Les traces du régime sioniste sont visibles au Darfour selon certaines sources de Renseignements palestiniennes. Ces mêmes sources ont fait également savoir que les Sionistes jouaient le rôle de sponsor auprès d'un groupe rebelle darfouris et qu'ils étaient même en train d'entraîner les insurgés de ce groupe dirigé par Abdulwahed Al-Nour. Toujours selon cette même source, les Sionistes avaient construit une base militaire à Néguev, au sud de la Palestine occupée où ils forment aux faits d'armes les éléments de ce groupe rebelle. Un grand nombre de juifs éthiopiens, connus sous le nom de Falacha, y supervisent les entraînements. En novembre dernier Abdulwahed Al-Nour a rencontré certains responsables sionistes dont le Président et le Premier ministre. En même temps, certaines sources régionales affirment avoir repéré les traces de l'armée française au Darfour dans le cadre de cette même affaire. Elle ont révélé que Paris jouait le rôle de coordinateur entre les responsables du régime occupant Qods d'une part et les rebelles de l'autre. Cela fait longtemps que les informations circulent sur les rapports des membres de ce groupe rebelle darfouris et les responsables sionistes, ce qui est loin de nous étonner dans la mesure où le tandem Amérique-Israël fait tout pour détourner à son avantage la crise que traverse les régions occidentales du Soudan. En ce sens, ce même tandem met de l'huile sur le feu des violences sévissant dans l'ouest du Soudan, manière de mettre sous pression le gouvernement d'Omar El-Bechir. Cette attitude s'inscrit, rappelons-le, dans le prolongement du rêve de Grand Israël, cette contrée imaginaire qui devrait s'étendre du Nil à l'Euphrate. Avis donc aux protagonistes de la crise : il est nécessaire de trouver un règlement à la crise du Darfour et d'œuvrer au plus vite à l'effet de déjouer les complots sionistes au Soudan.
Alterinfo.
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