Pourquoi l'islam refuse-t-il la critique historique ?
le Coran serait la parole divine incréée, dont l’auteur ne serait pas Mahomet, mais Dieu lui-même.
Le Coran se soustrairait ainsi à la critique archéologique, psychologique, anthropologique ou mythologique. En interdisant l’étude de sa gestation et de sa compilation, on voudrait installer chez l’adepte une crainte irrationnelle de blasphème. C’est le serpent qui se mord la queue. Subterfuge habile, qui sert en réalité, au détriment des vrais croyants, des familles régnantes despotiques, et des imams autoproclamés qui abusent d’un pouvoir capricieux. Et qui en profitent, névrose suprême soulignant l’archaïsme du mécanisme prophétique, pour soumettre la moitié du genre humain, les femmes. Bernard Raquin
le Coran serait la parole divine incréée, dont l’auteur ne serait pas Mahomet, mais Dieu lui-même.
Le Coran se soustrairait ainsi à la critique archéologique, psychologique, anthropologique ou mythologique. En interdisant l’étude de sa gestation et de sa compilation, on voudrait installer chez l’adepte une crainte irrationnelle de blasphème. C’est le serpent qui se mord la queue. Subterfuge habile, qui sert en réalité, au détriment des vrais croyants, des familles régnantes despotiques, et des imams autoproclamés qui abusent d’un pouvoir capricieux. Et qui en profitent, névrose suprême soulignant l’archaïsme du mécanisme prophétique, pour soumettre la moitié du genre humain, les femmes. Bernard Raquin
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