On sait qu'en tant aussi de pays colonisateur du Sahara Occidental, aucun pays du monde ne partage autant d'affinités avec la dictature israélienne que le narco-Etat marocain.
En plus, l'Etat hébreux tient laisse la dictature marocaine avec l'affaire du scandale de Pegasus.
- Pourquoi le Maroc choisit-il de maintenir ses relations avec Israël ?
Les relations entre le Maroc et Israël pourraient traverser une période tendue et délicate, mais selon les experts, il est hautement improbable que Rabat renonce à ses engagements envers Tel-Aviv.
Les évolutions récentes dans la bande de Gaza laissent entendre que le Royaume pourrait réduire, voire geler temporairement sa coopération avec Israël tout en maintenant activement son soutien aux Palestiniens et en exprimant ses préoccupations quant à la situation humanitaire à Gaza. Néanmoins, il demeure peu probable d’envisager une rupture totale avec Israël.
Sollicité par Hespress FR à cet égard, Dr Mohammed Issam Laaroussi, professeur de relations internationales et directeur du Centre Perspectives d’études géopolitiques et stratégiques, souligne qu’en se basant sur un ensemble de données et en suivant l’approche de la politique étrangère marocaine, il est difficile d’imaginer que le Maroc romprait ses liens avec Israël dans cette situation particulière.
"On peut considérer que le Maroc adopte ce que l’on appelle la ‘dualité’, une dualité normative dans le traitement de la question palestinienne ou dans les relations avec Israël. Cela signifie que rompre les relations est évidemment lié à une révocation unilatérale d’accords, ou à se retirer unilatéralement d’un accord, et cela a aussi des implications" , a-il-expliqué.
Hespress.ma
En plus, l'Etat hébreux tient laisse la dictature marocaine avec l'affaire du scandale de Pegasus.
- Pourquoi le Maroc choisit-il de maintenir ses relations avec Israël ?
Les relations entre le Maroc et Israël pourraient traverser une période tendue et délicate, mais selon les experts, il est hautement improbable que Rabat renonce à ses engagements envers Tel-Aviv.
Les évolutions récentes dans la bande de Gaza laissent entendre que le Royaume pourrait réduire, voire geler temporairement sa coopération avec Israël tout en maintenant activement son soutien aux Palestiniens et en exprimant ses préoccupations quant à la situation humanitaire à Gaza. Néanmoins, il demeure peu probable d’envisager une rupture totale avec Israël.
Sollicité par Hespress FR à cet égard, Dr Mohammed Issam Laaroussi, professeur de relations internationales et directeur du Centre Perspectives d’études géopolitiques et stratégiques, souligne qu’en se basant sur un ensemble de données et en suivant l’approche de la politique étrangère marocaine, il est difficile d’imaginer que le Maroc romprait ses liens avec Israël dans cette situation particulière.
"On peut considérer que le Maroc adopte ce que l’on appelle la ‘dualité’, une dualité normative dans le traitement de la question palestinienne ou dans les relations avec Israël. Cela signifie que rompre les relations est évidemment lié à une révocation unilatérale d’accords, ou à se retirer unilatéralement d’un accord, et cela a aussi des implications" , a-il-expliqué.
Hespress.ma
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