Chez tous les monothéistes la sourate du Kahf est une sourate de mystères.
Chez les musulmans et chez certains grands docteurs le mystère du accompagnateur mystérieux de Moise est souvent cité comme base. Les vrais docteurs essayent de trouver quelques choses de cachées dans cette histoire et certain ignorant silencieux font croire aux gens qu'ils ont atteints le degré de l'accompagnateur et ainsi avoir ces privilèges. Même la couleur du vert a été choisi par les charlatans hindouistes pour se ressembler aux Khidre. A une époque sans doute de la perse ancienne ces charlatans étaient instrumentalisé pour faire peur aux ouvriers agricoles afin de ne pas user de la force pour les faire travailler et ensuite leurs imposer des impôts que certaines mènent vers les dirigeants cachées dans les palais dans las villes.
Cette petite introduction tirée de notre vécu passé présent et ou les monothéistes catholique juif et musulmans utilisaient cette tactique pour vivre sans travailler.
Pour les Docteurs scientifique les vraies des monothéistes atawile c'est a dire le décodage ou le décryptage de ce verset était un peu du domaine de l'analyse.
Pour ma part ce verset présente un aperçu du fonctionnement du royaume de Dieu. L’accompagnateur savait des choses que Moise ignorait et Moise savait autre chose que l'accompagnateur n'avait le pouvoir et l'autorisation d'y accéder. Par exemple il n'était pas avec Moise lorsque Dieu parla directement à Moise.
Pour aider à la réflexion, j'ai mis en couleur les phrases qui peuvent nous renseigner sur la manière que ''Dieu gère son royaume''. Une gestion un peu unique et qui présente des possibilités, des failles ou des informations qui peuvent être exploiter. Pour ma part je ne sais pas pourquoi ce cas a été presenté a Moise et ensuite pourquoi il a été cité dans le coran, car meme les juifs ignoraient ce cas avant sa revelation dans le coran.
Je vous laisse le soins de débattre et dans le debat chacun trouvera sa propre réponse en fonction de son disque dure de cerveau qui est sa memoire.
71. Alors les deux partirent. Et après qu'ils furent montés sur un bateau, l'homme y fit une brèche. [Moïse] lui dit : “Est-ce pour noyer ses occupants que tu l'as ébréché ? Tu as commis, certes, une chose monstrueuse ! ”.
72. [L'autre] répondit : “N'ai-je pas dit que tu ne pourrais pas garder patience en ma compagnie ? ”.
73. “Ne t'en prend pas à moi, dit [Moïse,] pour un oubli de ma part; et ne m'impose pas de grande difficulté dans mon affaire” .
74. Puis ils partirent tous deux; et quand ils eurent rencontré un enfant, [l'homme] le tua. Alors [Moïse] lui dit : “As-tu tué un être innocent, qui n'a tué personne ? Tu as commis certes, une chose affreuse ! ”
75. [L'autre] lui dit : “Ne t'ai-je pas dit que tu ne pourrais pas garder patience en ma compagnie ? ”
76. “Si, après cela, je t'interroge sur quoi que ce soit, dit [Moïse,] alors ne m'accompagne plus. Tu seras alors excusé de te séparer de moi”.
77. Ils partirent donc tous deux; et quand ils furent arrivés à un village habité, ils demandèrent à manger à ses habitants; mais ceux-ci refusèrent de leur donner l'hospitalité. Ensuite, ils y trouvèrent un mur sur le point de s'écrouler. L'homme le redressa. Alors [Moïse] lui dit : “Si tu voulais, tu aurais bien pu réclamer pour cela un salaire”.
78. “Ceci [marque] la séparation entre toi et moi, dit [l'homme,] Je vais t'apprendre l'interprétation de ce que tu n'as pu supporter avec patience.
79. Pour ce qui est du bateau, il appartenait à des pauvres gens qui travaillaient en mer. Je voulais donc le rendre défectueux, car il y avait derrière eux un roi qui saisissait de force tout bateau.
80. Quant au garçon, ses père et mère étaient des croyants; nous avons craint qu'il ne leur imposât la rébellion et la mécréance.
81. Nous avons donc voulu que leur Seigneur leur accordât en échange un autre plus pur et plus affectueux.
82. Et quant au mur, il appartenait à deux garçons orphelins de la ville, et il y avait dessous un trésor à eux; et leur père était un homme vertueux. Ton Seigneur a donc voulu que tous deux atteignent leur maturité et qu'ils extraient, [eux-mêmes] leur trésor, par une miséricorde de ton Seigneur. Je ne l'ai d'ailleurs pas fait de mon propre chef. Voilà l'interprétation de ce que tu n'as pas pu endurer avec patience”.
