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Maroc: hormis M6/Nabil Sbaï...qui d'autre?

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  • Maroc: hormis M6/Nabil Sbaï...qui d'autre?



    Mais qu'a fait le peuple marocain au bon Dieu afin de mériter un tel calvaire impartit par l'ivrogne, narcotrafiquant et addictif l'empereur M6/ Nabil Sbaï?

    - Maroc. Le portefeuille du roi à bonne école

    Création en 2010 d’une holding pour gérer une université privée à Casablanca, rachat en 2019 du principal groupe scolaire privé : Mohamed VI met la main sur le marché de l’éducation des élites au Maroc. En dépit de ses discours sur l’égalité des chances grâce à l’enseignement public...

    Le choix du nom n’est pas le fruit du hasard : l’ancien président français a été l’une des personnalités politiques les plus proches de la famille royale marocaine. Il va sans dire que le GSJC n’a eu aucun mal à obtenir le précieux label AEFE, pour le primaire comme pour le secondaire. Les frais de scolarité de ce groupe princier sont parmi les plus élevés du secteur : de 42 000 dirhams (4 200 euros) par an pour la maternelle à 54 000 dirhams (5 400 euros) par an pour le lycée, sans compter les frais de première inscription (3 500 euros).


    UN SECTEUR TRÈS LUCRATIF

    Par ailleurs, l’avidité des entreprises du roi pour les « nouveaux trésors » de l’enseignement privé ne se limite pas aux établissements du primaire et du secondaire. Elle touche également le secteur universitaire et s’étend à toutes les branches académiques qui « portent »… et rapportent.
    (...).
    La prolifération de ces mégaprojets d’établissements privés portés par des holdings royales met à mal les discours du roi Mohamed VI pour un enseignement public assurant égalité des chances et qualité : « Il faut faire preuve de sérieux et de réalisme, disait-il dans son discours du 30 juillet 2015, et s’adresser aux Marocains en toute franchise en leur demandant : pourquoi sont-ils si nombreux à inscrire leurs enfants dans les établissements des missions étrangères et les écoles privées, malgré leurs coûts exorbitants ? La réponse est claire : c’est parce qu’ils cherchent un enseignement ouvert et de qualité, fondé sur l’esprit critique et l’apprentissage des langues, un enseignement qui permette à leurs enfants d’accéder au marché du travail et de s’inscrire dans la vie active ».

    Quel crédit accorder à ces mots quand celui qui les prononce se lance via ses holdings dans des projets visant à privatiser l’enseignement, qui met à mal l’égalité des chances et la qualité des établissements de l’éducation nationale ?

    Omar Brouksy in L'Orient XXI
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