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Voyons comment les salafs parlent sur la doua pour les gouverneurs musulmans:
« Si j’avais une invocation exaucée, je ne l’accorderais qu’à un dirigeant (imam), car s’il est bon, le pays et les habitants seront en sécurité. »
Sharh sunna de l’imam el Barbahâry
« Si tu vois qu’un homme invoque contre le gouverneur, sache qu’il agit avec passion. En revanche, si tu vois qu’il invoque pour lui la bonne condition, sache que c’est un partisan de la sunna, si Allah le veut. »
Sharh Sunna
Al-Ash’ath a dit :
« J’étais chez Al-Hassan lorsqu’un homme jaunâtre, qui avait l’air d’être un habitant de Bahrayn, rentra chez lui et dit :
Ô Abou Sa’id (Surnom de Al Hassan Al Basri) ! Je voudrais te questionner au sujet des dirigeants » Il (l’homme) dit :
« Que penses-tu de nos chefs d’état ? »
Il dit : « Il se tu un moment et dit :
Et que puis-je dire à leur sujet, alors qu’ils se chargent de cinq choses qui nous concernent :
La prière du vendredi,
les prières en groupe,
le butin,
les frontières
et les exécutions.
Par Allah ! La religion ne peut être bien sans celles-ci, même s’ils tyrannisent et qu’ils sont injustes.
Par Allah ! Allah corrige par leur intermédiaire plus qu’ils ne pervertissent.Par Allah leur obéir est une joie et se séparer d’eux, est une mécréance. »
Il a dit :
L’homme dit alors :
« Ô Abou Sa’id ! Par Allah ! Je possède beaucoup d’argent et en avoir deux fois plus ne me réjouirant pas [autant que je suis], car je n’ai jamais entendu de toi ce que je viens d’entendre, qu’Allah te donne une belle récompense pour la religion et ses partisans. »
Tiré de "Al-Hassan Al-Basri" de Ibn Al-Jawzi, édition Sabil, p.164-165
« S’il n’est pas possible de porter conseil au gouvernant, alors il faut patienter et invoquer Allah pour lui. En effet, les compagnons interdisaient d’insulter les gouvernants. Anas ibn Malik rapporte : `` Les plus anciens compagnons du Prophète – Qu’Allah prie sur lui et le salue – nous interdisaient d’insulter les gouvernants.’’ »
El Tamhid tome 1, page 287, éditions Maktabat ibn Taymiyah
« Et ils croient [ceux qui s’attachent aux hadiths] qu’il faut invoquer Dieu pour qu’Il améliore les gouvernants, qu’il ne faut pas se révolter contre eux et que lorsqu’il y a du désordre et de la dissension, il ne faut combattre pour aucune partie. »
I'tiqad Açhab el Hadith page 132, éditions Dar el Soumey.
« Porte donc conseil au gouvernant et multiplie les invocations à Dieu pour qu’Il l’améliore et le guide dans ses paroles, ses actes et sa sagesse. En effet, si les gouvernants s’améliorent, tout le peuple s’améliorera ; mais prends bien garde de ne pas les maudire, car ils deviendraient encore plus mauvais et les musulmans auraient alors à subir encore plus d’épreuves. Tu dois plutôt invoquer Dieu pour qu’ils se repentissent, ils délaisseront ainsi le mal qu’ils pratiquaient et les croyants ne connaîtront plus l’adversité. »
Cité par El Bayhaqi dans El Jami° li Chou°ab el Imane tome 13, page 99, éditions Dar el Salafiyah.
« Ils (les gens du hadîth) considèrent obligatoire le fait de combattre les mécréants à leurs côtés, même s’ils sont injustes et oppresseurs, d’invoquer le bien et la réussite en leur faveur, et qu’ils répandent la justice parmi les musulmans. En revanche, ils désapprouvent la révolte armée contre eux, même si ces derniers passent de la justice à l’oppression, au contraire, ils incitent à combattre le groupe rebelle jusqu’à ce qu’ils acceptent à nouveau d’obéir au gouverneur. »
‘Aqidatu-salaf ashâbi-l-hadîth, p.294
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Voyons comment les salafs parlent sur la doua pour les gouverneurs musulmans:
El Fudayl ibn ‘Iyâd
« Si j’avais une invocation exaucée, je ne l’accorderais qu’à un dirigeant (imam), car s’il est bon, le pays et les habitants seront en sécurité. »
Sharh sunna de l’imam el Barbahâry
L’imam el Barbahâry
« Si tu vois qu’un homme invoque contre le gouverneur, sache qu’il agit avec passion. En revanche, si tu vois qu’il invoque pour lui la bonne condition, sache que c’est un partisan de la sunna, si Allah le veut. »
Sharh Sunna
Hassan al Basri
Al-Ash’ath a dit :
« J’étais chez Al-Hassan lorsqu’un homme jaunâtre, qui avait l’air d’être un habitant de Bahrayn, rentra chez lui et dit :
Ô Abou Sa’id (Surnom de Al Hassan Al Basri) ! Je voudrais te questionner au sujet des dirigeants » Il (l’homme) dit :
« Que penses-tu de nos chefs d’état ? »
Il dit : « Il se tu un moment et dit :
Et que puis-je dire à leur sujet, alors qu’ils se chargent de cinq choses qui nous concernent :
La prière du vendredi,
les prières en groupe,
le butin,
les frontières
et les exécutions.
