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Science et religion aujourd’hui : perspectives islamiques

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  • #31
    Effectivement, tu as raison.
    Restons en donc là.

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    • #32
      Far

      "Ah bon ! ... Personnelement, les passages suivants m'ont interpellé, tu pense que ce n'est pas nouveau ? "

      Tu as raison, j'ai lu un peu vite ce passage et n'y ai pas prété l'attetion voulue. Mais même en relisant, en fait par raport à l'esprit escientifique tel qu'il existe et évolue depuis quelques decennies, c'est bien nouveau. Par contre au sein de l'intellectualité Islamique (courant d'ailleurs cité par l'auteur et auquel lui même appartient), ces choses là sont affirmées depuis le début du siècle, et par des gens qui ont d'autres compétences que les sciences traditionnelles.

      sinon des orientations quelque peu contradictoires.
      Là je doit dire que j'ai dû rater quelque chose !!! je demande à voir ... bienentendu ce serai ridicule de ma part de penser que tu aurai pu confondre entre les passages déscriptifs ou il dresse un tableau des différentes écoles de pensée, et ces propre propos.
      C'est en effet ridicule

      A vrai dire ça serait long de rentrer dans ce genre de débat, surtout qu'il n'est pas précisé dans quel objectif cet article a été élaboré. Bien que l'auteur a souligné la résurgence de ce débat dans les milieux universitaires, et sa portée actuelle différente de ce qu'elle a pu être par le passé. En fait la contradiciton réside dans le fait de placer ces trois courants sur le même plan, alors que l'auteur sait trés bien qu'ils appartiennent par leur nature à des influences et et des modalités extremement différentes. Même si le deuxième mouvement (que je ne connaissais pas) et troisièeme mouvement semblent s'accorder sur la relativoté de la science occidentale, les résultats qu'ils se proposent d'atteindre sotn trés éloignés. En somme le troisième courant ne peut même pas être placé comme acteur du dialogue science-religion, et le représentant qu'il mentionne M.H.Nasr n'est pas le meilleur représentant de ce courant. En fait il ya un débat à ce sujet qui n'est pas de ceux qu'on verra se résoudre un jour. C'est dans ce sen que je vois des orientations contradictoires, car si l'on suppose que le débat entre science et religion a existé depuis le 11me siècle; et continue aujourd'hui avec des données et un environnement nouveaux, on considère qu'il y a eu une science et une religion depus lors et donc deux approches sapientielles différentes. Ce qui ne peut se comprendre par la suite de l'article.
      En clair les trois courants présentent des orientations différentes, le premier courant largement majoriaire, qui aservi la religiosité ambiante, e notamment le Salafisme, tend à dissocier la religion de la science. La science est l'affaire du monde, et la religion de l'au dela (en trerme de connaissance), la seconde propose un unité de la connaissance à travers une islamisation de la science, et la troisième en fait rien.
      En tout cas cet article aura pour mérite de montrer l'incohérence de la mentalité religieuse musulmane moderne, par le fait que la science n'est que le fruit d'un point de vue, donc d'une démarche, et qu'elle est tout autre que ce qu'elle parît être, c'est à dire une perception du monde. Elle suppose des choix, des efforts et une construction, ce qui devrait inciter les musulmans adeptes de la péninsule arabique, friands de yacht et de jets privés (pour ne pa parler des casinos) de se poser des questions sérieuses aulieu de perdre leur temps sur des questions ridicules, et à commencer à chercher le modèle par lequel peut s'opérer cette science islamique.
      Ils devraont comprendre que cette obligation est une injonction Divine, et qu'elle ne s'acquiert pas par l'insouciance et la paresse qui fait dire "les occidentaux, ils ont travaillé Dieu leur a donné", ou alors "ils ont choisi ce bas monde et Dieu leur a donné". S'ils veulent acquérir la science islamique, il faut qu'il la construise, car celle là n'est qu'un point de vue. et là bponjour les dégats.

      Pour en finir avec l'expansion de l'univers, il me semble avoir lu dans tes messages que tu citais souvent cette théprie et que tu en connaissais un bout, me trompes-je?
      "L'éternité c'est long surtout vers la fin" W.Allen

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      • #33
        Je te rejoint et je suis en gros dacord avec ce qui dit l'ami.

        il me semble avoir lu dans tes messages que tu citais souvent cette théprie et que tu en connaissais un bout, me trompes-je?

        Oui mais j'avais pas saisi où tu voulais en venir en disant que c'était rien d'extraodinaire, ne crois pas que je suis de ceux qui mettent trop en avant les miracles scientifiques du Coran, l'auteur a bien mis en garde contre ce genre de choses.

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        • #34
          Far

          ne crois pas que je suis de ceux qui mettent trop en avant les miracles scientifiques du Coran, l'auteur a bien mis en garde contre ce genre de choses.

