Bani Israel Samiri , et le veau est ce le debut du materielisme ?

[Tamedit n-was]

Salam

" (Quant à) ceux qui ont pris le veau (pour le culte), sûrement colère de leur seigneur et l'humiliation les rattrapera, et ainsi nous récompense les devisers des mensonges. (Coran 7:152) "

" Il (Samiri) a dit : J'ai vu ce qu'elles n'ont pas vu, ainsi j'ai pris une poignée (de la poussière) des marchepieds du messager, puis je l'ai jetée dans le bâti (du veau) ; a ainsi fait mon âme (les nafs) recommandent à moi. » (Coran 20:96) "

Ce versett se rapporte à l'histoire du veau d'or fait et adoré par les israélites après leurs exodes d'Egypte ( Misr ),, tandis que Moïse (Mousa (a.s.)) était dans la communion avec Dieu sur les tailles du bâti Sinai, alors que la révélation était en cours de lui être envoyé vers le bas, alors que Dieu manifestait sa présence à Moïse et divulguait à lui les secrets de la création et de la structure de la religion, certains des israélites (sous la direction et la surveillance d'une personne appelée Samiri) construisait et adorait une statue avec d'un veau d'or ,,,Les adorateurs du veau ne s'étaient pas retournés contre la religion seule - ils n'étaient pas des rejecters de croyance dans Dieu ,, Ils ont cherché le divin mais ils l'ont cherché par le culte d'une manifestation concrète ou avec un autre térme materielisme - par un évident, objet réel, un idole - un construit avec des ornements qui étaient un symbole de la richesse mondaine, puissance, et plaisirs. Ils se sont engagés dans le shirk (idolâtrie ou association). Par ce désir à eux pour une représentation mondaine, évidente, fastueuse du divin, ils sont devenus trompés.
Cette déception est survenue par l'action de Samiri, une personne qui a été dotée d'un degré de la connaissance et de perspicacité dans la religion, mais qui a employé que la perspicacité fasify plutôt que clarifier des sujets pour les israélites,,en même temps que Samiri ils sont devenus des inventeurs d'une religion contrefaite - une croyance contrefaite - une croyance qui était une antithèse directe à la pureté de la révélation qui se manifestait simultanément sur le bâti Sinai et dans le coeur de Moïse ,, Tandis que cette descente puissante de la connaissance divine se produisait sur les tailles de Sinai, à la base de la montagne une caricature, une parodie de ce processus divin dévoilait ( c'est les dix . Ce contrefaçon a émergé quand la croyance naissante des israélites prenait la forme et était toujours, historiquement, dans elle est toujours enfance. C'est peut-être, une partie de la raison de la condamnation dure des qur'an de leur action. La déception de Samiri était une tentative ;,, de tuer ou tordre la religion avant qu'elle ait pris un aspect de la solidité et de la maturité, en créant une compteur-religion.

Que ce moyen ? Quelle est une religion contrefaite ? Elle est un qui imite la vraie religion, mais elle extériorise et matérialise cela au dessus dont est et au delà de la matière, qui qui reste invisible et cela qui est seulement représentéé par des symboles abstraits dans la vraie religion ,, Elle prend quelque chose qui est, dans son essence, immatérielle, superbe sensorielle (au delà des sens), le chant religieux, d'un évolué - et des convertis il dans quelque chose d'un ordre inférieur, un qui néanmoins contraint parce qu'il est immédiat, réel, matériel, mondain, facilement perceptible. Elle fait (mais brut et tordu) une image solidifiée ici en ce monde inférieur et essaye de cette manière de tuer un arrangement plus profond,,

[Tamedit n-was]

[Tamedit n-was]

