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Paulo Coelho défend le Saint Coran et l’Islam

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  • Paulo Coelho défend le Saint Coran et l’Islam

    Paulo Coelho, romancier et interprète brésilien, notamment auteur de « L’Alchimiste » et de « Brida », s’est récemment exprimé au sujet du Saint Coran de manière pour le moins positive. En effet, Paulo Coelho a pris la parole pour défendre Celle d’Allah. Il a ainsi qualifié le Noble Coran de « livre qui a changé le monde ».

    Le romancier a publié un message sur son statut Facebook afin de défendre l’Islam et son Livre, comme le souligne Al Arabiya News. Il a ainsi affiché l’image d’un Coran sur son statut en commentant « Exposition : les livres qui ont changé le monde ». Le statut de Paulo Coelho n’a pas laissé ses fans indifférents puisqu’il a récolté plus de 36 000 mentions « j’aime » et des milliers de partages.

    Malgré le grand soutien dont a fait l’objet le statut du romancier brésilien, une internaute a commenté : « Vraiment ! Ce livre est source de violence et de meurtres ! ». Ce à quoi Paulo Coelho a répondu : « Faux. Je suis chrétien et durant des siècles, nous avons essayé d’imposer notre religion par la force de l’épée – vérifiez « croisades » dans le dictionnaire… Nous assassinions des femmes – les appelant sorcières et nous avons essayé d’arrêter la science – comme dans le cas de Galileu Galilei. Il ne faut donc pas blâmer une religion, mais comment les gens la manipulent« .

    Paulo Coelho n’a donc pas laissé cette internaute critiquer l’Islam et la qualifier de religion de violence. Faisant alors la comparaison avec les croisés, le romancier brésilien a tenu à défendre la religion musulmane ainsi que son Livre Sacré. Une prise de position admirable, particulièrement au vu des événements actuels. En signifiant publiquement son admiration pour le Saint Coran, Paulo Coelho a prouvé son ouverture d’esprit et sa perspicacité, n’en déplaise à certains.

    Ajib.fr

  • #2
    courageux de sa part vu le contexte pas sûr que ça soit très audible
    The happiest of people don't necessarily have the best of everything they just make the most of everything that comes along their way.

    Commentaire


    • #3
      Pas évident de prendre ce positionnement quand on est un homme public et pas n'importe quel homme...

      C'est d'autant plus courageux et je salue cette initiative, de nombreuses personnalités devraient s'impliquer davantage...

      Commentaire


      • #4
        .........
        Dernière modification par absente, 10 septembre 2015, 19h49.

        Commentaire


        • #5
          bien sur le coran est un livre de paix
          sil avait lut les hadith qui pronnent de tuer des apostat , de mettre la burqa , de lapîder des gens ......il aurait prit peur

          tout les non musulman se pose des question sur lislam et se sont mit a lire le coran pour comprendre se qui se passe et en lisant le coran ils ne comprenent
          pas se qui se passe

          en faites ils son mal renseigner le probleme nest pas dans le coran qui se sont mit a lire mais dans les livre de hadith quils ignorent

          quand ses gens voient a la tv que des gens lapide mettent des burqa et tue des aposta et que des gens qui se disent musulman leur disent que ses pas lislam ses gens se mettent a lire le coran et ne voit pas de burqa ou de lapidation mais voit un message de paix