          En effet cette attitude tout à fait insidieuse est de celles qu'on pet qualifier des plus susupectes. En gros comme si Dieu 'swt) avait desoin qu'on vienne démontrer ces propos, ou que lui mettrait dans le Qor"an des sens cachés qui n'apparetraient que des siècles plus tard, paer le bias de travaux de non musulmans.
          Cette attitude apologétique est caractéristique de l'aveu d'impuissance des fans de l'Islah, et notamment de leurs dérivées politiques, qui ne sont qu'expugner un gros gros complexe qu'ils ont de l'occident, beaucoup plus plus significatif que la démarche construictive méthodique, rogoureuse et saine. D'ailleurs l'auteur le montre magistralement par la mention de la conférence de Rena. En fait cette attitude était caractérique de la fin 19 et début 20, allait exactement à l'encontre du troisième courant. Elle pronait un Islam qui dissocie entre la foi et la connaissance, alors que le troisième courant montrait la suprématie de la connaissance traditionnelle, et la subordination de toute science (moderne ou autre) à celle-ci.

          Le coté pratique est effectivement d emontrer aux musulmans le Devoir qu'ils ont dde partciper à l'esprit scientifiaque mususlman, au lieu de leur montrere meur devoir de faire le Djihad, afin de servir les interets Israélin et américains. Mais cela est beaucoup plus compliqéz et dmande un petit peu plus de sérieux, de fois, d'abnégation, d'intellignce et de scrifice, de Djihad au sens propore au nom d'ALLAH.
          "L'éternité c'est long surtout vers la fin" W.Allen

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          • #35
            comme dirait Bachi, je me suis tapé la lecture de ce scientifique, cherchant de la substance, en vain...
            mais en parlant de Maurice Bucaille justement et du miracle scientifique du coran, voila ce que dit Claude Allegre dans son livre "Dieu face a la science":

            "Un chirugien francais ,Maurice Bucaille, dans un effort de recherche sincère, a essayé de montrer que le Coran était le seul livre sacré à n'offrir aucune contradiction avec la science actuelle. Pourtant le Coran, comme la Bible, maintient une symétrie entre ciel et Terre et mélange les scénarios du big-bang et de la naissance de la Terre. La magie du nombre sept chère au Coran est parfaitement arbitraire:les septs cieux n'ont aucune justification scientifique. Les montagnes ne sont pas immobiles comme le dit le Coran, mais se déplacent avec la dérive des continents. Etc. Certes on trouve dans le Coran des passages qui ne peuvent réjouir le scientifique moderne. Lorsque, à propos du Soleil et de la Lune, il est écrit "chacun se déplace sur son orbite avec son mouvement propre" sourate21, verset33, cela témoigne d'une conception exacte de la mécanique céleste. Mais on peut trouver des affirmations crédibles analogues dans tous les récits mythiques,de L'Iliade au Mahabharata. Ce que l'on peut néamoins dire c'est qu'étymologiquement parlant le Coran contient moins de déclaration "inexactes" pour le scientifique que la bible, tout simplement parcequ'il a été écrit dix siècles plus tard et qu'il a donc incorporé les croyances de son temps, bien sûr plus modernes."
            J'ai appris que le courage n 'est pas l'absence de peur, mais la capacité de la vaincre. Nelson Mandela

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            • #36
              L'un des interets de cet article, cd eja de sortir des discussions d'ordinaire sur le Halal Harram, qui ont certes un interet, mais qui proviennent souvent, d'une théorie erronnée. Cette théorie consiste grosso modo à figer la connaissance et à considérer celle-ci comme une activité définie au départ, et bien encadrée de sorte que si on veut l'acquérir, il n'y qu'à ke vouloir, comme si on allait au marché faire ses courses. Ce qui obture entièremetn la méthodologie et l'approche philosophique, la théorie de la connaissance si on veut, sous jacente.

              Cette approche a non seulment le désavantage de produire une population d'ignorants, mais surtout produit des personnes qui dissocient entièrement la démarche qui provoque l'acuisition de la connaissance et le rapport avec les questions liées à la religion. Celle-ci ne devient plus qu'une religiosité, c'est à dire une pratique dénuée de sens, et le rapport à Dieu devient un rapport quelconque avec une idée qui ne répond plus à aucune intelligence ni aucun sens, mais une donnée qui nous vient des textes, aussi positivement que les données naturelles et sensibles. Il est d'ailleurs interressant de remarquer que ce positivisme se retrouve notament, dans cettaines courants protestants.

              Donc grosso modo, c'est l'utilité d'un tel article. il ne faut s'attendre à trouver des trouvaille, car l'auteur ne fait que référencer les différents courants intellectuels, qui se reclament de l'Islam, et il est interessant à ced propos de noter leur orientations. Entre le 1er courant bien connu et qui représente la majorité de par sa déclinaison dans les démarches plus pratiques (sociales, et politiques) le second qui veut construire une "science islamique, et le 3me qui prone la suprématie totale et universelle de la métaphysique.
              Ce que tu cites de Bucaille, l'auteur le mentionne aussi, et cet état d'esprit a fait son temps, et perdu de sa superbe, car il n'a plus la naiveté d'origine, que les pauvres gens lui pretait. Je me rappelle de la conférence de Bucaille à l'USTHB quand il remplissait les amphis. Je ne crois pas qu'il aurait le m^me "succès" aujourd'hui. Je me rappelle aussi de Zindani, qui avait en même temps brossé tout un tableau sur les miracles lié au Cor'an, et faisait de la propagande pour enroller les gens en Afghanistan.
              Mais il ne faut pas vous attendre à un article qui fait un duel "substanciel" entre la science et l'ISlam. Ce n'est pas le but et d'ailleurs il l'explique.
              "L'éternité c'est long surtout vers la fin" W.Allen

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