Salam

je trouve l'interet de parler sur sujet de la morale qu'on doit tirer de cette histoire ,, cette histoire ité plusieurs fois dans le coran , et si on remarque c'est le premier pêché commis par la communauté de Bani Israel qui a été musulmane préférée parmis les autres , de parler plusieurs fois de bani Israel dans le coran et meme ( la moitié du coran ou plus parle que de ça ,,, je ne suis pas sur de l'information !!!!! )) d'où l'interet de cet événement ,, la morale qu'on doit tirer est que an nafs (l'âme) est le lieu où les réalités invisibles dévoilent et se manifestent ( je ne sais pas si je peus dire sub conscience ) - ils en dedans, et augmentent la connaissance, l'intellect, et la conscience humains au delà des limites des nombreux et des systèmes variables de la connaissance créés et utilisés par l'homme ,, nootre individu interne est l'endroit pour l'apperception de l'invisible - Dieu manifeste ses vérités au coeur humain épuré et montre ses signes dans les nafs humains - dans ces nafs qui se sont réveillés à la conscience qui dans l'homme là est cachée un axe qui coupe à travers tous mondes, haute et bas ,, la religion imitative de Samiri éloigne le lieu de l'interne à l'externe (un externe brut et vulgaire) on remarqeu dans le verset (vers 85 98)sourate 20 taha dans e coran indique l'histoire de la façon dont Samiri a trompé les personnes avec le veau d'or ,, quand Moïse part pour Sinai, son être entier se répand avec la puissance de l'attraction divine qui l'appelle à elle-même ,, samiri note quelque chose dans la poussière des marchepieds de Moïse ( et ceratins moufassirine disent de Djibril " Gabriel " ) Il est comme si il y a une trace, un parfum, une présence à gauche derrière dans les marchepieds de ceux qui sont près de Dieu ,, samiri peut discerner cette présence où d'autres ne sont pas - ainsi il a un certain degré dont de perspicacité ils manquent - mais en même temps l'aspect inférieur de son individu (Al-amarra de nafs) est fort et mal diriger son discernement vers une extrémité basse en un autre mot son nafs est incontolable ,,

[Tamedit n-was]

cette histoire du veau d'or est un indicateur à l'importance de faire des efforts intenses et continus en maintenant,,, en cultivant,,en développant,, et en inculquant l'arrangement et la connaissance profonds de la religion et de la révélation un arrangement qui n'est pas entravé, est conditionné et pas formé par les courants changeants, désire, des tendances, des modes, des pressions, la politique, et des idéologies de nos périodes en l'absence de tels efforts, d'or met bas et Samiri s'épanouira ,, jusqu'à Imam

[Tamedit n-was]

voici l'histoire de ses evenements cités dans le coran dans plusieurs sourates et la sourat TAHA l'une ,
traduction en français des versets 77 - 100 de sourate TAHA