          le coran fait des musulman mais les hadith fait des islamiste

          Commentaire


          • #6
            Un poème de Victor Hugo sur le Prophète

            L'AN NEUF DE L'HEGIRE
            Victor Hugo, le 15 janvier 1858

            Comme s'il pressentait que son heure était proche,
            Grave, il ne faisait plus à personne une reproche ;
            Il marchait en rendant aux passants leur salut ;
            On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu'il eût
            A peine vingt poils blancs à sa barbe encore noire ;
            Il s'arrêtait parfois pour voir les chameaux boire,
            Se souvenant du temps qu'il était chamelier.
            Il semblait avoir vu l'Eden, l'âge d'amour,
            Les temps antérieurs, l'ère immémoriale.
            Il avait le front haut, la joue impériale,
            Le sourcil chauve, l'oeil profond et diligent,
            Le cou pareil au col d'une amphore d'argent,
            L';air d'un Noé qui sait le secret du déluge.
            Si des hommes venaient le consulter, ce juge
            Laissait l'un affirmer, l'autre rire et nier,
            Ecoutait en silence et parlait le dernier.
            Sa bouche était toujours en train d'une prière ;
            Il mangeait peu, serrant sur son ventre une pierre ;
            Il s'occupait de lui-même à traire ses brebis ;
            Il s'asseyait à terre et cousait ses habits.
            Il jeûnait plus longtemps qu'autrui les jours de jeûne,
            Quoiqu'il perdît sa force et qu'il ne fût plus jeune.
            A soixante-trois ans une fièvre le prit.
            Il relut le Coran de sa main même écrit,
            Puis il remit au fils de Séid la bannière,
            En lui disant : " Je touche à mon aube dernière.
            Il n'est pas d'autre Dieu que Dieu. Combats pour lui. "
            Et son oeil, voilé d'ombre, avait ce morne ennui
            D'un vieux aigle forcé d'abandonner son aire.
            Il vint à la mosquée à son heure ordinaire,
            Appuyé sur Ali le peuple le suivant ;
            Et l'étendard sacré se déployait au vent.
            Là, pâle, il s'écria, se tournant vers la foule ;
            " Peuple, le jour s'éteint, l'homme passe et s'écroule ;
            La poussière et la nuit, c'est nous. Dieu seul est grand.
            Peuple je suis l'aveugle et suis l'ignorant.
            Sans Dieu je serais vil plus que la bête immonde. "
            Un cheikh lui dit : " o chef des vrais croyants ! le monde,
            Sitôt qu'il t'entendit, en ta parole crut ;
            Le jour où tu naquit une étoile apparut,
            Et trois tours du palais de Chosroès tombèrent. "
            Lui, reprit : " Sur ma mort les Anges délibèrent ;
            L'heure arrive. Ecoutez. Si j'ai de l'un de vous
            Mal parlé, qu'il se lève, ô peuple, et devant tous
            Qu'il m'insulte et m'outrage avant que je m'échappe ;
            Si j'ai frappé quelqu'un, que celui-là me frappe. "
            Et, tranquille, il tendit aux passants son bâton.
            Une vieille, tondant la laine d'un mouton,
            Assise sur un seuil, lui cria : " Dieu t'assiste ! "
            Il semblait regarder quelque vision triste,
            Et songeait ; tout à coup, pensif, il dit : " voilà,
            Vous tous, je suis un mot dans la bouche d'Allah ;
            Je suis cendre comme homme et feu comme prophète.
            J'ai complété d'Issa la lumière imparfaite.
            Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur.
            Le soleil a toujours l'aube pour précurseur.
            Jésus m'a précédé, mais il n'est pas la Cause.
            Il est né d'une Vierge aspirant une rose.
            Moi, comme être vivant, retenez bien ceci,
            Je ne suis qu'un limon par les vices noirci ;
            J'ai de tous les péchés subi l'approche étrange ;
            Ma chair a plus d'affront qu'un chemin n'a de fange,
            Et mon corps par le mal est tout déshonoré ;
            O vous tous, je serais bien vite dévoré
            Si dans l'obscurité du cercueil solitaire
            Chaque faute engendre un ver de terre.
            Fils, le damné renaît au fond du froid caveau
            Pour être par les vers dévoré de nouveau ;
            Toujours sa chair revit, jusqu'à ce que la peine,
            Finie ouvre à son vol l'immensité sereine.
            Fils, je suis le champ vil des sublimes combats,
            Tantôt l'homme d'en haut, tantôt l'homme d'en bas,
            Et le mal dans ma bouche avec le bien alterne
            Comme dans le désert le sable et la citerne ;
            Ce qui n'empêche pas que je n'aie, ô croyants !
