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Crise au Nord-Mali : A qui profite la médiation algérienne ?

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  • #16
    Et dire que l'ONU négocie avec des terroristes.
    Purée, y a vraiment des black-light dans le FA.

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    • #17
      mais n'est pas dans l'interet de l'algerie de s'embourber ds les conflits des autres , elle ne l'a pas fait pour les sahraouis , elle ne le fgera pas pour les touareg,

      Jamaloup

      ..........................


      Elle est marrante celle là !

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      • #18
        je savais que t'allais la pecher , et l'apprecier , eh oui c la stricte verité ,y'a rien a voir entre le polz et les touareg pour ton malheur, le SO est un bourbier maroco sahraoui,l'algerie est concerné comme peut etre concerné qqn qui voit le feu chez son voisin , il s'inquiete.
        en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

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        • #19
          @DZmes Bond

          ..............Aucune source bien sûr.
          Parti pris évident.
          Donc aucune crédibilité !........

          La source: "blogspot"
          un echantillon de la page d'accueil.

          Le Polisario, de l'abréviation espagnole de « Frente Popular de Liberación de Saguía el Hamra y Río de Oro » (Front populaire de Libération de la Saguia el Hamra et du Rio de Oro), est un mouvement terroriste armé soutenu par l'Algérie et installé sur le territoire algérien dont l'objectif est la destabilisation de la région du Maghreb. الجزائر و البوليساريو وجهان لعملة واحدة
          Collectif International pour la Vérité sur l'Algérie et le Polisario - CIVAP

          http://real-polisario.*************/...1_archive.html
          http://real-polisario.*************

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          • #20
            Merci mansali pour la source.
            Ca ne m'étonne pas.
            La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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            • #21
              je savais que t'allais la pecher , et l'apprecier , eh oui c la stricte verité ,y'a rien a voir entre le polz et les touareg pour ton malheur, le SO est un bourbier maroco sahraoui,l'algerie est concerné comme peut etre concerné qqn qui voit le feu chez son voisin , il s'inquiete.

              jamaloup
              ............................................

              Il suffit que le Maroc y mette son nez (ou encore le dingo de Tripoli) pour que ca pète , mon cher.

              L'identité touareg est beaucoup plus accentuée que chez les sahraouis .Tu n'as qu'a jeter un oeil sur leurs sites.

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              • #22
                pas de risque tu peux etre aussi machiavelique que tu veux tu n'atteindra pas le millionnieme de ce qu'eté basri ,et H2, et puis une tres grande nuance , l'algerie n'est pas le maroc .. t'as le droit de lire celà ds tt les sens possibles et imaginables.
                en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

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                • #23
                  Polisario : reconnu par l'ONU et le Maroc qui négocie avec (Manhasset, etc...).
                  Touaregs : habitants vivant dans plusieurs états (Algérie, Mali, Niger entre autre). Quelques mauvais éléments parmi eux. Ne généralise pas !
                  GSPC : groupe terroriste !

                  Si tu ne comprends pas ça, je crios qu'il n'y a rien à faire...


                  DZmesBOND

                  ..........................................

                  Le Polisario n'est pas reconnu pour l'ONU qui essaye de résoudre un problème crée et soutenu mordicus par l'Algerie .

                  Le Maroc aurait pu faire de meme en soutenant des touaregs séparatistes.

                  Si ce n'était pas le Maroc qui a demandé le référendum et impliqué l'ONU , le polisario serait à l'image des FARC en Colombie.

                  Tous comme les touaregs , les sahraouis vivent dans plusieurs pays du Maghreb DONT L'ALGERIE.

                  DONC INDEPENDANCE POUR TOUS LES SAHRAOUIS OU RIEN.

                  Ce qui est bizarre c'est que l'Algerie joue les médiateurs pour les touaregs et les séparateurs quant il s'agit des sahraouis.

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                  • #24
                    les touareg separatistes faut les trouver avant de les soutenir , faut pas prendre ses reves pour de la realité
                    en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

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                    • #25
                      pas de risque tu peux etre aussi machiavelique que tu veux tu n'atteindra pas le millionnieme de ce qu'eté basri ,et H2, et puis une tres grande nuance , l'algerie n'est pas le maroc .. t'as le droit de lire celà ds tt les sens possibles et imaginables.

                      jamaloup
                      ...............................