77. Nous révélâmes à Moïse : "Pars la nuit, à la tête de Mes serviteurs, puis, trace-leur un passage à sec dans la mer : sans craindre une poursuite et sans éprouver aucune peur".
78. Pharaon les poursuivit avec ses armées. La mer les submergea bel et bien.
79. Pharaon égara ainsi son peuple et ne le mît pas sur le droit chemin.
80. Ô Enfants d'Israël, Nous vous avons déjà délivrés de votre ennemi, et Nous vous avons donné rendez-vous sur le flanc droit du Mont. Et Nous avons fait descendre sur vous la manne et les cailles.
81. "Mangez des bonnes choses que Nous vous avons attribuées et ne vous montrez pas ingrats, sinon Ma colère s'abattra sur vous : et celui sur qui Ma colère s'abat, va sûrement vers l'abîme.
82. Et Je suis Grand Pardonneur à celui qui se repent, croit, fait bonne oeuvre, puis se met sur le bon chemin".
83. "Pourquoi Moïse t'es-tu hâté de quitter ton peuple ?"
84. Ils sont là sur mes traces, dit Moïse. Et je me suis hâté vers Toi, Seigneur, afin que Tu sois satisfait.
85. Dieu dit : "Nous avons mis ton peuple à l'épreuve après ton départ. Et le Samiri les a égarés".
86. Moïse retourna donc vers son peuple, courroucé et chagriné; il dit : "Ô mon peuple, votre Seigneur ne vous a-t-Il pas déjà fait une belle promesse ? L'alliance a-t-elle donc été trop longue pour vous ? ou avez-vous désiré que la colère de votre Seigneur s'abatte sur vous, pour avoir trahi votre engagement envers moi ?"
87. Ils dirent : "Ce n'est pas de notre propre gré que nous avons manqué à notre engagement envers toi. Mais nous fûmes chargés de fardeaux d'ornements du peuple (de Pharaon); nous les avons donc jetés (sur le feu) tout comme le Samiri les a lancés.
88. Puis il en a fait sortir pour eux un veau, un corps à mugissement. Et ils ont dis : "C'est votre divinité et la divinité de Moïse; il a donc oublié" !
89. Quoi ! Ne voyaient-ils pas qu'il [le veau] ne leur rendait aucune parole et qu'il ne possédait aucun moyen de leur nuire ou de leur faire du bien ?
90. Certes, Aaron leur avait bien auparavant : "Ô mon peuple, vous êtes tombés dans la tentation (à cause du veau). Or, c'est le Tout Miséricordieux qui est vraiment votre Seigneur. Suivez-moi donc et obéissez à mon commandement".
91. Ils dirent : "Nous continuerons à y être attachés, jusqu'à ce que Moïse retourne vers nous".
92. Alors [Moïse] dit : "Qu'est-ce qui t'a empêché, Aaron, quand tu les as vus s'égarer.
93. de me suivre ? As-tu donc désobéi à mon commandement ?"
94. [Aaron] dit : "Ô fils de ma mère, ne me prends ni par la barbe ni par la tête. Je craignais que tu ne dises : "Tu as divisé les enfants d'Israël et tu n'as pas observé mes ordres".
95. Alors [Moïse] dit : "Quel a été ton dessein ? Ô Samiri ?"
96. Il dit : "J'ai vu ce qu'ils n'ont pas vu : j'ai donc pris une poignée de la trace de l'Envoyé; puis, je l'ai lancée. Voilà ce que mon âme m'a suggéré".
97. "Va-t-en, dit [Moïse]. Dans la vie, tu auras à dire (à tout le monde) : "Ne me touchez pas !" Et il y aura pour toi un rendez-vous que tu ne pourras manquer. Regarde ta divinité que tu as adorée avec assiduité. Nous la brûlerons certes, et ensuite, nous disperserons [sa cendre] dans les flots.
98. En vérité, votre seul Dieu est Dieu en dehors de qui il n'y a point de divinité. De Sa science Il embrasse tout.
99. C'est ainsi que Nous te racontons les récits de ce qui s'est passé. C'est bien un rappel de Notre part que Nous t'avons apporté.
100. Quiconque s'en détourne (de ce Coran), portera au jour de la résurrection un fardeau;

[Tamedit n-was]

selon vous quelle est la morale tirée dans ce voyage de l'exode ?

[Heliopolis]

La morale de cette histoire, a mon avis, c'est que l'homme en general et le juif en particulier est plus sensible au profit immediat qu'en la recompense divine dans une vie future.

[Tamedit n-was]

Samiri

En ce moment je suis en train d'étudié un sujet qui me semble un peu délicat et sensible à la fois !! mais avant de en dire plus, je voudrais savoir si l'un ou l'une d'entres vous, connaît le sens du passage de la sourate Taha où Moussa(BSL) est en "discussion" avec son frère Haron(BSL) et Samiri (Le Samarie)

Mes interrogations sont qui est le Samirie et surtout que peut signifier ce que

Moussa(BSL) lui dit (se reporterSourate TAHA versets: 82-90)

[Tamedit n-was]

As salam 'Alaykum wa rahmat'u allah barakatuhu !


personne veut me répondre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

mais bof !
j'ai fais une recherche consernant l'origine et la personne de Samiri , j'ai trouvé un article trés intéressant , j'ai donc pris connaissance de l'article, j'ai semble t-il compris le sens, qui n'étais pas vraiment le but de ma question, qui elle meme effectivement n'étais pas très claire et je vais m'expliquer par la suite.Ceci étant dit, l'article m'a appris l'origine de ce nom et qui confirme nombres de sujet relatif au personnage de Samiri...

