Envoyé par AAnis
ceci dit, ils l'auraient certainement interprété de manière allégorique, et auraient certainement retenu le libre-arbitre (qui est leur dada) comme élément commun...
pour les ash3arites, en gros les anciens pratiquaient ce qu'ils appellaient le tafwidh, c'est à dire qu'ils ne se prononcent pas devant le texte ambigu, s'en remettant à Dieu pour ce qui est du sens... tandis que les nouveaux n'hésitent pas à pratiquer le ta'wil, à savoir une interprétation dûment argumentée, tant qu'elle évite les travers de l'anthropomorphisme, de l'assimilation et qu'elle préserve la transcendance divine (tanzih)
Envoyé par bouberita
j'ai déjà mentionné plus haut que rien que dans l'interprétation linguistique du pronom ـه les oulémas se sont scindés en 3 groupes incompatibles... alors si on y ajoute les divergences doctrinaires...
Commentaire