Le Maroc reste l’enfant gâté de la France qui vient d’ailleurs de s’aligner sur son soit disant plan d’autonomie voulu au Sahara Occidental, considérée comme « une nouvelle provocation qui va à l’encontre de la légalité internationale», suscitant de vives réactions
Dans un communiqué rendu public ce dimanche, Bureau du Conseil de la Nation, sous la présidence de Salah Goudjil, a estimé que cette décision comme un dévoiement et un aventurisme aux conséquences incertaines, ainsi qu’une mauvaise appréciation de la situation, un échec et une faillite dans la gestion du dossier, constituant un assassinat moral des efforts internationaux visant à mettre fin au colonialisme depuis des décennies.
« Prenant connaissance de la décision honteuse prise par le gouvernement français concernant la question juste du Sahara Occidental, décision soutenant et approuvant le plan d’autonomie pour la région du Sahara Occidental dans le cadre de la souveraineté marocaine factice et fictive, le Conseil de la Nation exprime son indignation, sa profonde inquiétude, son désaveu et sa condamnation au sujet de cette prise de position », lit-on dans le même document.
Cela illustre clairement une diplomatie « d’accointance et copinage » sans précédent, outrepassant les conventions et violant le cadre diplomatique mondial habituel en favorisant le troc de principes contre des intérêts, précise-t-on de même source.
Le Bureau du Conseil de la Nation souligne que la position en question constitue un déni flagrante de la France des résolutions et avis consultatifs des organismes internationaux, en plus du fait qu’il s’agit d’une approbation explicite et d’une légitimation de l’occupation d’un État membre fondateur de l’Union africaine.
D’autre part, le Bureau du Conseil de la Nation relève et confirme que cette décision constitue un reniement par la France de ses engagements en sa qualité de membre permanent du Conseil de sécurité, et un dépassement de la légitimité internationale corrollairement liée à la responsabilité du Conseil de sécurité et de ses membres permanents dans la mise en œuvre de l’accord de 1991, conformément aux résolutions des Nations Unies et aux exigences du droit international.
Le Bureau du Conseil de la Nation, sous la présidence de Salah Goudjil, souligne que la décision de reconnaissance par le gouvernement français de l’occupation du Sahara Occidental et son soutien à la thèse marocaine est une tentative vaine tendant à annihiler et à saper les efforts des organisations internationales et régionales pour permettre au peuple sahraoui d’exercer son droit légitime à l’autodétermination. C’est aussi une tentative désespérée du néocolonialisme aux fins d’octroyer une légitimité à la pensée coloniale abjecte rejetée par la majeure partie de la communauté internationale, et une expression on ne peut plus claire de la consécration et de l’enracinement de l’idéologie coloniale dans les politiques du gouvernement français, ainsi qu’une nostalgie indélébile pour un passé colonial honteux, dont les mémoires nationales et mondiales se remémoreront à jamais les horreurs, et dont les répercussions douloureuses sont les témoins irrévocables des crimes contre l’humanité perpétrés en Algérie, en Afrique et dans le monde.
L’Algérie, qui a combattu le colonialisme et l’a rejeté par le passé, continue et continuera de le rejeter sous toutes ses formes et de toutes ses origines, tout comme elle a distingué autrefois entre le peuple français et le régime colonial français, elle distingue aujourd’hui entre le peuple marocain et le régime d’occupation du Makhzen.
« Nous assistons aujourd’hui à une confirmation quotidienne du retour du colonialisme destructeur sous des formes complices basées sur des intérêts croisés au détriment des valeurs et principes de la civilisation humaine, soutenu par des alliances multidimensionnelles, comme le démontre l’alliance franco-marocano-sioniste contre les droits légitimes du peuple sahraoui et contre les droits du peuple palestinien, satisfaisant une pulsion coloniale réductrice, négatrice et exclusionniste », écrit encore le bureau du Conseil de la Nation..
Le Conseil de la Nation affirme que la décision du gouvernement français est une manifestation de l’alliance des puissances coloniales déclinantes passées et présentes, se soutenant mutuellement dans une confrontation perdante contre la fatalité historique.
« Le Parlement français, qui s’est soi-disant souvent soucié de la situation des droits de l’homme en Afrique du Nord à travers les recommandations du Parlement européen, devra désormais exprimer sa position sur cette décision, et que ses efforts soient orientés vers le « purification » de l’État français de ses tendances coloniales enracinées, et incite son gouvernement à revoir ses calculs et sa copie, corriger sa vision limitée du contexte international et régional, et tirer les leçons de l’histoire », a-t-on ajouté.
Tout en rappelant les positions constantes de la nouvelle Algérie, énoncées par le Président Abdelmadjid Tebboune, sur les questions justes, y compris la question du Sahara Occidental, le Bureau du Conseil de la Nation réaffirme également son soutien au droit inaliénable du peuple sahraoui à l’autodétermination et à l’indépendance, ainsi qu’à son droit de défendre sa patrie et ses ressources par tous les moyens de résistance légitimes garantis par le droit international.