Chez les musulmans et chez certains grands docteurs le mystère du accompagnateur mystérieux de Moise est souvent cité comme base. Les vrais docteurs essayent de trouver quelques choses de cachées dans cette histoire et certain ignorant silencieux font croire aux gens qu'ils ont atteints le degré de l'accompagnateur et ainsi avoir ces privilèges. Même la couleur du vert a été choisi par les charlatans hindouistes pour se ressembler aux Khidre. A une époque sans doute de la perse ancienne ces charlatans étaient instrumentalisé pour faire peur aux ouvriers agricoles afin de ne pas user de la force pour les faire travailler et ensuite leurs imposer des impôts que certaines mènent vers les dirigeants cachées dans les palais dans las villes.
Cette petite introduction tirée de notre vécu passé présent et ou les monothéistes catholique juif et musulmans utilisaient cette tactique pour vivre sans travailler.
Pour les Docteurs scientifique les vraies des monothéistes atawile c'est a dire le décodage ou le décryptage de ce verset était un peu du domaine de l'analyse.
Pour ma part ce verset présente un aperçu du fonctionnement du royaume de Dieu. L’accompagnateur savait des choses que Moise ignorait et Moise savait autre chose que l'accompagnateur n'avait le pouvoir et l'autorisation d'y accéder. Par exemple il n'était pas avec Moise lorsque Dieu parla directement à Moise.
Pour aider à la réflexion, j'ai mis en couleur les phrases qui peuvent nous renseigner sur la manière que ''Dieu gère son royaume''. Une gestion un peu unique et qui présente des possibilités, des failles ou des informations qui peuvent être exploiter. Pour ma part je ne sais pas pourquoi ce cas a été presenté a Moise et ensuite pourquoi il a été cité dans le coran, car meme les juifs ignoraient ce cas avant sa revelation dans le coran.
Je vous laisse le soins de débattre et dans le debat chacun trouvera sa propre réponse en fonction de son disque dure de cerveau qui est sa memoire.
71. Alors les deux partirent. Et après qu'ils furent montés sur un bateau, l'homme y fit une brèche. [Moïse] lui dit : “Est-ce pour noyer ses occupants que tu l'as ébréché ? Tu as commis, certes, une chose monstrueuse ! ”.
72. [L'autre] répondit : “N'ai-je pas dit que tu ne pourrais pas garder patience en ma compagnie ? ”.
73. “Ne t'en prend pas à moi, dit [Moïse,] pour un oubli de ma part; et ne m'impose pas de grande difficulté dans mon affaire” .
74. Puis ils partirent tous deux; et quand ils eurent rencontré un enfant, [l'homme] le tua. Alors [Moïse] lui dit : “As-tu tué un être innocent, qui n'a tué personne ? Tu as commis certes, une chose affreuse ! ”
75. [L'autre] lui dit : “Ne t'ai-je pas dit que tu ne pourrais pas garder patience en ma compagnie ? ”
76. “Si, après cela, je t'interroge sur quoi que ce soit, dit [Moïse,] alors ne m'accompagne plus. Tu seras alors excusé de te séparer de moi”.
77. Ils partirent donc tous deux; et quand ils furent arrivés à un village habité, ils demandèrent à manger à ses habitants; mais ceux-ci refusèrent de leur donner l'hospitalité. Ensuite, ils y trouvèrent un mur sur le point de s'écrouler. L'homme le redressa. Alors [Moïse] lui dit : “Si tu voulais, tu aurais bien pu réclamer pour cela un salaire”.
78. “Ceci [marque] la séparation entre toi et moi, dit [l'homme,] Je vais t'apprendre l'interprétation de ce que tu n'as pu supporter avec patience.
79. Pour ce qui est du bateau, il appartenait à des pauvres gens qui travaillaient en mer. Je voulais donc le rendre défectueux, car il y avait derrière eux un roi qui saisissait de force tout bateau.
80. Quant au garçon, ses père et mère étaient des croyants; nous avons craint qu'il ne leur imposât la rébellion et la mécréance.
81. Nous avons donc voulu que leur Seigneur leur accordât en échange un autre plus pur et plus affectueux.
82. Et quant au mur, il appartenait à deux garçons orphelins de la ville, et il y avait dessous un trésor à eux; et leur père était un homme vertueux. Ton Seigneur a donc voulu que tous deux atteignent leur maturité et qu'ils extraient, [eux-mêmes] leur trésor, par une miséricorde de ton Seigneur. Je ne l'ai d'ailleurs pas fait de mon propre chef. Voilà l'interprétation de ce que tu n'as pas pu endurer avec patience”.
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