La communauté hassidique de l’extrême à ultra extrême.
1° Partie
On les reconnaît à leurs vêtements, souvent un peu trop sobres pour de si jeunes femmes, et à ces cheveux synthétiques qui camouflent discrètement leurs boucles lustrées. Il y a aussi le groupe d’enfants à leurs trousses; des enfants par dizaines,. Même si elles sont moins stigmatisées que les hommes de leur religion, leur bonheur spirituel leur permettant de passer outre l’ignorance et le contraste face à la modernité est particulièrement saisissant.
Le quotidien des Juives hassidiques est un isolement presque total. Les principes de Shidduch, c’est-à-dire la tradition du mariage « arrangé », sont toujours pratique courante, et les relations sexuelles avant le mariage sont interdites. Elles ne peuvent pas exhiber leurs cheveux à d’autres yeux que ceux de leur mari (elles portent donc des perruques dès qu’elles passent le seuil de la porte), elles portent des vêtements très couvrants, même en pleine canicule, et elles font des enfants beaucoup d’enfants tant que leur corps le leur permet.
Sur le plan de la vie religieuse, les orthodoxes ne suivent pas le mouvement d'égalitarisme car ils le considèrent contraire à la loi juive, pour une femme qui observe les lois talmudiques, exhiber ses cheveux serait comme sortir nue et offrir cette nudité aux regards des passants.
Certaines les filles et jeunes femmes refusent de porter des perruques ou le voile biblique, selon les traditions religieuses juives : elles se font violenter et conspuer par des fondamentalistes agressifs, que ce soit l’agression des femmes du Kotel où les affaires de ségrégations dans des endroits publics et des bus, des hommes orthodoxes les insultent, leurs jettent toutes sortes de projectiles, bouteilles vides, couches usagées, détritus et même parfois des pierres. Elles se font bien évidemment cracher dessus et frapper à l’occasion.La discrimination et les insultes sont le fruit d’une motivation barbare et brutale, et d’une coercition religieuse que nulle religion n’accepterait
En dépit d’une auto-censure juive, l’image est donc ternie pour nous faire découvrir celle d’un pays versait dans un obscurantisme poussée et un fondamentalisme dépassant heureusement le fondamentalisme musulman plus clément et qui demeure limité à certains régions et catégorie de la société musulmane, un cliché injustement dénigrait au compte de l’Islam véritable, alors que si les femmes juives et chrétiennes puissent connaître le vrai statut réservé à la femme par préceptes coraniques de l’Islam (loin des théologies Wahhabistes et Djihadistes), mais avec une très bonne approche toutes ces femmes souhaiteraient devenir des musulmanes !
Pour une bonne meilleure illustration de l'islam véritable, voici quelques enseignements islamiques relatifs au statut de la femme musulmane.
Le Coran fait une distinction entre le mariage qui honore la femme et le concubinage qui l’accable. La relation sexuelle conjugale est considérée comme valorisante et la relation charnelle extra-conjugale minorative.
La femme en islam peut avoir des propriétés. Elle peut établir des contrats, faire des échanges, s'engager dans le commerce. Le Coran déclare :
« Aux hommes revient une part de ce qu'ils auront gagné et aux femmes revient une part de ce qu'elles auront gagné. »
La femme possède donc une personnalité juridique complète. Mariée, elle reste maîtresse de son avoir.
Le Coran astreint l’époux à la fidélité absolue, ce qui signifie explicitement que le musulman marié est tenu de n’avoir des relations charnelles qu’avec sa propre femme. À défaut de quoi il sera puni par un châtiment approprié et sa femme a le droit de divorcer si elle le désire.
De ce fait, le Coran veut que l’ensemble des questions conjugales soit géré par le couple par le biais d’une concertation constante et inviolable :
Ainsi est le statut authentique de la femme musulmane, loin de ces prêcheurs satellitaires à la solde et ces détracteurs qui veulent rendre l’islam source de répression. En aucun cas l’Islam ne fait de la femme une machine à bébés.
Toutefois les femmes juives sont maintenues à un état originel, Car la femme est une servante pour son mari comme l’est l’esclave pour son maître. Sans que le monde occidental civilisé ne puisse dénoncé cet état de fait
En effet, à bien des égards, la condition de la femme juive est à rapprocher de celle de l’esclave cananéen.