                      S'ils avaient été aussi machiavéliques que ça on en serait pas là .

                      L'Algerie est pire que le Maroc .La décennie noire l'a bien montré.

                      Alors il faut pas trop jouer avec le feu du séparatisme qui est latent de la Kabylie aux touaregs en passant par les sahraouis.
                      Dernière modification par chicha51, 11 juillet 2008, 18h17.

                      Commentaire


                      • #26
                        les touareg separatistes faut les trouver avant de les soutenir , faut pas prendre ses reves pour de la realité

                        jamaloup

                        ......................................

                        La réalité tu l'as trouvera dans cet article Saad Lounes

                        http://www.**********.com/index.php/...lindependance/

                        Que fera l'Algerie si les rebelles Touregs revendiquent l'independance ?

                        Par Saad Lounes

                        La gravité des émeutes de Berriane, Chlef et Oran n’a pas empêché Zerhouni et Ould Kablia de tenir des propos burlesques en évoquant la «main de l’étranger». Au lieu de disserter sur leurs inepties, la presse devrait plutôt se demander pourquoi ces dinosaures du MALG sont encore à la tête de l’Etat 46 ans après l’indépendance.
                        Odieusement insensibles aux souffrances du peuple et de la jeunesse, ils ont vite oubliés qu’ils ont été incapables de remarquer cette fameuse intervention étrangère avec le prosélytisme évangélique. Installés depuis 10 ans aux commandes des ministères de l’intérieur et des collectivités locales, ils auraient dû déceler ces associations protestantes suspectes. Leur compère Ali Tounsi, ex-colonel de la SM et patron de la police depuis 13 ans, n’a rien vu venir lui non plus. Leur ancien subordonné, le général Mediene dit Toufik, patron du tout puissant DRS, est resté aveugle depuis 18 ans qu’il est collé à son fauteuil. Leur cécité a abouti à un piteux résultat. Dépassé par la «découverte médiatique» du phénomène évangélique, le pouvoir a dû recourir à la plus abjecte des répressions. Faire condamner quelques convertis pour faire peur aux autres. C’est le degré zéro de l’injustice délirante. Une infamie qui a provoqué une indignation internationale justifiée contre cette grave atteinte aux libertés de conscience et de croyance. La procédure judiciaire anti-religieuse et anti-constitutionnelle est aussi une grave insulte à l’esprit de tolérance qui a toujours régné en Algérie où sont nées plusieurs congrégations chrétiennes depuis les Chanoines et les Augustiniennes de Saint-Augustin, l’algérien de Souk-Ahras, à celles inspirées par Charles de Foucauld mort à Tamanrasset et enterré à In Salah.
                        Toujours occupés à chercher la «main de l’étranger» dans les ordinateurs de Berriane, nos irresponsables du renseignement ne la voient pas s’agiter à nos frontières sud au cœur de la rébellion touareg au nord du Mali et du Niger. En monopolisant tous les leviers du renseignement, et en censurant la presse, les dinosaures du MALG et de la SM ont mis notre pays aux portes d’un grave danger que la «main de l’étranger» n’a jamais cessé de manipuler: la revendication d’indépendance du pays touareg.
                        Avec deux portables accrochés aux oreilles et les doigts sur le clavier pour envoyer des mails, nos officiers du DRS sont trop occupés à gérer leur business personnel. Ils n’ont pas entendu les derniers coups de semonce qui aurait réveillé même un sourd. Une vaste opération de réorganisation et des luttes de leadership au sein des mouvements rebelles touaregs malien et nigérien sont en train de s’animer sous influence étrangère. La manœuvre vise à provoquer une jonction des deux rébellions. Si l’union des mouvements aboutit, la suite logique devient évidente: la sécession entre le nord et le sud, la scission entre les pouvoirs «noirs» de Niamey et Bamako et les touaregs «blancs».
                        La «main de l’étranger» qui agit depuis des années dans cette région du Sahel ne s’en cache pas. Elle a tissé au grand jour des liens avec les chefs de tribus et les notables touaregs. Cette main est multiple, à la fois libyenne, américaine et française, comme dans un tour de table de poker où les cartes sont redistribuées..
                        Khadafi a déclaré depuis quelques années son vœu de voir se créer une «République du Grand Sahara», sous-entendu touareg. Dans ses déclarations apparemment loufoques, Khadafi semble être un adepte du dicton algérois «khalatha tassefa», ce qui se traduit par «mélange tout et ça se décantera». Dans le Sahel, le mélange libyen risque d’être explosif. Il est bon de rappeler que le Tchad, où Khadafi a pratiqué sa théorie du chaos, ne s’en est toujours pas relevé. La Libye soutient financièrement et militairement les rebelles et veut s’imposer comme médiateur à la place du voisin algérien… face à une étonnante passivité de nos services.
                        Dernière modification par chicha51, 11 juillet 2008, 18h43.

