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oui moi je regarde tout, les gateaux, les produits laitiers, les margarines etc etc , , avant ya quelques années de ça j'avoue j'faisia pas trop gaffe mais maintenant je mets 2 heures a CARREFOUR dans chaque rayons , sauf pour la lessive et les frngues loool
Dernière modification par absente, 30 avril 2010, 13h00.
Motif: ouuuups
pas mal de produits en ont .........gateaux...........?
Plus jeune, je passais des heures dans les hypermarchés afin de lire tous les ingrédients de chaque produit...maintenant, je sais à peu près, quels produits je ne peux pas acheter.
Je bannis la graisse animale, les gélatines de porc, boeuf..., les additifs alimentaires "haram" tels que E441 (gélatine de porc), E542, E471, etc...on peut trouver toute la liste sur internet.
Je fais très attention à mon alimentation ...fini les bonbons mous (ex. haribo ou carambars), surveiller les fromages / glaces / yaourts / pains & viennoiseries...etc.
Chaque personne qu'on s'autorise à aimer, est quelqu'un qu'on prend le risque de perdre.
Justement passionnée comme je l'ai dit plus haut certains bonbons ne contiennent pas de gélatine: bouteilles de Coca, Langues acides, frites et dragibus.^^
Ya Allah, al Aziz, al Hakim. a7fadh jazair wa al maghareb al kabir
En réponse à votre demande, veuillez trouver les informations suivantes :
La gélatine est un aliment d'origine animale appartenant à la classe des protéines. Actuellement, sur le marché, on trouve de la gélatine de porc ou de bœuf et, en quantité très limitée, de la gélatine de poisson et de volailles.
Son utilisation est très ancienne et son domaine d'application très étendu : industrie pharmaceutique (gélules, capsules), industrie alimentaire (yaourts, confiseries, plats cuisinés, charcuteries…) et diverses industries (films photographiques).
La Société HARIBO utilise essentiellement de la gélatine extraite de peaux de porcs - la plus utilisée dans l’industrie alimentaire – pour la fabrication de ses confiseries destinées au marché français et occasionnellement de la gélatine de volaille ou de bœuf pour les produits destinés à certains circuits spécialisés.
Le procédé d'obtention de la gélatine est soumis à des conditions de Ph extrêmes (très acide ou très alcalin) et à des températures très élevées, ce qui en fait une matière première particulièrement maîtrisée.
Cette matière première qui répond à de sévères normes possède des propriétés gélifiantes qui permettent d'obtenir des confiseries souples et moelleuses telles que les gélifiés (du type Oursons …) et c'est grâce à ses propriétés de foisonnement qu'on peut obtenir des mousses et ainsi confectionner des guimauves enrobées de sucre fin : Chamallows, ou de sucre cristal : Tagada, et en combinant les deux : gélifié + guimauve toute nue, on obtient des gélifiés bi-couches de type Crocodiles.
Il existe d’autres produits dit « gélifiant » d’origine végétale qui, pour le moment, ne permettent pas la fabrication de produits totalement équivalents.
Enfin, nous vous indiquons que certains produits de notre gamme sont sans gélatine : Frites, Bouteilles Cola candi, Baby boom, Bibop, Langues acides, Starmint, Dragibus, Fraizibus, Zan… et toute la réglisse en général. Il suffit de vérifier son absence sur la liste des ingrédients.
Vous remerciant de l’intérêt que vous portez à notre marque et espérant avoir répondu à vos questions, nous vous prions de croire en l’assurance de nos sentiments distingués.
JP. MICHAUD
Directeur industriel
Je reposte une lettre envoyé par Haribo à un consommateur musulman.
Ya Allah, al Aziz, al Hakim. a7fadh jazair wa al maghareb al kabir
Enfin, nous vous indiquons que certains produits de notre gamme sont sans gélatine : Frites, Bouteilles Cola candi, Baby boom, Bibop, Langues acides, Starmint, Dragibus, Fraizibus, Zan… et toute la réglisse en général. Il suffit de vérifier son absence sur la liste des ingrédients.
posté par diamond
maintenant que nous avons une source il ne reste plus qu'à vérifier sur les sachets. c'est vrai arbefracom tu ne peux pas te fier seulement à cette lettre et affirmer que ces produits ne contiennent pas de gélatine. Perso j'ai des doutes....A vos loupes
On n'est pas sortis de l'auberge
Bonne lecture -->
c'est clair on va finir par manger des pissenlits par la racine si ça continue
La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit. Oscar Wilde
Gélatine, additifs (E422, etc.), présure... rendent-ils les aliments illicites ?
Deux questions :
Certains biscuits et crèmes glacées contiennent des colorants, conservateurs, dont on me dit à travers une liste imprimée qu'ils sont d'origine illicite. Ces colorants et conservateurs sont-ils réellement illicites ? Et ces biscuits le deviennent-ils aussi ?