je le partagerai avec vous

[Tamedit n-was]

1. Introduction
Selon les missionnaires et les apologistes chrétiens, comparaisons erreurs sérieuses entre le Qur'anic et exposition biblique de récits dans le Qur'an. Les récits de Qur'anic seraient « absurdes » ou « historiquement impossibles ». Prendre par exemple l'histoire de Moïse comme relié dans le Qur'an : le Qur'an mentionne un certain Haman qui a été associé à la cour du pharaon - quand en réalité, disent les missionnaires, il était un conseiller d'Ahasuerus qui a vécu 1.100 ans après pharaon ; le Qur'an mentionne que le pharaon a crucifié ou a empalé ses victimes sur un enjeu, pourtant la crucifixion était inconnue en Egypte à ce moment-là.
Comptant fortement sur un orientalist chrétien (prolifique) simple, les missionnaires déclarent également que le Qur'an, selon Surah 20, indique que les israélites ont été déroutés par un « Samaritain » - pourtant les personnes samaritaines n'ont pas existé jusque beaucoup de siècles à plus tard. Quelle évidence est présentée pour soutenir ces réclamations ? Les présuppositions des missionnaires chrétiens peuvent-elles être prises sérieusement à la lumière de la bourse samaritaine contemporaine ? Cet article propose d'examiner l'origine des Samaritains comme suggérée par les missionnaires chrétiens.

[Tamedit n-was]

