L’Iran a demandé l’assistance de Washington après l’accident d’hélicoptère qui a coûté la vie au président iranien Ebrahim Raïssi, a dit lundi un porte-parole de la diplomatie américain, sans plus de précision.
“Je ne vais pas entrer dans les détails, mais le gouvernement iranien nous a demandé de les aider”, a déclaré à des journalistes Matthew Miller, porte-parole du Département d’État, précisant que les États-Unis n’avaient pas été en mesure de le faire, “principalement pour des raisons logistiques”.
Ebrahim Raïssi “était un homme qui avait beaucoup de sang sur les mains”, a commenté lundi un porte-parole de la Maison-Blanche, John Kirby. Le défunt président était “responsable de violations atroces des droits de l’Homme” en Iran, a-t-il ajouté.
Condoléances officielles
“Les États-Unis expriment leurs condoléances officielles pour la mort du président iranien Ebrahim Raïssi, du ministre des Affaires étrangères Hossein Amir-Abdollahian et d’autres membres de leur délégation dans un accident d’hélicoptère dans le nord-ouest de l’Iran”, a affirmé plus tôt le porte-parole du département d’État, Matthew Miller, dans un communiqué.
“Alors que l’Iran se choisit un nouveau président, nous réaffirmons notre soutien au peuple iranien et à sa lutte pour les droits de l’homme et les libertés fondamentales”, a-t-il ajouté.
“Je ne vois pas nécessairement d’impact plus large sur la sécurité régionale”, a déclaré pour sa part à la presse le ministre américain de la Défense, Lloyd Austin.
“Nous continuons à suivre la situation, mais nous n’avons aucune idée de la cause de l’accident”, a encore déclaré M. Austin, disant que les États-Unis n’étaient “pas impliqués” et que les forces américaines n’avaient pas modifié leur posture après le crash.
Belga
“Je ne vais pas entrer dans les détails, mais le gouvernement iranien nous a demandé de les aider”, a déclaré à des journalistes Matthew Miller, porte-parole du Département d’État, précisant que les États-Unis n’avaient pas été en mesure de le faire, “principalement pour des raisons logistiques”.
Ebrahim Raïssi “était un homme qui avait beaucoup de sang sur les mains”, a commenté lundi un porte-parole de la Maison-Blanche, John Kirby. Le défunt président était “responsable de violations atroces des droits de l’Homme” en Iran, a-t-il ajouté.
Condoléances officielles
“Les États-Unis expriment leurs condoléances officielles pour la mort du président iranien Ebrahim Raïssi, du ministre des Affaires étrangères Hossein Amir-Abdollahian et d’autres membres de leur délégation dans un accident d’hélicoptère dans le nord-ouest de l’Iran”, a affirmé plus tôt le porte-parole du département d’État, Matthew Miller, dans un communiqué.
“Alors que l’Iran se choisit un nouveau président, nous réaffirmons notre soutien au peuple iranien et à sa lutte pour les droits de l’homme et les libertés fondamentales”, a-t-il ajouté.
“Je ne vois pas nécessairement d’impact plus large sur la sécurité régionale”, a déclaré pour sa part à la presse le ministre américain de la Défense, Lloyd Austin.
“Nous continuons à suivre la situation, mais nous n’avons aucune idée de la cause de l’accident”, a encore déclaré M. Austin, disant que les États-Unis n’étaient “pas impliqués” et que les forces américaines n’avaient pas modifié leur posture après le crash.
Belga
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