Rien d'étonnant à cette histoire. L'Esclavagisme est très répandu en dictature marocaine. Il suffit de songer aux femmes mulets et aux petites filles de ménages qui bossent gratuitement.
- La fille du président de la Chambre des conseillers, Naam Miyara (Istiqlal), a-t-elle reçu des «esclaves», comme cadeaux, lors de son mariage ? En l’absence d’un démenti officiel de la part des principaux concernés, la polémique, qui a commencé sur les réseaux sociaux, s’est frayée un chemin au Parlement.
La députée de la Fédération de Gauche Démocratique (FGD), Fatima Tamani, a adressé une question écrite au ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, portant sur cette affaire. Le texte condamne «un mariage qui encourage à l’esclavage». «Offrir des cadeaux "humains"» à la fille du président de la Chambre des conseillers «a soulevé l’ire de l’opinion publique marocaine», a noté la parlementaire de gauche.
«Ce comportement contrevient à tous les accords internationaux, pénalisant toutes les formes de discrimination et d'esclavage, que le Maroc a signés». Une pratique incompatible avec «le préambule de la Constitution qui met l’accent sur la nécessité de «protéger et promouvoir les dispositifs des droits de l'Homme et du droit international humanitaire et contribuer à leur développement dans leur indivisibilité et leur universalité»», a-t-elle rappelé.
Le même préambule de loi fondamentale de 2011 appelle, par ailleurs, à «bannir et combattre toute discrimination à l'encontre de quiconque, en raison du sexe, de la couleur, des croyances, de la culture, de l'origine sociale ou régionale, de la langue, de l'handicap ou de quelque circonstance personnelle que ce soit».
Mme. Tamni a voulu savoir, dans sa question écrite, «la nature des mesures que le ministère de la Justice prendra face à ces pratiques qui ramènent le Maroc à des époques révolues d'esclavage et de violation des droits de l'Homme, en violation flagrante de ce que stipule la Constitution du pays et des conventions internationales ratifiées par le Maroc».
Ya...bi (extraits)
- La fille du président de la Chambre des conseillers, Naam Miyara (Istiqlal), a-t-elle reçu des «esclaves», comme cadeaux, lors de son mariage ? En l’absence d’un démenti officiel de la part des principaux concernés, la polémique, qui a commencé sur les réseaux sociaux, s’est frayée un chemin au Parlement.
La députée de la Fédération de Gauche Démocratique (FGD), Fatima Tamani, a adressé une question écrite au ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, portant sur cette affaire. Le texte condamne «un mariage qui encourage à l’esclavage». «Offrir des cadeaux "humains"» à la fille du président de la Chambre des conseillers «a soulevé l’ire de l’opinion publique marocaine», a noté la parlementaire de gauche.
«Ce comportement contrevient à tous les accords internationaux, pénalisant toutes les formes de discrimination et d'esclavage, que le Maroc a signés». Une pratique incompatible avec «le préambule de la Constitution qui met l’accent sur la nécessité de «protéger et promouvoir les dispositifs des droits de l'Homme et du droit international humanitaire et contribuer à leur développement dans leur indivisibilité et leur universalité»», a-t-elle rappelé.
Le même préambule de loi fondamentale de 2011 appelle, par ailleurs, à «bannir et combattre toute discrimination à l'encontre de quiconque, en raison du sexe, de la couleur, des croyances, de la culture, de l'origine sociale ou régionale, de la langue, de l'handicap ou de quelque circonstance personnelle que ce soit».
Mme. Tamni a voulu savoir, dans sa question écrite, «la nature des mesures que le ministère de la Justice prendra face à ces pratiques qui ramènent le Maroc à des époques révolues d'esclavage et de violation des droits de l'Homme, en violation flagrante de ce que stipule la Constitution du pays et des conventions internationales ratifiées par le Maroc».
Ya...bi (extraits)
Commentaire