Comme vous le savez sûrement, le fromage est fabriqué avec de la présure. Or, les bovins n'étant pas tous dans notre pays abattus de la façon halal, la présure extraite de leur estomac n'est apparemment pas halal. Un frère m'a donc dit que les fromages ne doivent pas être consommés. Est-ce vrai ?
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Réponse :
J'aimerais tout d'abord exprimer qu'il est quelque peu déplorable de constater les deux extrêmes qui caractérisent parfois une partie de la communauté musulmane au sujet des produits alimentaires.
Certains musulmans n'hésitent pas à affirmer ainsi : "Tout est permis, Dieu ne regarde que le cœur". Argumentation erronée, puisque les actions ont un effet sur le cœur, conformément à ce que le Prophète a dit : "Lorsque le serviteur commet une faute, un point noir s'inscrit sur son cœur. S'il cesse et retourne vers Dieu, son cœur est purifié. Mais s'il continue, la tache augmente jusqu'à dominer son cœur…" (rapporté par at-Tirmidhî, n° 3334).
D'autres musulmans, à l'autre extrême, se fondent sur le Hadîth qui dit que celui qui se nourrit de l'illicite verra ses invocations rejetées pendant quarante jours (cité par Ibn Kathîr, Tafsîr, tome 1 p. 178) pour tout interdire et devenir presque hystérique sur le sujet en n'hésitant pas à dire d'Untel qu'"il mange du haram", etc. Argumentation également erronée, puisque ce Hadîth ne fait qu'indiquer une mise en garde (tar'hîb) contre le fait de se nourrir de l'illicite, mais ni ne désigne ce qui est illicite, ni ne parle de ce qui advient de ce qui était illicite mais a subi une transformation. Pour cela, il faut se référer à d'autres Hadîths (c'est ce que nous allons faire). Certains musulmans vont même jusqu'à déduire ce qui est illicite parmi les produits alimentaires contemporains, à partir d'ouvrages écrits par des rabbins. Démarche également erronée, puisque si certains principes en matière d'alimentation sont communs au judaïsme et à l'islam, tous les principes ne sont pas les mêmes. En effet, des choses sont interdites dans le judaïsme qui ne le sont pas dans l'islam. Ce ne sont pas les réponses apportées par les juifs en matière d'alimentation que les musulmans doivent suivre, mais bien plutôt leur démarche : des musulmans de différentes compétences devraient travailler de concert pour effectuer des recherches du même genre que celles qu'ont menées les juifs, mais cette fois sur la base des principes issus des sources musulmanes.
Et la communauté musulmane est tiraillée entre ces deux extrêmes. Et un extrême entretient l'autre… L'islam est pourtant pour le juste milieu, non ?
Pour répondre maintenant à vos deux questions, nous allons passer par trois étapes :
1) D'abord il faut établir si les additifs alimentaires que vous citez sont en soi interdits à la consommation (haram) du musulman par l'islam,
2) Au cas où ces additifs alimentaires sont en soi effectivement interdits à la consommation du musulman, il faut ensuite établir si le fait de les mélanger avec d'autres ingrédients dans la préparation d'un produit alimentaire, rend ce produit alimentaire interdit à la consommation également.
3) Nous pourrons ensuite appliquer le principe découvert en 2 aux cas concrets que vous évoquez.
Nous allons aborder ces trois étapes ci-après, dans l'ordre…
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1) Les additifs alimentaires sont-ils illicites ?
1.1) En ce qui concerne la présure :
La présure est une substance extraite de l'estomac du veau. En arabe elle se dit "anfaha" ou "infaha".
Si le veau a été abattu de la façon voulue en islam, la présure qui en a été ensuite extraite est bien sûr pure et licite.
La question se pose pour la présure extraite d'un animal après qu'il ait été abattu d'une façon autre que celle voulue...
D'après Abû Hanîfa (et selon un des deux avis rapportés de Ahmad ibn Hanbal) une telle présure est pure (tâhir) et licite.
D'après les autres savants (les deux élèves de Abû Hanîfa, plus Mâlik, ash-Shâfi'î et l'autre avis de Ahmad ibn Hanbal), une telle présure est impure (najis) et donc illicite (harâm).
