Comme avec la dictature marocaine, l'Algérie aurait tout intérêt a avoir des relations saines avec l'Hexagone.
Sinon, selon vous?
- Plusieurs responsables rappellent que les partenariats économique et sécuritaire conclus avec Alger ne doivent pas pâtir de l’atmosphère politique délétère qui règne entre les deux pays.
Chaque jour correspond à un nouveau chapitre dans le feuilleton de la crise diplomatique entre l’Algérie et la France. Dernier en date, l’ambassadeur de France à Alger a été convoqué par les autorités le 28 janvier. Des tensions profondes et durables et un niveau de « toxicité » inédit jusque-là, reconnaissent les autorités françaises.
Mesures « punitives » et « algérophobie »
Pourtant, quelques rares personnalités de l’Hexagone souhaiteraient des relations plus apaisées pour préserver les liens économiques, historiques et personnels qui unissent les deux pays.
(...).
« L’Algérie a des alternatives diplomatiques et la France ne pèse plus ce qu’elle pesait autrefois en Europe et dans le monde », considère pour sa part Erwan Davoux, ancien de la DGSE et ancien chargé de mission à l’Élysée pour l’Afrique du Nord. On a des relations fortes avec Alger qu’il ne faut pas humilier avec des comportements condescendants. On ne peut pas se permettre de les mettre en péril ».
Jeune Afrique (extraits)
Sinon, selon vous?
- Plusieurs responsables rappellent que les partenariats économique et sécuritaire conclus avec Alger ne doivent pas pâtir de l’atmosphère politique délétère qui règne entre les deux pays.
Chaque jour correspond à un nouveau chapitre dans le feuilleton de la crise diplomatique entre l’Algérie et la France. Dernier en date, l’ambassadeur de France à Alger a été convoqué par les autorités le 28 janvier. Des tensions profondes et durables et un niveau de « toxicité » inédit jusque-là, reconnaissent les autorités françaises.
Mesures « punitives » et « algérophobie »
Pourtant, quelques rares personnalités de l’Hexagone souhaiteraient des relations plus apaisées pour préserver les liens économiques, historiques et personnels qui unissent les deux pays.
(...).
« L’Algérie a des alternatives diplomatiques et la France ne pèse plus ce qu’elle pesait autrefois en Europe et dans le monde », considère pour sa part Erwan Davoux, ancien de la DGSE et ancien chargé de mission à l’Élysée pour l’Afrique du Nord. On a des relations fortes avec Alger qu’il ne faut pas humilier avec des comportements condescendants. On ne peut pas se permettre de les mettre en péril ».
Jeune Afrique (extraits)
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