Déconcertante dictature marocaine! Si moderniste avec sa politique écologique, mais également si réactionnaire par sa colonisation du Sahara Occidental et si affligeante avec ses moeurs pédophiles institutionalisées.
Quo vadis Morocco?
- Le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, a souligné que les demandes de mariage des mineures en milieu rural ont connu une augmentation par rapport à celles émanant des zones urbaines. Il a précisé que « la lutte contre la propagation de ce phénomène en milieu rural ne repose pas uniquement sur l’existence d’une législation l’autorisant ou l’interdisant, mais dépend surtout de la réalité familiale et sociale au sein de la société marocaine ».Le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, a souligné que les demandes de mariage des mineures en milieu rural ont connu une augmentation par rapport à celles émanant des zones urbaines. Il a précisé que « la lutte contre la propagation de ce phénomène en milieu rural ne repose pas uniquement sur l’existence d’une législation l’autorisant ou l’interdisant, mais dépend surtout de la réalité familiale et sociale au sein de la société marocaine ».
(...).
Le ministre a mis en avant le fait que le mariage précoce touche principalement les milieux les plus vulnérables, où la précarité économique pousse davantage de familles à y recourir. Il a également évoqué l’influence des coutumes, des traditions et d’une interprétation erronée des textes religieux, soulignant que « cette situation a des répercussions négatives sur la condition économique et sociale des jeunes filles, entraînant leur exclusion du système éducatif et de formation, et affectant leur santé physique et mentale ainsi que celle de leurs enfants ».
Abdellatif Ouahbi a exprimé ses inquiétudes quant au risque que l’exception, initialement prévue par le cadre législatif et fondée sur les recommandations de l’instance chargée de la révision du Code de la famille ainsi que sur l’avis du Conseil supérieur des oulémas concernant l’âge du mariage, ne devienne une règle.
(...).
Le ministre a insisté sur le fait que « la lutte contre la propagation de ce phénomène en milieu rural ne dépend pas uniquement de l’existence d’un cadre législatif, mais est intrinsèquement liée aux réalités familiales et aux mentalités prédominantes dans la société marocaine ». Il a ainsi souligné que « l’éradication du mariage des mineures passe par une sensibilisation accrue de la population aux conséquences néfastes de cette pratique, ainsi que par la mobilisation conjointe des secteurs gouvernementaux, des partis politiques, des associations spécialisées et des organisations de la société civile. Chaque acteur doit agir dans son domaine de compétence afin de réduire ce phénomène et de promouvoir les droits de l’enfant ».
Hespress.ma (extraits).
Quo vadis Morocco?
- Le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, a souligné que les demandes de mariage des mineures en milieu rural ont connu une augmentation par rapport à celles émanant des zones urbaines. Il a précisé que « la lutte contre la propagation de ce phénomène en milieu rural ne repose pas uniquement sur l’existence d’une législation l’autorisant ou l’interdisant, mais dépend surtout de la réalité familiale et sociale au sein de la société marocaine ».Le ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, a souligné que les demandes de mariage des mineures en milieu rural ont connu une augmentation par rapport à celles émanant des zones urbaines. Il a précisé que « la lutte contre la propagation de ce phénomène en milieu rural ne repose pas uniquement sur l’existence d’une législation l’autorisant ou l’interdisant, mais dépend surtout de la réalité familiale et sociale au sein de la société marocaine ».
(...).
Le ministre a mis en avant le fait que le mariage précoce touche principalement les milieux les plus vulnérables, où la précarité économique pousse davantage de familles à y recourir. Il a également évoqué l’influence des coutumes, des traditions et d’une interprétation erronée des textes religieux, soulignant que « cette situation a des répercussions négatives sur la condition économique et sociale des jeunes filles, entraînant leur exclusion du système éducatif et de formation, et affectant leur santé physique et mentale ainsi que celle de leurs enfants ».
Abdellatif Ouahbi a exprimé ses inquiétudes quant au risque que l’exception, initialement prévue par le cadre législatif et fondée sur les recommandations de l’instance chargée de la révision du Code de la famille ainsi que sur l’avis du Conseil supérieur des oulémas concernant l’âge du mariage, ne devienne une règle.
(...).
Le ministre a insisté sur le fait que « la lutte contre la propagation de ce phénomène en milieu rural ne dépend pas uniquement de l’existence d’un cadre législatif, mais est intrinsèquement liée aux réalités familiales et aux mentalités prédominantes dans la société marocaine ». Il a ainsi souligné que « l’éradication du mariage des mineures passe par une sensibilisation accrue de la population aux conséquences néfastes de cette pratique, ainsi que par la mobilisation conjointe des secteurs gouvernementaux, des partis politiques, des associations spécialisées et des organisations de la société civile. Chaque acteur doit agir dans son domaine de compétence afin de réduire ce phénomène et de promouvoir les droits de l’enfant ».
Hespress.ma (extraits).