La divergence entre Abû Hanîfa et ses deux élèves est en général relatée comme relative à la présure en général. Mais en fait, si l'avis des autres mujtahidûn que les hanafites à propos du caractère impur de la présure concerne la présure en général [la liquide autant que la solide], en revanche Abû Hanîfa comme ses deux élèves sont d'avis que la présure solide est pure ; ce n'est, d'après ce que relate az-Zuhaylî, qu'au sujet de la présure liquide qu'il y a divergence entre Abû Hanîfa et ses élèves, le premier pensant que cela est aussi pur, les deux autres que celle-là est pour sa part impure (Al-Fiqh ul-islâmî wa adillatuh, pp. 308-309). Az-Zuhaylî pense que c'est l'avis des deux élèves qui a le plus de poids, vu qu'il correspond davantage à la règle hanafite selon laquelle qu'un liquide de petite quantité (ici la présure liquide) devient forcément impur lorsqu'il est au contact des choses devenues impures à cause de la mort (Ibid., pp. 308-309). Les recueils classiques de la jurisprudence hanafite affirment, eux, que c'est l'avis de Abû Hanîfa qui est pertinente ("râjih"), et ce par analogie avec le lait, qui se trouve, à l'intérieur du corps de l'animal, "min bayni farthin wa damin" et qui est malgré tout pur ("tâhir") (Ad-Durr ul-mukhtâr, 1/360).
Notez que, par les termes "pur" et "impur", j'entends dans tout cet article : "rituellement pur" (en droit musulman : "tâhir") et "rituellement impur" (en droit musulman : "najis").
1.2) En ce qui concerne les additifs actuellement utilisés (E422, E471, etc.) :
Il faut se renseigner auprès des biologistes, des chimistes et des industriels qui fabriquent et utilisent ces produits. Il faut ensuite se référer à des muftis pour établir lequel de ces additifs est licite et lequel est illicite. A l'île de la Réunion, le C.S.H.R. (Commission de Surveillance du Halâl de la Réunion) a, en avril 2007, publié une liste de certains additifs et ingrédients qui sont illicites (cliquez ici). Je fais confiance aux ulémas et spécialistes qui ont travaillé à l'établissement de cette liste. Il faut cependant noter deux choses : la première est que certains ingrédients classés "harâm" dans cette liste font l'objet d'avis divergents (comme la cochenille) ; la seconde est que, même pour un additif en soi harâm, il se peut que le produit d'alimentation auquel il a été incorporé soit harâm par voie d'incidence, mais il se peut également que ce produit fini soit, lui, halâl, pour cause de transformation complète de l'ingrédient harâm après qu'il ait été mélangé et cuit avec les autres ingrédients, lesquels sont, eux, halâl. Ci-après nous allons justement évoquer ce cas où des additifs ou bien des ingrédients qui sont illicites ont été mélangés à des ingrédients licites pour donner un produit fini différent...
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2) Le fait de mélanger des ingrédients illicites avec d'autres ingrédients licites rend-il le produit ainsi composé illicite ?
Répondre à cette question - et établir alors le principe à propos de ce qui nous intéresse - demande que l'on se penche au préalable sur deux autres questions juridiques. Voici donc les étapes par lesquelles nous passerons :
2.1) Le cas de l'aliment liquide dans lequel une chose rituellement impure (najis) est tombée, est-il semblable au cas de l'eau dans laquelle est tombée une chose rituellement impure ? Dans le cas où la réponse est "oui", l'eau dans laquelle une chose rituellement impure tombe devient-elle systématiquement impure ?
2.2) La chose qui était rituellement impure et qui a subi une transformation reste-t-elle impure, ou bien, au contraire, est-elle devenue rituellement pure (tâhir) ?
2.3) C'est une fois que nous aurons répondu à ces deux questions que nous pourrons, sur la base de leurs réponses, établir le principe juridique concernant l'ingrédient illicite mélangé à un produit licite.
2.4) Nous pourrons ensuite parler de ce qui constitue une transformation complète (istihâla) ou une dilution (istihlâk)...
Ya Allah, al Aziz, al Hakim. a7fadh jazair wa al maghareb al kabir
2.1) Le cas de l'aliment liquide dans lequel une impureté (najâssa) est tombée est-il semblable au cas de l'eau dans laquelle une impureté est tombée ?
Une souris est tombée dans de l'huile et y est morte : l'huile reste-t-elle pure (lequel cas il suffira d'enlever la souris), ou au contraire est-elle devenue impure ? Peut-on faire un raisonnement par analogie à partir du cas de l'eau dans laquelle une impureté est tombée ? Les avis des savants sont divergents sur le sujet :
2.1.1) d'après certains savants, on ne peut pas faire d'analogie entre l'eau dans laquelle une impureté est tombée et tout autre liquide que l'eau dans lequel une impureté est tombée. A part l'eau, tous les autres liquides qui sont en petite quantité deviennent systématiquement impurs dès qu'une impureté tombe dedans.
2.1.2) d'après Abû Hanîfa et d'après un des deux avis rapportés de Mâlik et de Ahmad, l'analogie est tout à fait possible sur ce point : le cas de n'importe quel liquide est semblable à celui de l'eau : les règles (ahkâm) qui concernent l'eau dans laquelle une impureté est tombée s'appliquent pleinement au liquide dans lequel une impureté est tombée.