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                        • #27
                          (suite)
                          La main américaine a un objectif clair et avoué: son projet d’Africom vise l’installation d’une base militaire dans la région. En attendant de connaître le remplaçant de Bush en novembre, la pression circulaire à double sens giratoire qu’exerce les américains sur chacun des pays du Maghreb et du Sahel fait penser à une roulette de casino. Elle finira bien par s’arrêter et afficher le numéro gagnant. Pour les américains, la persistance de la rébellion touareg et l’éventuelle revendication d’indépendance serait une chance inouïe pour museler Niamey, Bamako et … Alger. Après avoir envahi l’Irak pour contrôler le pétrole du Moyen-Orient, l’installation militaire américaine en Afrique est inéluctable pour contrôler le pétrole africain, à moins d’une opposition radicale russe et chinoise.
                          Quant aux français, cela fait bien longtemps qu’ils accordent aux touaregs une attention très soutenue dans ce que l’ethnologue Paul Pandolfi appelle «une relation triangulaire des hommes bleus avec les populations arabes au nord du pays touareg et les populations noires d’Afrique sahélienne au sud». Les français n’ont toujours pas digéré les accords d’Evian où ils ont dû concéder «l’intégrité territoriale algérienne sur le Sahara» en échange de la poursuite des essais nucléaires. Ils regrettent amèrement leurs tracés coloniaux qui ont englouti le pays touareg bien que les hommes bleus avaient leur structuration sociale, tribale et géographique. Un roi, l’Aménokal régnait sur trois strates: les nobles (ihaggaren), les tributaires (Kel-Ulli) et les esclaves (Harratines). Le tout réparti en territoires distincts (Kel-Ahaggar, etc …).
                          Le mythe du pays touareg est constamment entretenu, que l’on peut résumer dans cette définition d’Albert Camus: «Depuis toujours, sur la terre sèche, raclée jusqu’à l’os, de ce pays démesuré, quelques hommes cheminaient sans trêve. Ils ne possédaient rien, mais ne servaient personne. Seigneurs misérables et libres d’un étrange royaume».
                          On se souvient que la première rébellion (91-95), des «amis de la cause touareg» ont été activés en Europe en affichant un slogan provocateur: «Touaregs: un peuple doit-il disparaître pour exister?».
                          La nomination surprise, et apparemment précipitée, de l’actuel ambassadeur de France à Alger comme coordonnateur des services de renseignement à l’Elysée, a certainement un lien avec le suivi de la recomposition des rapports de force au Maghreb et au Sahel autour des nouveaux gisements gaziers du sud-ouest algérien où Gdf a des intérêts.
                          Les rebelles nigériens du MJN ne reconnaissent plus les accords de paix de 95, bâclés par des médiateurs algériens qui ont cru éteindre le feu, mais ont laissé couver les braises. Les retards à l’allumage de la diplomatie algérienne sont très curieux face à la demande insistante de médiation des rebelles maliens. Le récent assassinat de négociateurs touaregs dans l’affaire des otages autrichiens est tout aussi étrange. Nos services semblent avoir perdu complètement les cartes du conflit.
                          Sur le plan économique, aucun dirigeant algérien n’a jamais mis en œuvre un vrai partenariat avec nos voisins du Sahel, comme le souhaitaient Boumediene et Med Seddik Benyahia. Pour mesurer la totale indifférence et le quasi mépris affiché par les autorités algériennes, il suffit de citer l’exemple du poste frontalier d’Assamaka sans électricité puisqu’il se trouve à 200 Kms d’Arlit la première ville nigérienne. Est-ce trop demander de tirer un câble électrique depuis In Guezzam qui se trouve à moins de 30 Kms?
                          En l’absence de toute coopération commerciale et douanière, les touaregs algériens sont contraints de recourir à la «contrebande» pour subvenir aux besoins alimentaires et en carburant de leurs cousins nigériens et maliens.
                          Le danger permanent de scission touareg est donc ancien et connu. C’est la capacité algérienne d’anticipation et de réaction qui semble avoir été anéantie. Comme si la «main de l’étranger» avait infiltré le système-DRS au plus haut niveau pour l’anesthésier. Les observateurs avertis s’interrogent sur le satisfecit distribué récemment par Condoleeza Rice qui a considéré que “l’Algérie est championne de la sécurité régionale et internationale”. Alors qu’on est visiblement très loin de l’efficacité des services égyptiens, tunisiens, marocains, saoudiens,… Cela fait 18 ans (?) que le pays baigne dans le sang d’un terrorisme sans fin.
                          Quoi qu’il en soit, l’incompétence avérée et répétée de nos services de renseignement porte un grave préjudice à la sécurité du pays : corruption, détournements, scandale Khalifa, crise kabyle, évangélisation, terrorisme,… et maintenant une menace réelle contre notre propre intégrité territoriale.
                          L’extrême gravité de la situation appelle une dissolution du DRS comme une urgence absolue et la réorganisation immédiate des services secrets, en prenant le soin de séparer les structures, les responsabilités et les tutelles, et en leur imposant des contrôles budgétaires et parlementaires. Un nettoyage des corps constitués s’impose pour les débarrasser de tous les affairistes et les dinosaures, et les remplacer par des élites modernes douées d’intelligence politique et de probité morale. La presse aussi doit être libérée de toutes les entraves qui empêchent le journaliste d’être «l’agent de renseignement» de l’opinion publique.
                          Si le pouvoir algérien persiste dans l’immobilisme que lui imposent les «mandats à vie», l’équation à laquelle le pays risque d’être bientôt confronté va être dramatique. Au cas où la revendication d’indépendance du pays touareg s’exprime et se structure, que fera l’Algérie? Va-t-elle soutenir «le principe d’autodétermination des peuples» comme elle le fait depuis plus de trente ans avec le Front Polisario? Ou bien va-t-elle défendre «l’intégrité territoriale» de ses pays voisins? Sachant que le pays touareg s’étend de l’axe Tombouctou-Agadez jusqu’au Hoggar et Tassili. Quelle terrible équation. Insoluble?
                          Saâd Lounès

