L'islam incite a la proprete du corps, de ce que le musulman consomme et ou il vit. Ainsi un musulman ne peut faire la priere dans un vetement pas lave et qu'il porte depuis plusieurs jours..pour ce faire le musulman doit constament surveiller son hygiene et faire en sorte de se nettoyer le corps..
Aujourdhui les musulmans sont accuses d'etre moins propres que d'autres gens...ironie des temps de malheurs pour l'islam et les musulmans...alors qu'ils etaient les pionnier du monde a introduire le systeme d'arrosage et de jardinage et systeme d'evacuation des dechets du corps humain..ce qui est connu aujourdhui de toillettes..
Ces accusateurs -sans connaissances- doivent comprendre que les faits n'ont rien a voir avec l'islam mais avec la colonisation des terres de l'islam..
Les pays musulmans d'aujourdhui souffrent de sous developpement et de manque de technologie et surtout de manque d'une source essentielle dans la proprete EAU dans leur maison 24/24 heures...
Cet element de base est absent dans ces pays musulmans car parfois ils ne savent meme pas comment distribuer cette denree rare...pourtant le napes d'eau souteraine ce n'est pas ce qui manque dans ces contrees...meme desertiques....
et pourtant l'Islam est bien innocent de l'etat actuel des musulmans et le fin fond ou ils se trouvent actuellement...
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Si nous interrogions plusieurs adeptes de confessions différentes et que nous leur demandions de définir Dieu à l’aide d’attributs leur venant spontanément à l’esprit, il est à peu près certain que nous relèverions parmi ceux-ci les termes de : perfection, pureté, blancheur, lumière.
Maintenant, si nous nous arrêtons sur leur sens commun, nous nous orientons inévitablement vers l’idée d’exempt de toute tâche, de propreté absolue.
A l’égard de cette déduction, un fait incontestable s’impose si Dieu est pureté alors forcément le message qu’il délivre à ses créatures va dans ce sens là, quant au serviteur de Dieu, il ne peut décidément s’adresser à son Seigneur s’il n’est pas lui-même dans cet état préalablement défini.
Certes, la dimension n’est pas la même mais le résultat demeure.
L’être, fruit de l’association d’un corps et d’une âme (image succincte que nous avons tous à l’esprit), cherche en adoptant une religion à atteindre un certain degré de pureté spirituelle, à se rapprocher de son Seigneur.
Or, que nous considérons le corps et l’âme comme un tout indissociable ou comme deux éléments bien distincts, il est indéniable qu’ils sont de toute façon liés. Par conséquent, la pureté de l’âme ne pourra se passer de celle du corps.
De plus, négliger la pureté de son corps, création de Dieu, revient à s’éloigner de Lui.
Nous soulignons donc un premier point: la pureté du corps est un élément nécessaire pour tous ceux qui tendent à se rapprocher de Dieu, ce qui nous amène à considérer l’hygiène corporelle comme essentielle.
Nous pouvons alors nous poser la question suivante : quelle est la religion qui implique de véritables concepts d’hygiène ?
Quelle est celle qui de façon concrète induit l’être humain à une pureté rituelle du corps ?
En un mot, quelle est la religion dont l’assise, le fondement primordial est l’hygiène ?
Nous ne passerons pas en revue tous les courants de pensée et sectes existant. En revanche, en nous attachant simplement aux trois grandes religions monothéistes, nous constatons qu’au niveau du christianisme, il n’existe pas de principes formels et que les prescriptions de l’Ancien Testament qui en contenait certaines ont été abandonnés. Quant au judaïsme, s’il est d’apparence plus ferme et peut être plus enclin à une certaine propreté rituelle, il est certes loin d’égaler l’islam.
Il ne s’agit pas d’un parti pris mais d’une réalité reconnue par nombre de scientifiques, que ce soit au niveau médical ou autre comme nous le verrons.
Nous amenons ainsi le second point: l’islam est par excellence religion de propreté et de pureté.
Le Saint Qour'aan est clair à ce sujet “Purifie des vêtements !” (S 74- Celui qui se couvre v.4) ou encore : “Dieu aime ceux qui reviennent vers Lui et aime ceux qui s’appliquent à être purs” (Sourate 2 - La vache - v. 222).
