce qu’il en paraît et qu’elles rabattent leur voile sur leurs poitrines } [ Sourate 24 - Verset 31]
                          Dernière modification par shadok, 05 septembre 2015, 22h42.
                          Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                          • shadok

                            dans le verset59 que tu cites voici la raison donnée..
                            elles en seront plus vite reconnues et éviteront d’être offensées
                            si cette raison n'existe pas comment on fait ?


                            dans le verset31
                            de ne montrer de leurs atours que ce qu’il en paraît et qu’elles rabattent leur voile sur leurs poitrines
                            1-comment arrivent-on au khimar et burka avec ça ????
                            2- est ce une façon de se metrte à l'abri ou une injonction ?
                            3- est ce que le demi manche est licite pour les hommes par exp ?

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                            • Litante
                              Tu ne saisis pas le débat

                              Je m'en contre fiche dela polygamie si certains veulent la pratiquer ( mais pour ma personne je la refuse et la considère comme tromper ) ,
                              c'est facile de repondre en une phrase sans contre-argument .
                              tu m'a donné un exp concret sur la polygamie, je t'ai repondu clairement sur ce cas. Que je dois je faire pour te faire comprendre .


                              ce que j'essaye de démontrer est que tu dis "elle a le droit de divorcer " tu omets les contexte et le statut de "tutelle" à vie .
                              si j'omet le contexte ,c'est simple donne moi un cas concret et on verra qui de nous deux est malhonnette intellectuellent.


                              Mais là on nous ne sommes d'accord c'est le fait que tu admets le viol avant que la décision de divorce soit prise .
                              Ce n'est pas parce que c'est son mari que ce n'est pas un viol ...
                              là aussi tu es malhonnête intellectuellement parlant
                              où j'ai dit qu'il peut la violer avant la decision de divorce.
                              quand je parlait de son droit pour avoir des rapport avec son epouse c'est avt qu'ils decide,nt de divorcer.
                              une fois l'affaire arrive à la volonté de divorcer, mabakatch hadra ni sexe.

                              ne soit pas malhonnête et ne déforme pas mes propos.

                              Ma position, : oui la femme n'a pas le droit de refuser d'avoir des rapport avec son mari si lui il souhaite car c'est son droit (d'ailleurs vice versa) .
                              et là aussi je ne parle pas d'une fois ou deux, c'est quand ça se répète .
                              si elle ne veut plus de lui, qu'elle le dise et elle divorce, mais ne rien dire , dormir à coté de lui puis il lui dire non , j'ai pas envie , ceci est insensée.
                              Dernière modification par mertaw, 05 septembre 2015, 23h11.

                              Commentaire


                              • Encore un illuminé détenteur de vérités qui se croit investi d'une mission divine à défendre l'indéfendable.
                                Je défends le libre choix des personnes à porter une chose par conviction, toi tu prétends hypocritement défendre le libre choix mais quand il s'agit de choses qui t'empêchent de laisser libre court à tes instincts bestiaux (que même les bêtes arrivent à contrôler d'ailleurs) ça devient indéfendable, et tu montres ton vrai visage de vieux pervers qui insulte certaines femmes, et considère les autres comme des steaks devant lesquelles tu baves comme un slougi affamé ! T'es trop primitif pour être de notre époque, on t'a sûrement découvert récemment quelque part lors d'une fouille archéologique
                                Qalou "corps de déesse effectivement accessible".. qiw ya l'ancêtre, wahda ma tendeb 3lik, bayna fik abonné fi kach maison close chez une vieille prostituée meskina koulech fiha tayeh
                                Dernière modification par Myst, 05 septembre 2015, 23h28.

                                Commentaire

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