Bush : "Les USA sont le meilleur endroit du monde pour investir et faire des affaires"
Il ne s'était pas encore exprimé sur le sujet. Le président américain George W. Bush a indiqué, dans une déclaration à la Maison-Blanche, vendredi, que le plan d'intervention gouvernemental face à la crise financière allait coûter un "montant considérable" et comportait des risques pour l'argent du contribuable. "Mais nous comptons que cet argent sera remboursé au bout du compte", a-t-il ajouté, appelant les Américains à "garder confiance dans la solidité de [leur] économie (...) Ce pays est le meilleur endroit du monde pour investir et faire des affaires".
Alors que son administration et le Congrès travaillent à un gigantesque plan de sauvetage du secteur financier, George W. Bush a affirmé vendredi la nécessité d'agir immédiatement face à la crise financière. "En conséquence, c'est maintenant que nous devons agir pour préserver la santé économique de notre pays de graves risques." L'annonce du projet de sauvetage du secteur bancaire américain de plusieurs centaines de milliards de dollars a rassuré les milieux financiers et fait s'envoler vendredi les Bourses dans l'espoir que les risques de faillites soient désormais écartés. Paris a ainsi terminé sa séance sur un bon historique de 9,27 % .
Les investisseurs saluaient également la décision des gendarmes boursiers américain et britannique d'interdire les ventes à découvert d'actions de sociétés financières. Les détails du plan américain, dont le principe a été annoncé jeudi soir, ne sont pas encore connus mais les marchés tablent sur la création d'un fonds spécial qui reprendrait les créances les plus mauvaises pour les apurer de manière ordonnée. Le secrétaire au Trésor Henry Paulson et le président de la Réserve fédérale Ben Bernanke ont promis d'y travailler "durant tout le week-end" en liaison avec le Congrès.
"Nous parlons de centaines de milliards", a indiqué M. Paulson vendredi, interrogé lors d'une conférence de presse sur le coût prévisionnel des mesures discutées. "Il faut que cela soit suffisamment gros pour faire une vraie différence et aller au coeur du problème", a-t-il ajouté.
- Le Point
Il ne s'était pas encore exprimé sur le sujet. Le président américain George W. Bush a indiqué, dans une déclaration à la Maison-Blanche, vendredi, que le plan d'intervention gouvernemental face à la crise financière allait coûter un "montant considérable" et comportait des risques pour l'argent du contribuable. "Mais nous comptons que cet argent sera remboursé au bout du compte", a-t-il ajouté, appelant les Américains à "garder confiance dans la solidité de [leur] économie (...) Ce pays est le meilleur endroit du monde pour investir et faire des affaires".
Alors que son administration et le Congrès travaillent à un gigantesque plan de sauvetage du secteur financier, George W. Bush a affirmé vendredi la nécessité d'agir immédiatement face à la crise financière. "En conséquence, c'est maintenant que nous devons agir pour préserver la santé économique de notre pays de graves risques." L'annonce du projet de sauvetage du secteur bancaire américain de plusieurs centaines de milliards de dollars a rassuré les milieux financiers et fait s'envoler vendredi les Bourses dans l'espoir que les risques de faillites soient désormais écartés. Paris a ainsi terminé sa séance sur un bon historique de 9,27 % .
Les investisseurs saluaient également la décision des gendarmes boursiers américain et britannique d'interdire les ventes à découvert d'actions de sociétés financières. Les détails du plan américain, dont le principe a été annoncé jeudi soir, ne sont pas encore connus mais les marchés tablent sur la création d'un fonds spécial qui reprendrait les créances les plus mauvaises pour les apurer de manière ordonnée. Le secrétaire au Trésor Henry Paulson et le président de la Réserve fédérale Ben Bernanke ont promis d'y travailler "durant tout le week-end" en liaison avec le Congrès.
"Nous parlons de centaines de milliards", a indiqué M. Paulson vendredi, interrogé lors d'une conférence de presse sur le coût prévisionnel des mesures discutées. "Il faut que cela soit suffisamment gros pour faire une vraie différence et aller au coeur du problème", a-t-il ajouté.
- Le Point
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