Par Allah ! La religion ne peut être bien sans celles-ci, même s’ils tyrannisent et qu’ils sont injustes.
Par Allah ! Allah corrige par leur intermédiaire plus qu’ils ne pervertissent.Par Allah leur obéir est une joie et se séparer d’eux, est une mécréance. »
Il a dit :
L’homme dit alors :
« Ô Abou Sa’id ! Par Allah ! Je possède beaucoup d’argent et en avoir deux fois plus ne me réjouirant pas [autant que je suis], car je n’ai jamais entendu de toi ce que je viens d’entendre, qu’Allah te donne une belle récompense pour la religion et ses partisans. »
Tiré de "Al-Hassan Al-Basri" de Ibn Al-Jawzi, édition Sabil, p.164-165
Ibn Abdel barr
« S’il n’est pas possible de porter conseil au gouvernant, alors il faut patienter et invoquer Allah pour lui. En effet, les compagnons interdisaient d’insulter les gouvernants. Anas ibn Malik rapporte : `` Les plus anciens compagnons du Prophète – Qu’Allah prie sur lui et le salue – nous interdisaient d’insulter les gouvernants.’’ »
El Tamhid tome 1, page 287, éditions Maktabat ibn Taymiyah
Abul Hassan El Ach'ari
« Et ils croient [ceux qui s’attachent aux hadiths] qu’il faut invoquer Dieu pour qu’Il améliore les gouvernants, qu’il ne faut pas se révolter contre eux et que lorsqu’il y a du désordre et de la dissension, il ne faut combattre pour aucune partie. »
I'tiqad Açhab el Hadith page 132, éditions Dar el Soumey.
Abu 'Uthmane Sa'id ibn Ismaïl
« Porte donc conseil au gouvernant et multiplie les invocations à Dieu pour qu’Il l’améliore et le guide dans ses paroles, ses actes et sa sagesse. En effet, si les gouvernants s’améliorent, tout le peuple s’améliorera ; mais prends bien garde de ne pas les maudire, car ils deviendraient encore plus mauvais et les musulmans auraient alors à subir encore plus d’épreuves. Tu dois plutôt invoquer Dieu pour qu’ils se repentissent, ils délaisseront ainsi le mal qu’ils pratiquaient et les croyants ne connaîtront plus l’adversité. »
Cité par El Bayhaqi dans El Jami° li Chou°ab el Imane tome 13, page 99, éditions Dar el Salafiyah.
L'imam As-Sabouny
« Ils (les gens du hadîth) considèrent obligatoire le fait de combattre les mécréants à leurs côtés, même s’ils sont injustes et oppresseurs, d’invoquer le bien et la réussite en leur faveur, et qu’ils répandent la justice parmi les musulmans. En revanche, ils désapprouvent la révolte armée contre eux, même si ces derniers passent de la justice à l’oppression, au contraire, ils incitent à combattre le groupe rebelle jusqu’à ce qu’ils acceptent à nouveau d’obéir au gouverneur. »
‘Aqidatu-salaf ashâbi-l-hadîth, p.294
L’imam Abû Dja’far Tahâwy
« Nous condamnons tout soulèvement contre nos dirigeants et ceux qui sont à notre tête, fussent-ils oppresseurs. Nous ne faisons pas d’invocations contre eux et ne leur désobéissons pas. Pour nous, leur obéir découle de l’obéissance d’Allah tant qu’il n’ordonne pas de péché. Enfin, nous implorons pour eux le pardon et le salut. »
‘El ‘Aqîda tahâwiyya
« Nous condamnons tout soulèvement contre nos dirigeants et ceux qui sont à notre tête, fussent-ils oppresseurs. Nous ne faisons pas d’invocations contre eux et ne leur désobéissons pas. Pour nous, leur obéir découle de l’obéissance d’Allah tant qu’il n’ordonne pas de péché. Enfin, nous implorons pour eux le pardon et le salut. »
‘El ‘Aqîda tahâwiyya
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