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Aïcha fille d’Abou Bakr, nacquit à La Mecque en 614 environ . Dès son jeune âge, elle se distingue par son amour pour le savoir et l’acquisition de la connaissance. Elle était très proche de son père, Abou Bakr, homme sage, cultivé et possédant un potentiel de grandes connaissances. Elle n’arrêtait pas de lui poser des questions relatives à toutes les choses qui l’entouraient, à l’univers, aux peu de sciences connues à l’époque, questions qui ne pouvaient sortir d’un esprit d’enfant.
L’âge de Aïcha, lorsque le prophète l’épousa a fait l’objet de divergences entre les historiens. Certains comme Ibn Is’hak, disent qu’elle avait entre 14 ans et 16 ans, d’autres lui donnent un âge inférieur et d’autres, plus. Nous retiendrons cependant qu’Aïcha faisait partie des exilés en Ethiopie avec son père lorsqu’elle avait 9 ans. Il faut retenir aussi que les femmes de cette région étaient très précoces et que le prophète l’avait épousé à la Mècque, mais le mariage ne fût consommé qu’à Médine, après la Hidjra.
En plus de son érudition et de sa perspicacité ; et au côté du prophète Mohamed (saws) elle acquit des connaissances trés étendues, surtout en matière de ‘’Fik’h’’ et de jurisprudence, à un tel point qu’aujourd’hui, ses dires sont étudiés dans les universités islamiques et sont une réelle référence et font l'objet de recherches dans les thèses et mémoires d’étudiants en fin de cycle. Elle rapporta plus de 2000 Hadiths et citations du prophète.
Les compagnons de ce dernier lui vouaient une confiance sans faille en ce qui concerne l'étendue de son savoir, notamment en jurisprudence et sur les questions féminines et l'interrogeaient souvent,elle plutôt que quelqu’un d’autre. Elle était pour eux, une référence incontournable.
Abou Moussa al-Ash'ari, parmi les grands compagnons du prophète (saws) a dit : "si nous avions quelques difficultés sur une question, nous interrogions Aicha."
De sa vie sociale, les historiens rapportent qu’elle était d’un tempérament porté sur la jalousie et aurait souhaité qu’elle soit la seule épouse du prophète et sa seule bien aimée. Mohamed (saws) était bien conscient de ce trait de caractère d’Aïcha et ne manquait pas de la tranquilliser de temps à autre. Une fois elle lui demanda "Comment est ton amour pour moi ?". Il lui répondit : "Comme le nœud d’une corde, Aïcha", faisant allusion à la force de ce sentiment éprouvé envers elle.
Toutes les épouses de Mohamed (saws) étaient des veuves, sauf Aïcha pour qui, il le fût le premier et unique mari, et elle en était fiere. Ce qui lui laissera dire un jour à l’ensemble des femmes présentes à ce moment là: ''Je suis la seule femme vierge que le prophète a épousé''. Fatima, présente se rappela soudain sa mère Khadidja, rétorqua aussitôt : ''D’accord, mais il faut savoir aussi que ma mère Khadidja est la seule femme qui a épousé le prophète alors que lui, était vièrge…''.
Un jour elle demanda à Mohamed : "O Prophète de Dieu,dis-moi. Si tu étais entre deux prairies de pâturage, une déjà consommée en partie et l’autre ne l’ayant jamais été, vers laquelle guiderais-tu ton troupeau ?" "Mais Sur celle qui n'a jamais été exploitée bien sûr", répondit-il, étonné de cette question. Elle dit : "…Et bien, moi c’est l’autre prairie, je ne suis pas comme tes autres épouses, elles ont toutes été mariées déjà sauf moi."
Le Prophète (saws) avait beaucoup d'affection pour Aicha et cela jusqu’aux derniers instants de sa vie. Les derniers jours de son existence, malade et fatigué; et sur les conseils de ses épouses, il les passa dans la chambre d’Aicha jusqu’à ce qu’il rendît l’âme et c’est là qu’il fût enterré.
Aicha a survécu au Prophète pendant une cinquantaine d’années environ. Elle les passa à apprendre et le coran et à enseigner surtout, les deux sources de jurisprudence de l’islam, le coran et la sunna.