2. L'erreur « samaritaine »
L'erreur « samaritaine » dans le Qur'an peut être retrouvée aux attitudes de Judeo-Chrétien fournies par à première vue une considération du matériel de vieux testament. Même après l'arrivée de la bourse biblique critique, on l'a supposé que l'image des Samaritains en tant que peuple de course et de religion mélangées, de la manière prévue dans II les rois 17, était pour tous les intention et buts précis. Un exemple typique vient de l'édition 1898 d'un dictionnaire de James Hastings de la bible. Dans l'article « Samaria, le territoire de » par C.W. Wilson, la description des Samaritains est donné comme :
Dans 2 K 17:29 ces colons se nomment des « Samaritains. » Josephus indique… qu'ils se sont appelés Cuthaeans dans l'hébreu, de Cuthah, la ville de leur origine… et il a considéré les Samaritains de son jour comme leurs descendants. Le Cuthaeans et d'autres ont apporté leurs dieux nationaux, un acte qui était censé pour avoir apporté sur eux la vengeance de Dieu de la terre. [1]
Les descriptions des Samaritains adorant un mélange des dieux doivent beaucoup à la polémique juive de jour postérieur, en particulier, ce résulter des antiquités de Josephus aussi bien que du vieux testament elle-même. Il n'étonne pas que les vues au sujet des origines de Samaritains également ont franchement influencé d'une manière différente la polémique anti-Islamique dans l'ouest dans le commencement du 20ème CE de siècle. Par exemple, tout en discutant la mention d'Al-Samiri dans le Qur'an, Henri Lammens déclarait cela :
« les anachronismex les plus éclatants » est « l'histoire du Samaritain qui (sic) est allégué pour avoir incité les juifs à adorer le veau d'or… » [2]
Que ces réclamations ont littéralement pullulated parmi les missionnaires chrétiens est quelque chose d'une sousestimation. Par exemple, les Anis Shorrosh indique :
Le Qur'an indique que le veau d'or adoré par les israélites dans le désert a été moulé par un samaritain… En fait, le Samaritain de limite n'a pas été employé jusqu'à 722 AVANT JÉSUS CHRIST, plusieurs centaines d'années après que les événements enregistrés dans l'exode. [3]
Ergun Mehmet Caner et émir Fethi Caner, citant vraisemblablement Shorrosh, parole :
Le Qur'an indique que le veau d'or adoré par les israélites au bâti Horeb a été moulé par un Samaritain. Le Samaritain de limite n'a pas été inventé jusqu'à 722 B.C., plusieurs centaines d'années après l'exode, quand l'idole a été ouvré. [4]
Des réclamations semblables ont été faites par Mateen Elass qui dit :
Comme-Samiri n'est pas un nom propre pendant que l'article défini avant le trait d'union fait clairement. La plupart des disciples musulmans comprennent cette limite pour vouloir dire « le Samaritain, » mais ceci est problématique puisque les Samaritains n'ont pas été constitués car un peuple séparé jusqu'après à la déportation des tribus nordiques de l'Israel sous l'empire assyrien, à quelques cinq cents ou plus d'années après l'incident d'or de veau. [5]
L'archer de Gleason dans la section « anachronisme et inexactitudes historiques dans Coran » trouve la difficulté dans l'explication offerte par Yusuf Ali pour Al-Samiri de mot dans le Qur'an. L'archer dit :
Yusef Ali suggère que Samariyyu ait pu avoir été une signification nommée égyptienne « étranger, étranger, » ou probablement une limite hébreue dérivée de Shomer ( « gardien » ) - dans un effort vaillant d'éviter la charge de l'anachronisme. Le Samaritain ne s'est pas produit comme course jusqu'à ce qu'après le 6ème siècle B.C., et tellement il ne pourrait y avoir eu aucun Samaritain autour dès 1445 B.C. ! [6]
Réclamations semblables ont été également faites par Al-Fadi d'Abd de `d'Abdallah de `, [7] Robert Morey, [8] Daniel Ali et Robert Spencer. [9]
Jacques Jomier, cependant, offre une forme différente d'argument au sujet d'Al-Samiri dans le Qur'an. Il dit :
À la scène du veau d'or, un caractère mystérieux apparaît : il s'appelle le Samaritain (Al-Sāmirī ) . Il est difficile de savoir ce que ce mot signifie. Quelques occidentaux ont vu qu'un raccordement avec le d'or met bas de Samaria, mais ceci nous prendrait plusieurs siècles au delà de Moïse. En l'absence d'autres documents, on est très hésitant de souscrire une telle hypothèse (cf. Qur'an 20. 85-95). [10]
Selon Newman, la mention d'Al-Samiri dans le Qur'an est le résultat de la confusion de Muhammad des « périodes de temps » et « des enseignements juifs de transfert au sujet des Samaritains à une personne simple. » [11]
Excepté Jomier et Newman, presque toutes ces réclamations peuvent être tracées en arrière, si directement ou indirectement, à aucun mais à Tisdall - le fountainhead de toute la polémique de chrétien contre le Qur'an. Confiant dans sa capacité sincèrement à l'exegete le Qur'an, la question « samaritaine » semble être une source d'amusement pour Tisdall, qui note plutôt dérisoire,
Mais puisque la ville de Samaria n'a pas été construite, ou au moins appelé par ce nom, jusqu'à plusieurs centaines d'années après la mort de Moïse, l'anachronisme amuse au moins, et effrayerait en n'importe quel autre livre que le Qur'an, dans lequel bien le plus extraordinaire se produit fréquemment. [12]
Il est intéressant que Tisdall ait égalisé les Samaritains à la suite de l'apparition de la ville de Samaria pour réclamer l'anachronisme. Dans la même veine, les missionnaires chrétiens ont réclamé que le Qur'an contient un récit historiquement impossible quand il mentionne Al-Samiri nommé que certains traduisent comme « samaritain » ( Qur'an 20:85, 87 et 95 ) . Ils réclament cela :
Le Qur'an indique que le veau adoré par les israélites au bâti Horeb a été moulé par un Samaritain (Sura 20:85 - 87, 95-97). Pourtant le terme « Samaritain » n'a pas été inventé jusqu'à 722 B.C., qui est plusieurs centaines d'années après les événements enregistrés dans l'exode. Ainsi, les personnes samaritaines ne pourraient pas avoir existé pendant la vie de Moïse, et, ne pourrait pas donc avoir été responsable de mouler le veau.
Et en outre :
Comment un Samaritain peut-il avoir mené les israélites égarés à l'heure de Moïse [environ 1400 B.C.] quand la ville de Samaria a été fondée par le Roi Omri dans environ 870 B.C. (voir 1 les rois 16:24) ? Mais « les Samaritains » car un peuple distinct a seulement émergé après l'exil du royaume nordique de l'Israel et du reclassement du secteur sous le Roi Sargon II dedans après 722 B.C. avec les non-Israélites qui adoptent alors un syncretism [mélange] entre la religion des juifs et leur propre fond polytheistic. Par conséquent, il est historiquement impossible qu'un Samaritain pourrait avoir mené les israélites dans l'idolâtrie dans la période de Moïse. C'est une autre compression de temps au moins de 500, mais plutôt 700 ans.
Des rapports semblables sont répétés ici, comme si ils incarnent singulièrement la vérité, au sujet des origines des Samaritains.
Le problème avec cette réclamation est que les Samaritains n'ont pas été connus en tant que groupe ethno-religieux distinct jusqu'à environ 722 B.C., quand le terme « Samaritain » a été inventé…
La réclamation des missionnaires chrétiens au sujet de l'origine des Samaritains se repose sur les événements mentionnés dans II les rois 17. Nous commencerons en discutant les réclamations des missionnaires chrétiens qu'II les rois 17 décrit les origines des Samaritains. Queest-ce que les disciples des études samaritaines disent au sujet de la réclamation qu'II les rois 17 décrit exactement les origines des Samaritains ? Ceci sera discuté avec l'utilisation des termes « Samaritain » et « Samarian » à la lumière des investigations historiques récentes. En conclusion, nous considérerons également des études scientifiques récentes examinant les principales caractéristiques du Samaritain et de la composition génétique juive, afin de confirmer s'il y a en effet n'importe quelle ascendance partagée.

