Enfin une bonne nouvelle dans ce monde toujours plus morne!
Bon retour chez vous les Marocain.e.s!
- Raisons économiques, attachement culturel, racisme et islamophobie... de plus en plus de Marocains de l’étranger reviennent ou désirent revenir au Maroc. Décryptage d’un phénomène qui prend de l’ampleur.
Ils sont 5,1 millions selon les dernières données communiquées par le ministère des Affaires étrangères. À ce chiffre, qui représente environ 15% de la population marocaine, peut s’ajouter l’effectif des personnes vivant à l’étranger et non immatriculées dans les consulats, ainsi que celles nées au Maroc et expatriées. Dès lors, la communauté des Marocains du monde peut s’élever à environ 6 millions de personnes, selon les estimations du Conseil économique social et environnemental (CESE). Parmi ces expatriés, fils ou petits-fils d’immigrés, nombreux aspirent aujourd’hui à parcourir le chemin inverse de celui emprunté par la première génération dans les années 1960, pour s’installer au Maroc et fuir un climat politique “anxiogène” et des discours “racistes et islamophobes qui minent le moral”, comme le décrit Ghizlane*, cette Franco-Marocaine de 27 ans, actuellement en recherche d’emploi.
Tel Quel.ma
Bon retour chez vous les Marocain.e.s!
- Raisons économiques, attachement culturel, racisme et islamophobie... de plus en plus de Marocains de l’étranger reviennent ou désirent revenir au Maroc. Décryptage d’un phénomène qui prend de l’ampleur.
Ils sont 5,1 millions selon les dernières données communiquées par le ministère des Affaires étrangères. À ce chiffre, qui représente environ 15% de la population marocaine, peut s’ajouter l’effectif des personnes vivant à l’étranger et non immatriculées dans les consulats, ainsi que celles nées au Maroc et expatriées. Dès lors, la communauté des Marocains du monde peut s’élever à environ 6 millions de personnes, selon les estimations du Conseil économique social et environnemental (CESE). Parmi ces expatriés, fils ou petits-fils d’immigrés, nombreux aspirent aujourd’hui à parcourir le chemin inverse de celui emprunté par la première génération dans les années 1960, pour s’installer au Maroc et fuir un climat politique “anxiogène” et des discours “racistes et islamophobes qui minent le moral”, comme le décrit Ghizlane*, cette Franco-Marocaine de 27 ans, actuellement en recherche d’emploi.
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