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                          • #28
                            Voici quelques titres des articles de ce Saad Lounes (Ancien patron du journal OUMA, proche du FIS)


                            Les barons de la drogue bloquent l’ouverture de la frontière avec le Maroc 2008-07-06
                            Le retour du bachagha Ouyahia 2008-06-28
                            Le Makhzen du DRS condamne l’Algérie à la décadence 2008-06-12
                            Que fera l'Algérie si les rebelles touaregs revendiquent l'indépendance 2008-06-05
                            L'affairisme des corps constitués attise l'incivisme et la délinquance 2008-05-31
                            Sarkozy et Poutine se disputent la rente gazière de Sonatrach 2008-05-15
                            L’échec des modérés annonce le retour de l’islamisme radical 2008-05-10
                            Des négationnistes dans le pouvoir algérien 2008-05-01
                            Le DRS abat sa carte Ouyahia 2008-04-23
                            L'Algérie est un gros ventre avec une petite tête 2008-04-19
                            Au nom de la Révolution, ouvrez les frontières avec le Maroc 2008-04-11
                            Désintégration de la société algerienne 2008-04-09
                            Bouteflika, un nouveau lièvre pour le système 2008-01-02
                            Polisario _ la coûteuse imposture algérienne 2007-12-25
                            A propos de Yasmina Khadra, “Bouteflika l'a tuer” 2007-12-25
                            La trahison maghrébine de Bouteflika 2007-11-28
                            Bienvenue chez toi Enrico Macias 2007-11-26
                            Le pouvoir totalitaire et anticonstitutionnel du DRS 2007-10-18
                            L'affaire Khalifa dévoile la corruption insurectionnelle 2007-02-13
                            J'ai vu Benchicou en prison 2005-10-11
                            Fin d'une transition et nouveaux enjeux militaires 2004-08-17
                            Les raisons d'une victoire et d'une déroute 2004-04-24
                            L'oeuvre inachevée de Mahfoud Nahnah 2003-08-06
                            Pourquoi Bouteflika ne doit pas être réélu 2003-05-05
                            L'insoutenable allégeance de Bouteflika 2003-03-26
                            Le pouvoir partisan va -t-il s'imposer 2003-03-12

