Le bon comportement envers la mère
Description succincte : il existe une personne qui ne cesse de se dévouer et de se sacrifier. Combien s'est-elle affligée pour que tu sois heureux ! Combien s'est-elle affamée pour que tu sois rassasié ! Combien a-t-elle pleuré pour que tu ries ! Combien est-elle restée éveillée pour que tu dormes !
Combien a-t-elle supporté les difficultés pour que tu sois tranquille ! Cette personne est une personne faible qui donne sans rien demander en retour, qui se dévoue sans attendre de remerciements.
As-tu entendu parler d'une personne qui t'aime plus que ses biens ? Plutôt qui t'aime plus que sa vie ? Plutôt plus que sa propre personne ? Cette personne n'est autre que ta mère. Ce livre met en relief le respect que le musulman doit avoir envers sa mère…
Le dévouement envers les parents : une recommandation divine
On leur doit obéissance tant qu'ils n'ordonnent pas de commettre un péché ; on doit éviter de leur désobéir, exécuter leurs ordres, faire preuve de bonté à leur égard en les prenant en charge, en veillant à satisfaire tous leurs besoins vitaux (nourriture, boisson, vêtement et logement), et en les comblant de présents.
On est également tenu de leur parler avec humilité, de ne pas se montrer hautain vis-à-vis d'eux, de leur rendre service patiemment, de veiller à ne pas choquer leurs sentiments et d'éviter tout propos qui les offense et blesse leurs sentiments, car Allah a étroitement associé Son droit à celui des parents. Il dit en effet : Et ton Seigneur a décrété :
« N'adorez que Lui et ayez de la bonté envers vos pères et mères». Et si l'un d'eux - ou tous deux - atteint la vieillesse auprès de toi, alors ne lui dis point : «Fi !» Ne les brusque pas, mais adresse-leur des paroles respectueuses. Et par miséricorde, abaisse pour eux l'aile de l'humilité, et dis : «Ô mon Seigneur, fais-leur à tous deux miséricorde comme ils m'ont élevé tout petit».
Ces droits sont acquis aux parents même s'ils ne sont pas musulmans, tant qu'ils n'ordonnent pas quelque chose qui est interdit par l'islam, comme le prouve ce hadith de Asmâ, la fille de Abû Bakr, qui dit :
« Ma mère vint me voir, alors qu'elle était polythéiste, au moment de la trêve conclue entre les Quraychites et le Prophète ; j'allais alors consulter le Prophète : " Envoyé d'Allah, lui dis-je, ma mère est venue me voir pour solliciter mon aide. Dois-je observer à son égard les devoirs de la parente ? - Oui, observe-les envers elle " me répondit le Prophète "!
La mère a la priorité sur le père en termes de bonté, de bienveillance, de douceur et de compassion, comme le prouve ce hadith de Abû Houreira qui dit : Un homme vint trouver le Messager d'Allah (r) et dit :
«Ô Messager d'Allah, quelle est la personne la plus digne de ma bonne compagnie ?» Il répondit : «Ta mère». L'homme reprit : «Qui d'autre, ensuite ?» Il répondit : «Ta mère». L'homme répéta : «Qui d'autre, ensuite ?». Il répondit de nouveau : «Ta mère». « Ensuite ?» demanda l'homme une dernière fois ; il répondit alors :
«Ton père».
Il a attribué à la mère trois fois plus de droits qu'au père, car la mère consent plus d'efforts et de sacrifices pour son enfant, ainsi qu'Allah l'a dit dans ce verset : Sa mère l'a porté avec peine et en a accouché avec peine.
Le Temps d'Algérie
Description succincte : il existe une personne qui ne cesse de se dévouer et de se sacrifier. Combien s'est-elle affligée pour que tu sois heureux ! Combien s'est-elle affamée pour que tu sois rassasié ! Combien a-t-elle pleuré pour que tu ries ! Combien est-elle restée éveillée pour que tu dormes !
Combien a-t-elle supporté les difficultés pour que tu sois tranquille ! Cette personne est une personne faible qui donne sans rien demander en retour, qui se dévoue sans attendre de remerciements.
As-tu entendu parler d'une personne qui t'aime plus que ses biens ? Plutôt qui t'aime plus que sa vie ? Plutôt plus que sa propre personne ? Cette personne n'est autre que ta mère. Ce livre met en relief le respect que le musulman doit avoir envers sa mère…
Le dévouement envers les parents : une recommandation divine
On leur doit obéissance tant qu'ils n'ordonnent pas de commettre un péché ; on doit éviter de leur désobéir, exécuter leurs ordres, faire preuve de bonté à leur égard en les prenant en charge, en veillant à satisfaire tous leurs besoins vitaux (nourriture, boisson, vêtement et logement), et en les comblant de présents.
On est également tenu de leur parler avec humilité, de ne pas se montrer hautain vis-à-vis d'eux, de leur rendre service patiemment, de veiller à ne pas choquer leurs sentiments et d'éviter tout propos qui les offense et blesse leurs sentiments, car Allah a étroitement associé Son droit à celui des parents. Il dit en effet : Et ton Seigneur a décrété :
« N'adorez que Lui et ayez de la bonté envers vos pères et mères». Et si l'un d'eux - ou tous deux - atteint la vieillesse auprès de toi, alors ne lui dis point : «Fi !» Ne les brusque pas, mais adresse-leur des paroles respectueuses. Et par miséricorde, abaisse pour eux l'aile de l'humilité, et dis : «Ô mon Seigneur, fais-leur à tous deux miséricorde comme ils m'ont élevé tout petit».
Ces droits sont acquis aux parents même s'ils ne sont pas musulmans, tant qu'ils n'ordonnent pas quelque chose qui est interdit par l'islam, comme le prouve ce hadith de Asmâ, la fille de Abû Bakr, qui dit :
« Ma mère vint me voir, alors qu'elle était polythéiste, au moment de la trêve conclue entre les Quraychites et le Prophète ; j'allais alors consulter le Prophète : " Envoyé d'Allah, lui dis-je, ma mère est venue me voir pour solliciter mon aide. Dois-je observer à son égard les devoirs de la parente ? - Oui, observe-les envers elle " me répondit le Prophète "!
La mère a la priorité sur le père en termes de bonté, de bienveillance, de douceur et de compassion, comme le prouve ce hadith de Abû Houreira qui dit : Un homme vint trouver le Messager d'Allah (r) et dit :
«Ô Messager d'Allah, quelle est la personne la plus digne de ma bonne compagnie ?» Il répondit : «Ta mère». L'homme reprit : «Qui d'autre, ensuite ?» Il répondit : «Ta mère». L'homme répéta : «Qui d'autre, ensuite ?». Il répondit de nouveau : «Ta mère». « Ensuite ?» demanda l'homme une dernière fois ; il répondit alors :
«Ton père».
Il a attribué à la mère trois fois plus de droits qu'au père, car la mère consent plus d'efforts et de sacrifices pour son enfant, ainsi qu'Allah l'a dit dans ce verset : Sa mère l'a porté avec peine et en a accouché avec peine.
Le Temps d'Algérie
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