Annonce
Réduire
Aucune annonce.
la KAABA est t'il le centre du monde ?
Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
-
Pour qu'elle soit au centre du monde, il faudrait qu'elle soit enfouie dans la terre, en plein milieu du noyau terrestre ... mais je crains que dans ce cas son accès aurait été un peu trop compliqué pour nous les hommes...mais remercions Dieu que la Kabah ne soit pas au centre du monde ...on aurait eu chaud autrement"un gouvernement oppressif amène la ruine de la prospérité publique" Ibn Khaldoun
Commentaire
-
La vidéo a déjà été posté sur FA et je connais le menu: numérologie et superstition, rien de nouveau sous le soleil.
dans la video ils montre que si ils prennent une carte du monde (plat )
exemple
Dernière modification par Blofeld, 04 mars 2011, 22h41.
Commentaire
-
Apres la pyamide Kéops, le temple Maya...voici maintenant la Ka3ba.
En fait c'est parti d'une théorie, or on peut aplliqué cette théorie à pratiquement n'importe quel point de la terre selon sa religion son pays, sa secte....l'amitié est une chose rare,l'ami veritable est celui qui te demande d'etre toi meme.il t'aidera a survivre par l'amour qu'ilte porte
Commentaire
-
ça va ou avait finie regarder la vidéo
dans la video ils montre que si ils prennent une carte du monde (plat )
le centre de cette carte ces la KAABA"un gouvernement oppressif amène la ruine de la prospérité publique" Ibn Khaldoun
Commentaire
-
Bah justement, étant donné que la Terre est ronde, on peut mettre le centre de la carte plane où on veut
OK OK j'ai étais bête sur ce coup , mes qu'est qui l'en n'est du chiffre 1.618 ,
et pour ta carte si tu prend le centre de cette carte tu tombe sur quelque partDernière modification par maB2rOc, 04 mars 2011, 23h05.
Commentaire
-
-
MaB2roc
Le nombre d'or est la proportion, définie initialement en géométrie, comme l'unique rapport entre deux longueurs telles que le rapport de la somme des deux longueurs (a+b) sur la plus grande (a) soit égal à celui de la plus grande (a) sur la plus petite (b) c'est-à-dire lorsque (a+b)/a = a/b. Le découpage d'un segment en deux longueurs vérifiant cette propriété est appelé par Euclide découpage en extrême et moyenne raison. Le nombre d'or est maintenant souvent désigné par la lettre φ (phi) en l'honneur du sculpteur Phidias qui l'aurait utilisé pour concevoir le Parthénon.
Ce nombre irrationnel est l'unique solution positive de l'équation x2 = x + 1. Il vaut exactement :
soit approximativement 1,618 033 989. Il intervient dans la construction du pentagone régulier et du rectangle d'or. Ses propriétés algébriques le lient à la suite de Fibonacci et permettent de définir une « arithmétique du nombre d'or », cadre de nombreuses démonstrations.
L'histoire de cette proportion commence à une période reculée de l'antiquité grecque. À la Renaissance, Luca Pacioli, un moine franciscain italien, la met à l'honneur dans un manuel de mathématiques et la surnomme divine proportion en l'associant à un idéal envoyé du ciel. Cette vision se développe et s'enrichit d'une dimension esthétique, principalement au cours des xixe et xxe siècles où naissent les termes de section dorée et de nombre d'or.
Le nombre d'or se trouve parfois dans la nature ou des œuvres humaines, comme dans les capitules du tournesol ou dans certains monuments à l'exemple de ceux conçus par Le Corbusier. Il est aussi étudié comme une clé explicative du monde, particulièrement pour la beauté. Il est érigé en théorie esthétique et justifié par des arguments d'ordre scientifique ou mystique : omniprésence dans les sciences de la nature et de la vie, proportions du corps humain ou dans les arts comme la peinture, l'architecture ou la musique.
Certains artistes, tels le compositeur Xenakis ou le poète Paul Valéry ont adhéré à une partie plus ou moins vaste de cette vision, soutenue par des livres très populaires. À travers la médecine, l'archéologie ou les sciences de la nature et de la vie, la science infirme les théories de cette nature car elles sont fondées sur des généralisations abusives et des hypothèses inexactes.
Commentaire
-
Mab2roc
Le nombre d'or est la proportion, définie initialement en géométrie, comme l'unique rapport entre deux longueurs telles que le rapport de la somme des deux longueurs (a+b) sur la plus grande (a) soit égal à celui de la plus grande (a) sur la plus petite (b) c'est-à-dire lorsque (a+b)/a = a/b. Le découpage d'un segment en deux longueurs vérifiant cette propriété est appelé par Euclide découpage en extrême et moyenne raison. Le nombre d'or est maintenant souvent désigné par la lettre φ (phi) en l'honneur du sculpteur Phidias qui l'aurait utilisé pour concevoir le Parthénon.
Ce nombre irrationnel est l'unique solution positive de l'équation x2 = x + 1. Il vaut exactement :
soit approximativement 1,618 033 989. Il intervient dans la construction du pentagone régulier et du rectangle d'or. Ses propriétés algébriques le lient à la suite de Fibonacci et permettent de définir une « arithmétique du nombre d'or », cadre de nombreuses démonstrations.
L'histoire de cette proportion commence à une période reculée de l'antiquité grecque. À la Renaissance, Luca Pacioli, un moine franciscain italien, la met à l'honneur dans un manuel de mathématiques et la surnomme divine proportion en l'associant à un idéal envoyé du ciel. Cette vision se développe et s'enrichit d'une dimension esthétique, principalement au cours des xixe et xxe siècles où naissent les termes de section dorée et de nombre d'or.
Le nombre d'or se trouve parfois dans la nature ou des œuvres humaines, comme dans les capitules du tournesol ou dans certains monuments à l'exemple de ceux conçus par Le Corbusier. Il est aussi étudié comme une clé explicative du monde, particulièrement pour la beauté. Il est érigé en théorie esthétique et justifié par des arguments d'ordre scientifique ou mystique : omniprésence dans les sciences de la nature et de la vie, proportions du corps humain ou dans les arts comme la peinture, l'architecture ou la musique.
Certains artistes, tels le compositeur Xenakis ou le poète Paul Valéry ont adhéré à une partie plus ou moins vaste de cette vision, soutenue par des livres très populaires. À travers la médecine, l'archéologie ou les sciences de la nature et de la vie, la science infirme les théories de cette nature car elles sont fondées sur des généralisations abusives et des hypothèses inexactes.
Commentaire
-
Envoyé par mab2rOcdans la video ils montre que si ils prennent une carte du monde (p
lat le centre de cette carte ces la KAABA
Je suis écoueré de voir qu'il existe encore des jeunes marocains de ton espèce.Dernière modification par arazigh, 04 mars 2011, 23h09.
Commentaire
Commentaire