[Tamedit n-was]

3. II rois 17 : La source d'origines samaritaines ?

Avant que nous entrions dans l'historique II des rois 17, un fond concernant les événements menant à renvoyer et à exil de l'Israel au 8ème siècle BCE est nécessaire. Environ pendant deux siècles plus tôt l'Israel uni avait atteint sa crête sous la conduite de Saul, de David et de Solomon. Cependant, après la mort de Solomon, une guerre civile a éclaté et l'ancien Royaume-Uni coupé en deux royaumes : Judah dans les sud avec Jérusalem en tant que son capital, et l'Israel dans le nord dont le capital a été par la suite établi dans Samaria. Les deux royaumes ont lutté pour presque pendant deux siècles avant qu'Assyria a détruit le royaume nordique de l'Israel. Le compte dans II les rois 17 implique que les Samaritains sont descendus des peuples expulsés par les Assyriens d'autres parties du vaste empire pendant le siècle BCE de mid-8th. La règle assyrienne apportée des personnes de Babylone, de Cuthah, d'Avva, de Hamath et de Sepharvaim et arrangée leur dans les villes de Samaria pour remplacer les israélites. Par la suite le terme « Cuthean », cela est des personnes de Cuthah, parfois également référées collectivement pour dénoter de nouveaux colons, est devenu les juifs nommés pour des Samaritains et un mot du mépris pour des ces génétiquement et religieusement les personnes impures. Ce nom a été également adopté par Josephus dans ses antiquités juives en sa polémique contre les Samaritains. Ainsi, selon la version juive de l'histoire, les Samaritains sont des peuples mélangés de course, étant un indigène ou un habitant de Samaria, un territoire distinct ou région en Palestine centrale. La question est maintenant s'il y a n'importe quelle vérité dans cette version de l'histoire.

[hichem40]

elon vous quelle est la morale tirée dans ce voyage de l'exode ?

Peut être un indice que les banou Israël n’était pas des monothéistes
mise a part des prophètes et messager qui leurs ont été envoyé