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Sidra (Zizyphus spina Christi, ou jujubier) Ziziphus spina christi est le Jujubier, aussi nommé Lotus du Coran. C'est un arbre ou arbuste qui peut atteindre 10 m de hauteur.
Le jujubier doit son nom latin à une légende d'après laquelle ses rameaux auraient servi à confectionner la couronne d'épines du Christ. Il est également évoqué dans le Coran et considéré par des musulmans comme arbre sacré, ou arbre du paradis.
Dans la tradition musulmane, on dit que Sidrat el-mountéha se répand de tel sorte qu'un cavalier au galop n'en traverserait pas l'ombre en cent années.
Chaque feuille porte écrits le nom et la destinée d'un individu, et au moment où une feuille tombe,la vie de celui dont elle a le nom enregistré, s'éteint.
La qualification de mountéha, ou terminal, qui est à l'extrémité a été appliqué au nabk des musulmans, car disent-ils, il est à la limite des choses connues des hommes et des anges, et qu'il n'est pas permis même aux anges de franchir. Durant le Isra wa el-Mi3radj le Prophète Mohammed (SAWS) était le seul à avoir été transporté par delà sidrat el-mountéha.
Note: lu et partagé ici, d'un récit d'une vieille revue orientale -1852 -
Le jujubier doit son nom latin à une légende d'après laquelle ses rameaux auraient servi à confectionner la couronne d'épines du Christ. Il est également évoqué dans le Coran et considéré par des musulmans comme arbre sacré, ou arbre du paradis.
Dans la tradition musulmane, on dit que Sidrat el-mountéha se répand de tel sorte qu'un cavalier au galop n'en traverserait pas l'ombre en cent années.
Chaque feuille porte écrits le nom et la destinée d'un individu, et au moment où une feuille tombe,la vie de celui dont elle a le nom enregistré, s'éteint.
La qualification de mountéha, ou terminal, qui est à l'extrémité a été appliqué au nabk des musulmans, car disent-ils, il est à la limite des choses connues des hommes et des anges, et qu'il n'est pas permis même aux anges de franchir. Durant le Isra wa el-Mi3radj le Prophète Mohammed (SAWS) était le seul à avoir été transporté par delà sidrat el-mountéha.
Note: lu et partagé ici, d'un récit d'une vieille revue orientale -1852 -