R.N
lapatrienews
Dans un communiqué rendu public ce dimanche, Bureau du Conseil de la Nation, sous la présidence de Salah Goudjil, a estimé que cette décision comme un dévoiement et un aventurisme aux conséquences incertaines, ainsi qu’une mauvaise appréciation de la situation, un échec et une faillite dans la gestion du dossier, constituant un assassinat moral des efforts internationaux visant à mettre fin au colonialisme depuis des décennies.
« Prenant connaissance de la décision honteuse prise par le gouvernement français concernant la question juste du Sahara Occidental, décision soutenant et approuvant le plan d’autonomie pour la région du Sahara Occidental dans le cadre de la souveraineté marocaine factice et fictive, le Conseil de la Nation exprime son indignation, sa profonde inquiétude, son désaveu et sa condamnation au sujet de cette prise de position », lit-on dans le même document.
Cela illustre clairement une diplomatie « d’accointance et copinage » sans précédent, outrepassant les conventions et violant le cadre diplomatique mondial habituel en favorisant le troc de principes contre des intérêts, précise-t-on de même source.
Le Bureau du Conseil de la Nation souligne que la position en question constitue un déni flagrante de la France des résolutions et avis consultatifs des organismes internationaux, en plus du fait qu’il s’agit d’une approbation explicite et d’une légitimation de l’occupation d’un État membre fondateur de l’Union africaine.
D’autre part, le Bureau du Conseil de la Nation relève et confirme que cette décision constitue un reniement par la France de ses engagements en sa qualité de membre permanent du Conseil de sécurité, et un dépassement de la légitimité internationale corrollairement liée à la responsabilité du Conseil de sécurité et de ses membres permanents dans la mise en œuvre de l’accord de 1991, conformément aux résolutions des Nations Unies et aux exigences du droit international.
Le Bureau du Conseil de la Nation, sous la présidence de Salah Goudjil, souligne que la décision de reconnaissance par le gouvernement français de l’occupation du Sahara Occidental et son soutien à la thèse marocaine est une tentative vaine tendant à annihiler et à saper les efforts des organisations internationales et régionales pour permettre au peuple sahraoui d’exercer son droit légitime à l’autodétermination. C’est aussi une tentative désespérée du néocolonialisme aux fins d’octroyer une légitimité à la pensée coloniale abjecte rejetée par la majeure partie de la communauté internationale, et une expression on ne peut plus claire de la consécration et de l’enracinement de l’idéologie coloniale dans les politiques du gouvernement français, ainsi qu’une nostalgie indélébile pour un passé colonial honteux, dont les mémoires nationales et mondiales se remémoreront à jamais les horreurs, et dont les répercussions douloureuses sont les témoins irrévocables des crimes contre l’humanité perpétrés en Algérie, en Afrique et dans le monde.
L’Algérie, qui a combattu le colonialisme et l’a rejeté par le passé, continue et continuera de le rejeter sous toutes ses formes et de toutes ses origines, tout comme elle a distingué autrefois entre le peuple français et le régime colonial français, elle distingue aujourd’hui entre le peuple marocain et le régime d’occupation du Makhzen.
« Nous assistons aujourd’hui à une confirmation quotidienne du retour du colonialisme destructeur sous des formes complices basées sur des intérêts croisés au détriment des valeurs et principes de la civilisation humaine, soutenu par des alliances multidimensionnelles, comme le démontre l’alliance franco-marocano-sioniste contre les droits légitimes du peuple sahraoui et contre les droits du peuple palestinien, satisfaisant une pulsion coloniale réductrice, négatrice et exclusionniste », écrit encore le bureau du Conseil de la Nation..
Le Conseil de la Nation affirme que la décision du gouvernement français est une manifestation de l’alliance des puissances coloniales déclinantes passées et présentes, se soutenant mutuellement dans une confrontation perdante contre la fatalité historique.
« Le Parlement français, qui s’est soi-disant souvent soucié de la situation des droits de l’homme en Afrique du Nord à travers les recommandations du Parlement européen, devra désormais exprimer sa position sur cette décision, et que ses efforts soient orientés vers le « purification » de l’État français de ses tendances coloniales enracinées, et incite son gouvernement à revoir ses calculs et sa copie, corriger sa vision limitée du contexte international et régional, et tirer les leçons de l’histoire », a-t-on ajouté.
Tout en rappelant les positions constantes de la nouvelle Algérie, énoncées par le Président Abdelmadjid Tebboune, sur les questions justes, y compris la question du Sahara Occidental, le Bureau du Conseil de la Nation réaffirme également son soutien au droit inaliénable du peuple sahraoui à l’autodétermination et à l’indépendance, ainsi qu’à son droit de défendre sa patrie et ses ressources par tous les moyens de résistance légitimes garantis par le droit international.
R.N
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