            Tenu tête dans l'ombre au x Anges effrayants
            Qui voudraient replonger l'homme dans les ténèbres ;
            J'ai parfois dans mes poings tordu leurs bras funèbres ;
            Souvent, comme Jacob, j'ai la nuit, pas à pas,
            Lutté contre quelqu'un que je ne voyais pas ;
            Mais les hommes surtout on fait saigner ma vie ;
            Ils ont jeté sur moi leur haine et leur envie,
            Et, comme je sentais en moi la vérité,
            Je les ai combattus, mais sans être irrité,
            Et, pendant le combat je criais : " laissez faire !
            Je suis le seul, nu, sanglant, blessé ; je le préfère.
            Qu'ils frappent sur moi tous ! Que tout leur soit permis !
            Quand même, se ruant sur moi, mes ennemis
            Auraient, pour m'attaquer dans cette voie étroite,
            Le soleil à leur gauche et la lune à leur droite,
            Ils ne me feraient point reculer ! " C'est ainsi
            Qu'après avoir lutté quarante ans, me voici
            Arrivé sur le bord de la tombe profonde,
            Et j'ai devant moi Allah, derrière moi le monde.
            Quant à vous qui m'avez dans l'épreuve suivi,
            Comme les grecs Hermès et les hébreux Lévi,
            Vous avez bien souffert, mais vous verrez l'aurore.
            Après la froide nuit, vous verrez l'aube éclore ;
            Peuple, n'en doutez pas ; celui qui prodigua
            Les lions aux ravins du Jebbel-Kronnega,
            Les perles à la mer et les astres à l'ombre,
            Peut bien donner un peu de joie à l'homme sombre. "
            Il ajouta ; " Croyez, veillez ; courbez le front.
            Ceux qui ne sont ni bons ni mauvais resteront
            Sur le mur qui sépare Eden d'avec l'abîme,
            Etant trop noirs pour Dieu, mais trop blancs pour le crime ;
            Presque personne n'est assez pur de péchés
            Pour ne pas mériter un châtiment ; tâchez,
            En priant, que vos corps touchent partout la terre ;
            L'enfer ne brûlera dans son fatal mystère
            Que ce qui n'aura point touché la cendre, et Dieu
            A qui baise la terre obscure, ouvre un ciel bleu ;
            Soyez hospitaliers ; soyez saints ; soyez justes ;
            Là-haut sont les fruits purs dans les arbres augustes,
            Les chevaux sellés d'or, et, pour fuir aux sept dieux,
            Les chars vivants ayant des foudres pour essieux ;
            Chaque houri, sereine, incorruptible, heureuse,
            Habite un pavillon fait d'une perle creuse ;
            Le Gehennam attend les réprouvés ; malheur !
            Ils auront des souliers de feu dont la chaleur
            Fera bouillir leur tête ainsi qu'une chaudière.
            La face des élus sera charmante et fière. "
            Il s'arrêta donnant audience à l'espoir.
            Puis poursuivant sa marche à pas lents, il reprit :
            " O vivants ! Je répète à tous que voici l'heure
            Où je vais me cacher dans une autre demeure ;
            Donc, hâtez-vous. Il faut, le moment est venu,
            Que je sois dénoncé par ceux qui m'ont connu,
            Et que, si j'ai des torts, on me crache aux visages. "
            La foule s'écartait muette à son passage.
            Il se lava la barbe au puits d'Aboufléia.
            Un homme réclama trois drachmes, qu'il paya,
            Disant : " Mieux vaut payer ici que dans la tombe. "
            L'oeil du peuple était doux comme un oeil de colombe
            En le regardant cet homme auguste, son appui ;
            Tous pleuraient ; quand, plus tard, il fut rentré chez lui,
            Beaucoup restèrent là sans fermer la paupière,
            Et passèrent la nuit couchés sur une pierre
            Le lendemain matin, voyant l'aube arriver ;
            " Aboubékre, dit-il, je ne puis me lever,
            Tu vas prendre le livre et faire la prière. "
            Et sa femme Aïscha se tenait en arrière ;
            Il écoutait pendant qu'Aboubékre lisait,
            Et souvent à voix basse achevait le verset ;
            Et l'on pleurait pendant qu'il priait de la sorte.
            Et l'Ange de la mort vers le soir à la porte
            Apparut, demandant qu'on lui permît d'entrer.
            " Qu'il entre. " On vit alors son regard s'éclairer
            De la même clarté qu'au jour de sa naissance ;
            Et l'Ange lui dit : " Dieu désire ta présence.
            - Bien ", dit-il. Un frisson sur les tempes courut,
            Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut.
            "نحن قوم أعزنا الله بالإسلام ..." Omar Ibn El Khettab RA

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