Elle mourût à Médine en l’an 678, pendant le mois de Ramadhan de l’an 58 de l’hégire et fût enterré dans le cimétière « d’El-Baky » à coté de la mosquée du prophète.
Zacmako
L’âge de Aïcha, lorsque le prophète l’épousa a fait l’objet de divergences entre les historiens. Certains comme Ibn Is’hak, disent qu’elle avait entre 14 ans et 16 ans, d’autres lui donnent un âge inférieur et d’autres, plus. Nous retiendrons cependant qu’Aïcha faisait partie des exilés en Ethiopie avec son père lorsqu’elle avait 9 ans. Il faut retenir aussi que les femmes de cette région étaient très précoces et que le prophète l’avait épousé à la Mècque, mais le mariage ne fût consommé qu’à Médine, après la Hidjra.
En plus de son érudition et de sa perspicacité ; et au côté du prophète Mohamed (saws) elle acquit des connaissances trés étendues, surtout en matière de ‘’Fik’h’’ et de jurisprudence, à un tel point qu’aujourd’hui, ses dires sont étudiés dans les universités islamiques et sont une réelle référence et font l'objet de recherches dans les thèses et mémoires d’étudiants en fin de cycle. Elle rapporta plus de 2000 Hadiths et citations du prophète.
Les compagnons de ce dernier lui vouaient une confiance sans faille en ce qui concerne l'étendue de son savoir, notamment en jurisprudence et sur les questions féminines et l'interrogeaient souvent,elle plutôt que quelqu’un d’autre. Elle était pour eux, une référence incontournable.
Abou Moussa al-Ash'ari, parmi les grands compagnons du prophète (saws) a dit : "si nous avions quelques difficultés sur une question, nous interrogions Aicha."
De sa vie sociale, les historiens rapportent qu’elle était d’un tempérament porté sur la jalousie et aurait souhaité qu’elle soit la seule épouse du prophète et sa seule bien aimée. Mohamed (saws) était bien conscient de ce trait de caractère d’Aïcha et ne manquait pas de la tranquilliser de temps à autre. Une fois elle lui demanda "Comment est ton amour pour moi ?". Il lui répondit : "Comme le nœud d’une corde, Aïcha", faisant allusion à la force de ce sentiment éprouvé envers elle.
Toutes les épouses de Mohamed (saws) étaient des veuves, sauf Aïcha pour qui, il le fût le premier et unique mari, et elle en était fiere. Ce qui lui laissera dire un jour à l’ensemble des femmes présentes à ce moment là: ''Je suis la seule femme vierge que le prophète a épousé''. Fatima, présente se rappela soudain sa mère Khadidja, rétorqua aussitôt : ''D’accord, mais il faut savoir aussi que ma mère Khadidja est la seule femme qui a épousé le prophète alors que lui, était vièrge…''.
Un jour elle demanda à Mohamed : "O Prophète de Dieu,dis-moi. Si tu étais entre deux prairies de pâturage, une déjà consommée en partie et l’autre ne l’ayant jamais été, vers laquelle guiderais-tu ton troupeau ?" "Mais Sur celle qui n'a jamais été exploitée bien sûr", répondit-il, étonné de cette question. Elle dit : "…Et bien, moi c’est l’autre prairie, je ne suis pas comme tes autres épouses, elles ont toutes été mariées déjà sauf moi."
Le Prophète (saws) avait beaucoup d'affection pour Aicha et cela jusqu’aux derniers instants de sa vie. Les derniers jours de son existence, malade et fatigué; et sur les conseils de ses épouses, il les passa dans la chambre d’Aicha jusqu’à ce qu’il rendît l’âme et c’est là qu’il fût enterré.
Aicha a survécu au Prophète pendant une cinquantaine d’années environ. Elle les passa à apprendre et le coran et à enseigner surtout, les deux sources de jurisprudence de l’islam, le coran et la sunna.
Elle mourût à Médine en l’an 678, pendant le mois de Ramadhan de l’an 58 de l’hégire et fût enterré dans le cimétière « d’El-Baky » à coté de la mosquée du prophète.
Zacmako
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