1° Partie
On les reconnaît à leurs vêtements, souvent un peu trop sobres pour de si jeunes femmes, et à ces cheveux synthétiques qui camouflent discrètement leurs boucles lustrées. Il y a aussi le groupe d’enfants à leurs trousses; des enfants par dizaines,. Même si elles sont moins stigmatisées que les hommes de leur religion, leur bonheur spirituel leur permettant de passer outre l’ignorance et le contraste face à la modernité est particulièrement saisissant.
Le quotidien des Juives hassidiques est un isolement presque total. Les principes de Shidduch, c’est-à-dire la tradition du mariage « arrangé », sont toujours pratique courante, et les relations sexuelles avant le mariage sont interdites. Elles ne peuvent pas exhiber leurs cheveux à d’autres yeux que ceux de leur mari (elles portent donc des perruques dès qu’elles passent le seuil de la porte), elles portent des vêtements très couvrants, même en pleine canicule, et elles font des enfants beaucoup d’enfants tant que leur corps le leur permet.
Sur le plan de la vie religieuse, les orthodoxes ne suivent pas le mouvement d'égalitarisme car ils le considèrent contraire à la loi juive, pour une femme qui observe les lois talmudiques, exhiber ses cheveux serait comme sortir nue et offrir cette nudité aux regards des passants.
Certaines les filles et jeunes femmes refusent de porter des perruques ou le voile biblique, selon les traditions religieuses juives : elles se font violenter et conspuer par des fondamentalistes agressifs, que ce soit l’agression des femmes du Kotel où les affaires de ségrégations dans des endroits publics et des bus, des hommes orthodoxes les insultent, leurs jettent toutes sortes de projectiles, bouteilles vides, couches usagées, détritus et même parfois des pierres. Elles se font bien évidemment cracher dessus et frapper à l’occasion.La discrimination et les insultes sont le fruit d’une motivation barbare et brutale, et d’une coercition religieuse que nulle religion n’accepterait
En dépit d’une auto-censure juive, l’image est donc ternie pour nous faire découvrir celle d’un pays versait dans un obscurantisme poussée et un fondamentalisme dépassant heureusement le fondamentalisme musulman plus clément et qui demeure limité à certains régions et catégorie de la société musulmane, un cliché injustement dénigrait au compte de l’Islam véritable, alors que si les femmes juives et chrétiennes puissent connaître le vrai statut réservé à la femme par préceptes coraniques de l’Islam (loin des théologies Wahhabistes et Djihadistes), mais avec une très bonne approche toutes ces femmes souhaiteraient devenir des musulmanes !
Pour une bonne meilleure illustration de l'islam véritable, voici quelques enseignements islamiques relatifs au statut de la femme musulmane.
Le Coran fait une distinction entre le mariage qui honore la femme et le concubinage qui l’accable. La relation sexuelle conjugale est considérée comme valorisante et la relation charnelle extra-conjugale minorative.
La femme en islam peut avoir des propriétés. Elle peut établir des contrats, faire des échanges, s'engager dans le commerce. Le Coran déclare :
« Aux hommes revient une part de ce qu'ils auront gagné et aux femmes revient une part de ce qu'elles auront gagné. »
La femme possède donc une personnalité juridique complète. Mariée, elle reste maîtresse de son avoir.
Le Coran astreint l’époux à la fidélité absolue, ce qui signifie explicitement que le musulman marié est tenu de n’avoir des relations charnelles qu’avec sa propre femme. À défaut de quoi il sera puni par un châtiment approprié et sa femme a le droit de divorcer si elle le désire.
De ce fait, le Coran veut que l’ensemble des questions conjugales soit géré par le couple par le biais d’une concertation constante et inviolable :
Ainsi est le statut authentique de la femme musulmane, loin de ces prêcheurs satellitaires à la solde et ces détracteurs qui veulent rendre l’islam source de répression. En aucun cas l’Islam ne fait de la femme une machine à bébés.
Toutefois les femmes juives sont maintenues à un état originel, Car la femme est une servante pour son mari comme l’est l’esclave pour son maître. Sans que le monde occidental civilisé ne puisse dénoncé cet état de fait
En effet, à bien des égards, la condition de la femme juive est à rapprocher de celle de l’esclave cananéen.
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