L'Iran a ordonné à ses militaires de quitter le Yémen, abandonnant ses alliés houthis, alors que les États-Unis intensifient leurs frappes aériennes contre le groupe rebelle, selon le journal britannique Telegraph.
Un haut responsable iranien a déclaré que cette décision visait à éviter une confrontation directe avec les États-Unis si un soldat iranien était tué, ajoute-t-on de même source.
Ce responsable a également indiqué que l'Iran réduisait sa stratégie de soutien à un réseau de ses « mandataires » dans la région pour se concentrer sur les menaces directes des États-Unis.
La principale préoccupation de Téhéran, selon la source, était « Trump et la manière de le gérer ».
« Chaque réunion est dominée par des discussions à son sujet, et aucun des groupes régionaux que nous soutenions auparavant n'est abordé », a précisé la source.
Des attaques quasi quotidiennes contre les Houthis ont été lancées par les États-Unis depuis que des messages de discussion de groupe de hauts responsables de Trump évoquant les frappes ont été divulgués aux médias le mois dernier.
Les frappes, que Donald Trump a qualifiées d’ « incroyablement réussies », ont détruit d'importantes cibles militaires et tué des commandants.
Un porte-parole du Pentagone a déclaré que davantage d'avions de combat seraient dépêchés dans la région, sans fournir de détails précis.
Cependant, la 124e escadre de chasse américaine a annoncé fin mars l'envoi de « plusieurs » avions d'attaque au sol A-10 Thunderbolt II et de 300 aviateurs au Moyen-Orient, outre le porte-avion USS Harry Truman
traduction telegraph.co.uk
Un haut responsable iranien a déclaré que cette décision visait à éviter une confrontation directe avec les États-Unis si un soldat iranien était tué, ajoute-t-on de même source.
Ce responsable a également indiqué que l'Iran réduisait sa stratégie de soutien à un réseau de ses « mandataires » dans la région pour se concentrer sur les menaces directes des États-Unis.
La principale préoccupation de Téhéran, selon la source, était « Trump et la manière de le gérer ».
« Chaque réunion est dominée par des discussions à son sujet, et aucun des groupes régionaux que nous soutenions auparavant n'est abordé », a précisé la source.
Des attaques quasi quotidiennes contre les Houthis ont été lancées par les États-Unis depuis que des messages de discussion de groupe de hauts responsables de Trump évoquant les frappes ont été divulgués aux médias le mois dernier.
Les frappes, que Donald Trump a qualifiées d’ « incroyablement réussies », ont détruit d'importantes cibles militaires et tué des commandants.
Un porte-parole du Pentagone a déclaré que davantage d'avions de combat seraient dépêchés dans la région, sans fournir de détails précis.
Cependant, la 124e escadre de chasse américaine a annoncé fin mars l'envoi de « plusieurs » avions d'attaque au sol A-10 Thunderbolt II et de 300 aviateurs au Moyen-Orient, outre le porte-avion USS Harry Truman
traduction telegraph.co.uk
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