Il va sans dire que l’annonce de la démission de Pedro Sanchez du poste de président du gouvernement espagnol n’est pas du tout liée à aux affaire de corruption qui éclaboussent sa femme. Nous en avons longuement parlé, document à l’appui.
Le concerné a joué au prestidigitateur pour détourner l’attention des vraies et plus graves raisons derrière son projet de retrait de la vie politique. Un article que noues ont transmis des amis espagnols depuis Madrid éclaire d’un jour nouveau cette décision, et vient corroborer ce que nous subodorions depuis le début. Intitulé « The two countries had a very different reaction to Moroccan espionage », cet article établit un lien direct entre cette décision et le scandale Pegasus.
Les observateurs, après coup, ont eu tendance à minimiser l’ampleur et la gravité de ce scandale d’espionnage opéré par le Maroc à l’endroit (entre autre) des plus hautes autorités espagnoles et françaises. Cela, à l’aide d’un logiciel israélien, dont l’achat au profit du Makhzen a été financé par les Emirats Arabes Unis. L’article revient sur l’ampleur des données subtilisées ainsi que sur les qualités et fonctions des victimes.
L’affaire Pegasus est connue comme l’ espionnage de plusieurs membres du gouvernement espagnol avec le logiciel Pegasus , commercialisé par la société israélienne NSO Technologies et vendu à des clients étatiques (c’est-à-dire des gouvernements) dans le but théorique de l’utiliser contre des menaces terroristes. En 2022, le gouvernement espagnol a rapporté que cet espionnage avait extrait 2,6 Go de données du téléphone portable de Sánchez, 9 Mo du téléphone portable de Margarita Robles, ministre de la Défense, et 6,3 Go du téléphone portable de Fernando Grande-Marlaska, ministre de la Défense. Intérieur. Selon les données fournies par le gouvernement lui-même, ces espionnages ont eu lieu en 2021.
Les informations volées étaient considérables et révélaient le manque de sécurité des téléphones portables de ce gouvernement. Puis quelque chose de très étrange s’est produit : le gouvernement espagnol a montré peu d’intérêt pour enquêter sur cette affaire. Il n’a même pas dénoncé l’entreprise qui a fabriqué le logiciel espion et s’est limité à porter plainte auprès de la justice, mais sans montrer sa volonté de collaborer pour découvrir ce qui s’est passé.
Le ministre des Affaires étrangères, José Manuel Albares, n’a même pas demandé d’explications au Maroc, identifié comme le principal suspect d’espionnage ». et de relever, comme nous l’avions fait précédemment que c’est sans doute sur la base de ce que les services de Yacine Mansouri ont récolté que ces derniers ont forcé Pedro Sanchez à changer de position sur l’affaire de décolonisation du Sahara Occidental, provoquant en Epargne une crise politique tellement profonde que ses conséquences et répercussions continuent de se faire sentir jusqu’à ce jour.
Oui, Pedro Sanchez est bel et bien victime de chantage de la part du Makhzen. Les autorités espagnoles se doivent de réagir et d’agir en conséquences, car cela influe négativement sur la souveraineté espagnole, et sur ses prises de décision à l’internationale, concernant le Sahara Occidental notamment. S’agissant de la France la première réaction avait été ferme et sans appel.
Mais, elle a fini par virer vers totale inféodation au mort-né plan d’autonomie marocain sur le Sahara Occidental occupés. Ainsi donc, les résultats marocains peuvent paraitre probants et spectaculaires. Ils n’en demeurent pas moins éphémères et sans lendemain, car basés sur du chantage, et contraires au droit international.
Patrie News
Le concerné a joué au prestidigitateur pour détourner l’attention des vraies et plus graves raisons derrière son projet de retrait de la vie politique. Un article que noues ont transmis des amis espagnols depuis Madrid éclaire d’un jour nouveau cette décision, et vient corroborer ce que nous subodorions depuis le début. Intitulé « The two countries had a very different reaction to Moroccan espionage », cet article établit un lien direct entre cette décision et le scandale Pegasus.
Les observateurs, après coup, ont eu tendance à minimiser l’ampleur et la gravité de ce scandale d’espionnage opéré par le Maroc à l’endroit (entre autre) des plus hautes autorités espagnoles et françaises. Cela, à l’aide d’un logiciel israélien, dont l’achat au profit du Makhzen a été financé par les Emirats Arabes Unis. L’article revient sur l’ampleur des données subtilisées ainsi que sur les qualités et fonctions des victimes.
L’affaire Pegasus est connue comme l’ espionnage de plusieurs membres du gouvernement espagnol avec le logiciel Pegasus , commercialisé par la société israélienne NSO Technologies et vendu à des clients étatiques (c’est-à-dire des gouvernements) dans le but théorique de l’utiliser contre des menaces terroristes. En 2022, le gouvernement espagnol a rapporté que cet espionnage avait extrait 2,6 Go de données du téléphone portable de Sánchez, 9 Mo du téléphone portable de Margarita Robles, ministre de la Défense, et 6,3 Go du téléphone portable de Fernando Grande-Marlaska, ministre de la Défense. Intérieur. Selon les données fournies par le gouvernement lui-même, ces espionnages ont eu lieu en 2021.
Les informations volées étaient considérables et révélaient le manque de sécurité des téléphones portables de ce gouvernement. Puis quelque chose de très étrange s’est produit : le gouvernement espagnol a montré peu d’intérêt pour enquêter sur cette affaire. Il n’a même pas dénoncé l’entreprise qui a fabriqué le logiciel espion et s’est limité à porter plainte auprès de la justice, mais sans montrer sa volonté de collaborer pour découvrir ce qui s’est passé.
Le ministre des Affaires étrangères, José Manuel Albares, n’a même pas demandé d’explications au Maroc, identifié comme le principal suspect d’espionnage ». et de relever, comme nous l’avions fait précédemment que c’est sans doute sur la base de ce que les services de Yacine Mansouri ont récolté que ces derniers ont forcé Pedro Sanchez à changer de position sur l’affaire de décolonisation du Sahara Occidental, provoquant en Epargne une crise politique tellement profonde que ses conséquences et répercussions continuent de se faire sentir jusqu’à ce jour.
Oui, Pedro Sanchez est bel et bien victime de chantage de la part du Makhzen. Les autorités espagnoles se doivent de réagir et d’agir en conséquences, car cela influe négativement sur la souveraineté espagnole, et sur ses prises de décision à l’internationale, concernant le Sahara Occidental notamment. S’agissant de la France la première réaction avait été ferme et sans appel.
Mais, elle a fini par virer vers totale inféodation au mort-né plan d’autonomie marocain sur le Sahara Occidental occupés. Ainsi donc, les résultats marocains peuvent paraitre probants et spectaculaires. Ils n’en demeurent pas moins éphémères et sans lendemain, car basés sur du chantage, et contraires au droit international.
Patrie News
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