Crise politique au Koweït : l’émir dissout le parlement et suspend certaines dispositions constitutionnelles
Dans un geste audacieux marquant une escalade significative dans la crise politique du Koweït, l’émir du pays, le cheikh Mishaal al-Ahmad al-Jaber al-Sabah, a ordonné la dissolution du parlement et la suspension de certaines dispositions de la Constitution pour une période n’excédant pas quatre ans. Cette annonce a été faite aujourd’hui, vendredi, lors d’une allocution télévisée diffusée par la télévision nationale.
L’émir Mishaal a décrit cette mesure comme un “choix difficile, nécessaire pour sauver le pays et sécuriser ses intérêts supérieurs”. Il a exprimé son inquiétude face aux défis et obstacles que le système actuel ne pouvait plus supporter, affirmant que la démocratie ne devrait pas être exploitée pour détruire l’état. “Je ne permettrai en aucun cas que la démocratie soit utilisée pour démolir l’État”, a-t-il déclaré, soulignant la gravité de la situation actuelle.
Suite à cette dissolution, les responsabilités du parlement seront assumées par l’émir lui-même et le Conseil des ministres. Cette décision intervient dans un contexte de tensions politiques croissantes et semble être un effort pour rétablir la stabilité et repenser l’approche démocratique du pays.
Cette suspension de certaines parties de la Constitution permettra une période de révision et d’analyse de la trajectoire démocratique du Koweït, selon les mots de l’émir, pendant laquelle les autorités planifieront des réformes potentielles pour mieux répondre aux défis futurs.
Tunisienumerique
Dans un geste audacieux marquant une escalade significative dans la crise politique du Koweït, l’émir du pays, le cheikh Mishaal al-Ahmad al-Jaber al-Sabah, a ordonné la dissolution du parlement et la suspension de certaines dispositions de la Constitution pour une période n’excédant pas quatre ans. Cette annonce a été faite aujourd’hui, vendredi, lors d’une allocution télévisée diffusée par la télévision nationale.
L’émir Mishaal a décrit cette mesure comme un “choix difficile, nécessaire pour sauver le pays et sécuriser ses intérêts supérieurs”. Il a exprimé son inquiétude face aux défis et obstacles que le système actuel ne pouvait plus supporter, affirmant que la démocratie ne devrait pas être exploitée pour détruire l’état. “Je ne permettrai en aucun cas que la démocratie soit utilisée pour démolir l’État”, a-t-il déclaré, soulignant la gravité de la situation actuelle.
Suite à cette dissolution, les responsabilités du parlement seront assumées par l’émir lui-même et le Conseil des ministres. Cette décision intervient dans un contexte de tensions politiques croissantes et semble être un effort pour rétablir la stabilité et repenser l’approche démocratique du pays.
Cette suspension de certaines parties de la Constitution permettra une période de révision et d’analyse de la trajectoire démocratique du Koweït, selon les mots de l’émir, pendant laquelle les autorités planifieront des réformes potentielles pour mieux répondre aux défis futurs.
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