Nous n’allons pas nous étendre avec précision sur chaque principe hygiénique, là n’est pas l’objet de notre exposé. Nous en énumérerons cependant un certain nombre. De plus, nous mettrons en évidence le lien se tissant justement entre le corporel et le spirituel.
La première chose demandée au nouveau musulman n’est ni le baptême ni un quelconque rite mais, après la proclamation de la «kalima» (unicité de Dieu et acceptation de Mohammad (SAW) comme ultime Prophète) il doit accomplir la grande ablution ou «ghousl» et se raser les parties privées et les aisselles.
Le même bain doit se prendre à différents moments de l’existence du musulman, par ex. après avoir eu des rapports, pour la femme à la fin du saignement consécutif à l’accouchement mais aussi après les menstrues, et en d’autres circonstances précisées par la chariat. Sans ce bain, les prières quotidiennes, la lecture du Qour'aan et autres rites sacrés sont frappés de nullité.
La petite ablution ou wozou doit se faire avant chaque prière si besoin est.
Si elle est d’un certain côté symbolique, elle n’en demeure pas moins utile à un entretien constant du corps. De ce fait, l’individu est amené à se rincer la bouche, le nez, à se laver les mains et les pieds, le visage plusieurs fois par jour et quand nous pensons que ces parties sont exposées à la poussière et autres impuretés puisque la plupart du temps découvertes, nous comprenons la nécessité de cette ablution. Rappelons à cet effet les paroles du Prophète (SAW) (Cf. Moslim) : “Aucune prière n’est agréé sans purification”.
Touchant directement le corps, il est recommandé de garder les ongles courts, de s’épiler régulièrement (ce qui diminue les risques d’infection et facilite l’entretien des parties privées, atténuant de même les problèmes de transpiration). Au-delà, l’obligation de se laver après s’être rendu aux toilettes nous rappelle cette constante pureté corporelle exigée par l’islam.
Les principes hygiéniques touchent également aux fonctions organiques du corps par l’intermédiaire du jeûne sur lequel nous ne nous étendrons pas dans la mesure où de nombreux ouvrages et articles ont déjà développé tous ses bienfaits et son efficacité.
De même en ce qui concerne la nourriture, nous savons combien les interdits alimentaires se justifient tant par les effets nocifs effectifs sur le corps que sur l’esprit.
Aujourdhui les musulmans sont accuses d'etre moins propres que d'autres gens...ironie des temps de malheurs pour l'islam et les musulmans...alors qu'ils etaient les pionnier du monde a introduire le systeme d'arrosage et de jardinage et systeme d'evacuation des dechets du corps humain..ce qui est connu aujourdhui de toillettes..
Ces accusateurs -sans connaissances- doivent comprendre que les faits n'ont rien a voir avec l'islam mais avec la colonisation des terres de l'islam..
Les pays musulmans d'aujourdhui souffrent de sous developpement et de manque de technologie et surtout de manque d'une source essentielle dans la proprete EAU dans leur maison 24/24 heures...
Cet element de base est absent dans ces pays musulmans car parfois ils ne savent meme pas comment distribuer cette denree rare...pourtant le napes d'eau souteraine ce n'est pas ce qui manque dans ces contrees...meme desertiques....
et pourtant l'Islam est bien innocent de l'etat actuel des musulmans et le fin fond ou ils se trouvent actuellement...
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L’islam et l’hygiène
Si nous interrogions plusieurs adeptes de confessions différentes et que nous leur demandions de définir Dieu à l’aide d’attributs leur venant spontanément à l’esprit, il est à peu près certain que nous relèverions parmi ceux-ci les termes de : perfection, pureté, blancheur, lumière.
Maintenant, si nous nous arrêtons sur leur sens commun, nous nous orientons inévitablement vers l’idée d’exempt de toute tâche, de propreté absolue.
A l’égard de cette déduction, un fait incontestable s’impose si Dieu est pureté alors forcément le message qu’il délivre à ses créatures va dans ce sens là, quant au serviteur de Dieu, il ne peut décidément s’adresser à son Seigneur s’il n’est pas lui-même dans cet état préalablement défini.
Certes, la dimension n’est pas la même mais le résultat demeure.
L’être, fruit de l’association d’un corps et d’une âme (image succincte que nous avons tous à l’esprit), cherche en adoptant une religion à atteindre un certain degré de pureté spirituelle, à se rapprocher de son Seigneur.
