Déontologie de l’abbatage en Islam
"Dieu a commandé le bien en toute chose. Si vous tuez, faites-le avec bonté, et si vous vous égorgez, faites-le également avec bonté. Aiguisez votre lame et accordez le repos à la victime".
Dans ce hadith, nous comprenons la place accordée aux animaux dans l’islam, le musulman ne doit pas faire souffrir inutilement les bestiaux lors de abattage.
En effet, le couteau doit être aiguisé hors de la présence de l’animal qui ne doit pas être égorgé devant d’autres bêtes.
L’animal doit être bien traité, on ne doit pas le traîner par les pattes, ni le cogner sur le sol, ni l’immobiliser en mettant le pied sur son cou. Il ne faut pas écorcher, ni sectionner son épine dorsale ou une autre partie de son corps s’il est encore en vie.
Conditions d’égorgement (dhabh) :
Celles-ci se rapportent à la bête, à la personne effectuant l’immolation, et à l’instrument de celle-ci.
Conditions concernant la bête à égorger :
Pour que l’égorgement soit valable, il faut que :
a. La bête soit vivante au moment de l’égorgement.
b. Que l’âme sorte grâce à l’égorgement.
c. Qu’elle ne soit pas un gibier du haram (la Mecque).
Les mâlikites ont ajouté une autre condition :
d. Que la bête ne soit pas tuée par le nahr si elle ne fait pas partie des camélidés.
Il y a donc en tout quatre conditions.
"Dieu a commandé le bien en toute chose. Si vous tuez, faites-le avec bonté, et si vous vous égorgez, faites-le également avec bonté. Aiguisez votre lame et accordez le repos à la victime".
Dans ce hadith, nous comprenons la place accordée aux animaux dans l’islam, le musulman ne doit pas faire souffrir inutilement les bestiaux lors de abattage.
En effet, le couteau doit être aiguisé hors de la présence de l’animal qui ne doit pas être égorgé devant d’autres bêtes.
L’animal doit être bien traité, on ne doit pas le traîner par les pattes, ni le cogner sur le sol, ni l’immobiliser en mettant le pied sur son cou. Il ne faut pas écorcher, ni sectionner son épine dorsale ou une autre partie de son corps s’il est encore en vie.
Conditions d’égorgement (dhabh) :
Celles-ci se rapportent à la bête, à la personne effectuant l’immolation, et à l’instrument de celle-ci.
Conditions concernant la bête à égorger :
Pour que l’égorgement soit valable, il faut que :
a. La bête soit vivante au moment de l’égorgement.
b. Que l’âme sorte grâce à l’égorgement.
c. Qu’elle ne soit pas un gibier du haram (la Mecque).
Les mâlikites ont ajouté une autre condition :
d. Que la bête ne soit pas tuée par le nahr si elle ne fait pas partie des camélidés.
Il y a donc en tout quatre conditions.
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