En réalité, comme pour la prière rituelle, l'observance du jeûne au cours du mois sacré de Ramadhan ne signifie pas seulement un jeûne individuel, c'est aussi -et surtout- une manifestation sociale transformant toute la vie publique de la société musulmane durant un mois lunaire, le neuvième de l'année. Le Ramadhan est pour les musulmans le motif d'une joie profonde et, pour la communauté de l’Islam, un facteur d'unité très fort ; c’est aussi le mois de la charité et de la paix
Obligatoire pour tous ceux qui ont atteint la puberté et qui ont la capacité physique et mentale de le faire ; le jeûne consiste à ne prendre ni nourriture ni boisson depuis la fin de la nuit (fajr) jusqu'au coucher du soleil (maghrib) ; le tabac comme les relations sexuelles sont interdits pendant ces mêmes heures diurnes mais le soir, les interdits cessent totalement. Il est aussi interdit -en principe- de parler inutilement ou de faire des choses négative envers sois ou envers les autres, le principe étant d'inculquer une certaine discipline physqiue et morale à son corps comme à son ésprit.
Les juristes musulmans ont beaucoup discuté (et discutente encore) sur le problème de la détermination du début et de la fin du mois (par l'observation visuelle du croissant de la nouvelle lune ou par le simple calcule scientifique), sur les pratiques interdites ou permises durant le jour (piqûres médicales, vaccins, etc. ...), sur les cas de dispenses et les remplacements exigés. Mois destiné à célébrer le souvenir de la révélation du Coran, Ramadhan est aussi le mois où la faim doit rappeller aux riches l'existence des pauvres. C'est un mois d'exercice de la volonté, et pour les meilleurs, de prière et d'instruction religieuse.
Partout à travers les pays de l'Islam une atmosphère de fêtes, surtout familiales, de visites et de banquets y règne durant les longues soirées. Il est vrai que le travail s'en ressent, car le jeûne diurne ajouté aux les veillées nocturnes épuisent presque tout le monde. Le principe suivant lequel il faudrait continuer à travailler reste alors tout à fait théorique, et la chose est d’autant plus difficile pour les musulmans vivant en pays non-musulmans. Le Jeune du Ramadhan demeure un aspect crucial et très important de la vie musulmane et des sociétés de l’Islam. Parfois certains se voient forcés par la pression sociale de pratiquer le jeûne prescrit, mais dans la quasi-totalité des musulmans y souscrivent de plein gré, le mois de Ramadhan étant souvent une période de réveil ou de renaissance, voire de retour vers la pratique et vers Dieu pour beaucoup.
Obligatoire pour tous ceux qui ont atteint la puberté et qui ont la capacité physique et mentale de le faire ; le jeûne consiste à ne prendre ni nourriture ni boisson depuis la fin de la nuit (fajr) jusqu'au coucher du soleil (maghrib) ; le tabac comme les relations sexuelles sont interdits pendant ces mêmes heures diurnes mais le soir, les interdits cessent totalement. Il est aussi interdit -en principe- de parler inutilement ou de faire des choses négative envers sois ou envers les autres, le principe étant d'inculquer une certaine discipline physqiue et morale à son corps comme à son ésprit.
Les juristes musulmans ont beaucoup discuté (et discutente encore) sur le problème de la détermination du début et de la fin du mois (par l'observation visuelle du croissant de la nouvelle lune ou par le simple calcule scientifique), sur les pratiques interdites ou permises durant le jour (piqûres médicales, vaccins, etc. ...), sur les cas de dispenses et les remplacements exigés. Mois destiné à célébrer le souvenir de la révélation du Coran, Ramadhan est aussi le mois où la faim doit rappeller aux riches l'existence des pauvres. C'est un mois d'exercice de la volonté, et pour les meilleurs, de prière et d'instruction religieuse.
Partout à travers les pays de l'Islam une atmosphère de fêtes, surtout familiales, de visites et de banquets y règne durant les longues soirées. Il est vrai que le travail s'en ressent, car le jeûne diurne ajouté aux les veillées nocturnes épuisent presque tout le monde. Le principe suivant lequel il faudrait continuer à travailler reste alors tout à fait théorique, et la chose est d’autant plus difficile pour les musulmans vivant en pays non-musulmans. Le Jeune du Ramadhan demeure un aspect crucial et très important de la vie musulmane et des sociétés de l’Islam. Parfois certains se voient forcés par la pression sociale de pratiquer le jeûne prescrit, mais dans la quasi-totalité des musulmans y souscrivent de plein gré, le mois de Ramadhan étant souvent une période de réveil ou de renaissance, voire de retour vers la pratique et vers Dieu pour beaucoup.