                            Commentaire


                            • #29
                              ce n'est pas nouveau tt celà , mais tt celà reste du domaine des reves, qu'on produit debout en plus , les touareg, les mozabites , les kabyles algeriens ,en plus d'etre algeriens sont loin d'etre des imbeciles , basri et H2 je te le repete ne sont pas si entichés de chevalerie pour laisser la moindre occasion , et meme de la creer s'ils en avaient les moyens , mais rien , aucune prise , les manoeuves miniscules ,berriane , janet, mali, nijer , sont des ennuis que gere tt homme politique a la tete d'un pays comme l'algerie , gestion interne et externe , la meilleure reponse , un plan de developpement consequent , il se met en place d'apres nos responsables incompetents, mais t'en fait pas ils ne sont pas eternels , l'argent est là que demander de plus , l'argent est le nerf de la guerre
                              en verité ...en verité... je vous le dis .. si un grain de blé tombe en terre et ne meurt pas ,il restera seul , mais s'il meurt ,il donnera beaucoup de fruits . evangile

                              Commentaire


                              • #30
                                Voici quelques titres des articles de ce Saad Lounes (Ancien patron du journal OUMA, proche du FIS)

                                ........................................

                                Quand on veut tuer son chien on l'accuse de rage.

                                Il a écrit pour Al watan sauf si ce journal est aussi islamiste.

                                L'excuse pour arrêter son journal ; chèque sans provision .Ca rappelle drolement le cas Benchicou

                                "Le 28 avril, Saad Lounès, directeur du quotidien privé El Ouma et de la Sodipresse, la première imprimerie privée d'Algérie, est condamné par le tribunal de Chéraga à trente mois de prison ferme pour "émission de chèque sans provision". Détenu depuis le 11 avril 1997, Saad Lounès est également condamné à verser des dommages d'un montant de 200 000 dinars (20 000 francs, 3 300 dollars) à la Société d'impression d'Alger (SIA). C'est pour avoir émis un chèque sans provision de 2 000 000 de dinars (200 000 francs, 33 000 dollars) à la société publique que le journaliste est condamné. L'arrestation de Saad Lounès est accompagnée de l'interdiction de paraître d'El Ouma et de la mise sous scellés des locaux de l'imprimerie. Le journaliste est remis en liberté le 16 juin par la cour d'appel de Blida, qui réduit sa peine à six mois de prison avec sursis après encaissement du montant de la dette. Mais les autorités refusent d'autoriser la parution du quotidien et maintiennent les locaux de l'imprimerie Sodipresse sous scellés. Le tribunal d'El Harrach ordonne également la saisie des biens de la Sodipresse. Les avocats de Saad Lounès se pourvoient en cassation devant la Cour suprême. Dans l'édition du vendredi 4 et samedi 5 avril, l'éditorial d'El Ouma, écrit par Saad Lounès, dénonçait le parti présidentiel, le Rassemblement National Démocratique (RND), créé quelques semaines avant la tenue des élections législatives du 5 juin 1997. Selon la rédaction du journal, c'est en raison de cet article, mais surtout de la volonté des autorités de contrôler toutes les imprimeries du pays, qu'El Ouma et la Sodipresse ont été contraints de stopper leurs activités. " De fait, le litige financier invoqué n'est qu'un alibi ", déclare Saad Lounès".
                                Dernière modification par chicha51, 11 juillet 2008, 19h42.

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