Ibn Taymiyya pense que c'est le deuxième avis qui est juste (Majmû' ul-fatâwâ, tome 21 p. 514).
A l'intérieur de ce deuxième avis, la question se pose ensuite de savoir quelles sont les règles qui s'appliquent à l'eau dans laquelle une impureté tombe : par exemple que quelques gouttes d'urine tombent involontairement dans un seau d'eau. La question qui se pose alors est : cette eau devient-elle impure ou, au contraire, reste-t-elle pure ? Cette eau devient-elle systématiquement impure ? Les avis des savants sont également divergents sur le sujet :
2.1.2.1) d'après les écoles hanafite et shafi'ite, le premier critère à prendre en compte est la quantité d'eau. Si l'eau est en petite quantité, alors elle devient impure par le seul fait qu'une impureté y soit tombée, même si aucune trace de cette impureté (couleur, odeur, saveur) n'est apparue en elle. Par contre, si l'eau est en grande quantité, alors il faudra voir s'il y a présence ou au contraire absence de trace de cette impureté dans cette eau : si une des qualités (couleur, odeur, saveur) de cette impureté est apparue dans cette eau, cette dernière est impure. Si par contre aucune des qualités de cette impureté n'est apparue dans l'eau, l'eau reste sur sa pureté originelle. (Les avis sont ensuite divergents entre les écoles hanafite et shafi'ite à propos de savoir qu'est-ce que les grande et petite quantités d'eau.)
2.1.2.2) d'après l'école malikite, le seul critère qui entre en jeu est la présence ou l'absence de toute trace d'impureté dans cette eau (que cette eau soit en grande ou en petite quantité). Ainsi, si une des qualités (couleur, odeur, saveur) de cette impureté est apparue dans cette eau, cette dernière est impure. Si par contre aucune des qualités de cette impureté n'est apparue dans l'eau, l'eau reste sur sa pureté originelle.
Ibn Taymiyya donne préférence au deuxième avis (Majmû' ul-fatâwâ, tome 21 p. 501). C'est ce qu'on appelle la dilution (istihlâk).
D'après Ibn Taymiyya (Majmû' ul-fatâwâ, tome 21 p. 514), comme d'après al-Bukhârî (Al-Jâmi' us-sahîh, 4/67 et 75/34), le fait qu'une impureté soit tombée dans un aliment liquide ne rend donc cet aliment illicite que si une trace de l'impureté y apparaît (soit son odeur, soit sa saveur, soit sa couleur). Au cas contraire, cet aliment reste licite.
2.2) La chose qui était rituellement impure (najis) et qui a subi une transformation reste-t-elle impure, ou bien est-elle devenue rituellement pure (tâhir) ?
Il arrive qu'une impureté subisse une transformation. Par exemple qu'un cadavre de chien soit brûlé et soit ainsi complètement transformé en cendre. Ou que ce cadavre tombe dans une mine de sel et se transforme entièrement en sel. La question qui se pose alors est : la chose ayant subi cette transformation reste-t-elle impure (najis) ou est-elle au contraire devenue pure (tâhir) ? Les avis des savants sont divergents sur le sujet :
2.2.1) d'après l'école shafi'ite, cette chose reste impure ;
2.2.2) d'après les écoles hanafite et zahirite, cette chose devient pure à cause de la transformation ("istihâla") qu'elle a subie.
Ibn Taymiyya pense que c'est le deuxième avis qui est juste (Majmû' ul-fatâwâ, tome 21 p. 70, et tome 21 p. 479). Il mentionne comme référant le fait que lorsque du vin s'est transformé de lui-même en vinaigre, il devient pur d'après la totalité des savants (aussi bien ceux qui sont d'avis que le vin est à interdit à la consommation et impur, que ceux qui pensent qu'il est interdit à la consommation mais pur ; aussi bien ceux qui pensent qu'il est interdit de transformer volontairement du vin en vinaigre et que seul le vinaigre qui s'est transformé de lui-même devient pur que ceux qui pensent que les deux types de vinaigres sont permis et purs).
2.3) Le principe juridique concernant le produit alimentaire dans lequel quelque chose d'illicite a été mélangé :
Des deux principes juridiques cités ci-dessus en 2.1) et 2.2), il ressort de façon égale que :
- à raisonner à partir du principe de dilution (istihlâk), le produit alimentaire reste consommable si aucune trace de l'impureté n'y apparaît, selon ce que dit l'école malikite à propos de l'eau (2.1.2.2).
- et à raisonner à partir du principe de transformation (istihâla), le produit alimentaire reste consommable si l'ingrédient illicite qui y a été incorporé s'est ensuite transformé totalement, selon ce que disent les écoles hanafite et zahirite à ce propos (2.2.2).
Ya Allah, al Aziz, al Hakim. a7fadh jazair wa al maghareb al kabir
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