Or, que nous considérons le corps et l’âme comme un tout indissociable ou comme deux éléments bien distincts, il est indéniable qu’ils sont de toute façon liés. Par conséquent, la pureté de l’âme ne pourra se passer de celle du corps.
De plus, négliger la pureté de son corps, création de Dieu, revient à s’éloigner de Lui.
Nous soulignons donc un premier point: la pureté du corps est un élément nécessaire pour tous ceux qui tendent à se rapprocher de Dieu, ce qui nous amène à considérer l’hygiène corporelle comme essentielle.
Nous pouvons alors nous poser la question suivante : quelle est la religion qui implique de véritables concepts d’hygiène ?
Quelle est celle qui de façon concrète induit l’être humain à une pureté rituelle du corps ?
En un mot, quelle est la religion dont l’assise, le fondement primordial est l’hygiène ?
Nous ne passerons pas en revue tous les courants de pensée et sectes existant. En revanche, en nous attachant simplement aux trois grandes religions monothéistes, nous constatons qu’au niveau du christianisme, il n’existe pas de principes formels et que les prescriptions de l’Ancien Testament qui en contenait certaines ont été abandonnés. Quant au judaïsme, s’il est d’apparence plus ferme et peut être plus enclin à une certaine propreté rituelle, il est certes loin d’égaler l’islam.
Il ne s’agit pas d’un parti pris mais d’une réalité reconnue par nombre de scientifiques, que ce soit au niveau médical ou autre comme nous le verrons.
Nous amenons ainsi le second point: l’islam est par excellence religion de propreté et de pureté.
Le Saint Qour'aan est clair à ce sujet “Purifie des vêtements !” (S 74- Celui qui se couvre v.4) ou encore : “Dieu aime ceux qui reviennent vers Lui et aime ceux qui s’appliquent à être purs” (Sourate 2 - La vache - v. 222).
Nous n’allons pas nous étendre avec précision sur chaque principe hygiénique, là n’est pas l’objet de notre exposé. Nous en énumérerons cependant un certain nombre. De plus, nous mettrons en évidence le lien se tissant justement entre le corporel et le spirituel.
La première chose demandée au nouveau musulman n’est ni le baptême ni un quelconque rite mais, après la proclamation de la «kalima» (unicité de Dieu et acceptation de Mohammad (SAW) comme ultime Prophète) il doit accomplir la grande ablution ou «ghousl» et se raser les parties privées et les aisselles.
Le même bain doit se prendre à différents moments de l’existence du musulman, par ex. après avoir eu des rapports, pour la femme à la fin du saignement consécutif à l’accouchement mais aussi après les menstrues, et en d’autres circonstances précisées par la chariat. Sans ce bain, les prières quotidiennes, la lecture du Qour'aan et autres rites sacrés sont frappés de nullité.
La petite ablution ou wozou doit se faire avant chaque prière si besoin est.
Si elle est d’un certain côté symbolique, elle n’en demeure pas moins utile à un entretien constant du corps. De ce fait, l’individu est amené à se rincer la bouche, le nez, à se laver les mains et les pieds, le visage plusieurs fois par jour et quand nous pensons que ces parties sont exposées à la poussière et autres impuretés puisque la plupart du temps découvertes, nous comprenons la nécessité de cette ablution. Rappelons à cet effet les paroles du Prophète (SAW) (Cf. Moslim) : “Aucune prière n’est agréé sans purification”.
Touchant directement le corps, il est recommandé de garder les ongles courts, de s’épiler régulièrement (ce qui diminue les risques d’infection et facilite l’entretien des parties privées, atténuant de même les problèmes de transpiration). Au-delà, l’obligation de se laver après s’être rendu aux toilettes nous rappelle cette constante pureté corporelle exigée par l’islam.
Les principes hygiéniques touchent également aux fonctions organiques du corps par l’intermédiaire du jeûne sur lequel nous ne nous étendrons pas dans la mesure où de nombreux ouvrages et articles ont déjà développé tous ses bienfaits et son efficacité.
De même en ce qui concerne la nourriture, nous savons combien les interdits alimentaires se justifient tant par les effets nocifs effectifs sur le corps que sur l’esprit.
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