Annonce

Réduire
Aucune annonce.

La dictature marocaine toute acquise à Israël!

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • La dictature marocaine toute acquise à Israël!

    On sait qu'en tant aussi de pays colonisateur du Sahara Occidental, aucun pays du monde ne partage autant d'affinités avec la dictature israélienne que le narco-Etat marocain.

    En plus, l'Etat hébreux tient laisse la dictature marocaine avec l'affaire du scandale de Pegasus.

    - Pourquoi le Maroc choisit-il de maintenir ses relations avec Israël ?

    Les relations entre le Maroc et Israël pourraient traverser une période tendue et délicate, mais selon les experts, il est hautement improbable que Rabat renonce à ses engagements envers Tel-Aviv.

    Les évolutions récentes dans la bande de Gaza laissent entendre que le Royaume pourrait réduire, voire geler temporairement sa coopération avec Israël tout en maintenant activement son soutien aux Palestiniens et en exprimant ses préoccupations quant à la situation humanitaire à Gaza. Néanmoins, il demeure peu probable d’envisager une rupture totale avec Israël.

    Sollicité par Hespress FR à cet égard, Dr Mohammed Issam Laaroussi, professeur de relations internationales et directeur du Centre Perspectives d’études géopolitiques et stratégiques, souligne qu’en se basant sur un ensemble de données et en suivant l’approche de la politique étrangère marocaine, il est difficile d’imaginer que le Maroc romprait ses liens avec Israël dans cette situation particulière.

    "On peut considérer que le Maroc adopte ce que l’on appelle la ‘dualité’, une dualité normative dans le traitement de la question palestinienne ou dans les relations avec Israël. Cela signifie que rompre les relations est évidemment lié à une révocation unilatérale d’accords, ou à se retirer unilatéralement d’un accord, et cela a aussi des implications" , a-il-expliqué.

    Hespress.ma

  • #2
    Tu commences tôt ta journée...makayen ni sport ni promenade..direct la propagande anti marocainse, Salama ya rebbi

    Commentaire


    • #3

      " y compris les appels du responsable politique du Hamas exhortant le Maroc à se solidariser avec les Palestiniens et à rompre les liens avec Israël. Le Maroc ne se plie pas à de telles injonctions, car ce sont des décisions souveraines, et le Maroc demeure maître de son destin".

      Pourtant, il n'y a pas que le Hamas qui exhorte la dictature marocaine à rompre ses relations diplomatiques avec son sin sosie israélien, mais aussi le peuple marocain qui se considère actuellement "comme un collabo" (sic) avec le génocidaire hébreux.

      Donc, Mohammed Issam Laaroussi nous prendrait-il tous pour des maroquins?

      - Et d’ajouter: « Il existe des implications légales spécifiques à cet accord que le Maroc a signé en 2020, avec des charges potentielles sur les plans politique, sécuritaire, et juridique. Malgré cela, le Maroc continue de soutenir activement la cause palestinienne, la considérant comme l’une de ses priorités, et met systématiquement l’accent sur les droits historiques du peuple palestinien dans les Accords d’Abraham« .

      De plus, les événements survenus dans la bande de Gaza le 7 octobre dernier placent le Maroc devant de nombreuses responsabilités, poursuit l’expert. Il précise que cet événement représente un tournant potentiel pour rediriger les relations dans une autre direction, éventuellement en réduisant leur ampleur, voire en donnant du temps pour que la situation se stabilise.

      Selon l’universitaire, ceci est illustré par le refus du Maroc, aux côtés d’autres pays arabes tels que l’Arabie saoudite, Bahreïn, le Koweït, et d’autres membres de la Ligue arabe, de rompre leurs relations lors de la réunion du 11 novembre à Riyad.

      « Lors de ce sommet, cette proposition a été confirmée, nous confrontant ainsi à une nouvelle réalité à traiter. Du côté du Maroc, aucune ingérence extérieure n’est acceptée, y compris les appels du responsable politique du Hamas exhortant le Maroc à se solidariser avec les Palestiniens et à rompre les liens avec Israël. Le Maroc ne se plie pas à de telles injonctions, car ce sont des décisions souveraines, et le Maroc demeure maître de son destin« , soulève notre interlocuteur.

      Par ailleurs, Laaroussi à noté que quoi qu’il en soit, le Maroc cherche à atténuer la dynamique des relations bilatérales tout en réaffirmant son engagement envers de nouveaux projets, estimant que la situation actuelle requiert une pause pour redéfinir l’orientation des relations bilatérales sous leurs différents aspects. En fin de compte, il s’agit d’une évaluation de ces relations, sans nécessairement aboutir à une rupture définitive des liens, conclut l’expert.

      Ibidem

      Commentaire


      • #4
        Que serait le maroc sans les juifs les seuls entreprenants à l'époque hassan 2 demander une somme d'argent à Israël de compensation pour chaque juif qui quitter le maroc ils étaient 230 000 et avaient tout les leviers.

        Commentaire


        • #5
          La dictature alaouite doit être le seul pays du monde à condamner un individu à 3 ans de prison ferme pour critiques envers la normalisation en les deux Etats fascistes que sont le Maroc et Israël.

          3 ans de prison ferme, c'est l'équivalent d'une condamnation pour viol au Maroc!

          - Verdict. Un citoyen marocain a été condamné à trois ans de prison ferme par la cour d’appel de Casablanca pour lèse-majesté.

          Saïd Boukioud, 48 ans, a été initialement condamné en août à cinq ans de prison pour une série de publications sur Facebook datant d’il y a trois ans, dans lesquelles il critiquait la normalisation des relations du Maroc avec Israël, selon l’AFP.

          L’affaire remonte à décembre 2020, lorsque Boukioud, qui était alors basé au Qatar, avait critiqué la normalisation de Rabat avec Israël cette année-là sur sa page Facebook personnelle.

          Boukioud « avait supprimé ces messages et fermé son compte Facebook lorsqu’il avait appris qu’il y avait une plainte contre lui » au Maroc, affirme son avocat.

          Il a été arrêté à son retour à Casablanca en juillet dernier.

          Article19.ma

          Commentaire


          • #6
            Je préfère de très loin un pays qui s'approche d'Israël plutôt que de Putin, mais les dirigeants actuels d'Israël ne valent pas mieux que Putin.

            Le choix du Maroc reste un bon choix pour son avenir.
            Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

            Commentaire


            • #7
              Il est regrettable que la dictature marocaine déconsidère son peuple " le citoyen est traité comme un être mineur, on pense pour lui, on l’oblige à croire " dixit Tahar Benjelloun.

              Cette carence engendre la raison pour laquelle la dictature marocaine soit handicapée de 227 ans de retard sur l'époque actuelle.

              - Guerre à Gaza et relations israélo-marocaines : Entre intérêts communs et pressions régionales

              Une récente analyse de l’Institut israélien d’études sur la sécurité nationale (INSS), faite par Lien Morr, chercheuse associée, offre un aperçu approfondi des répercussions de la guerre dans la bande de Gaza sur les relations entre Israël et le Maroc. Le titre de son analyse, « Guerre de Gaza et relations israélo-marocaines : les intérêts communs doivent être renforcés« , annonce la couleur en soulignant les défis et les opportunités auxquels les deux pays sont confrontées dans le contexte international actuel.
              (...).
              La complexité des relations Israël-Maroc est mise en lumière par les répercussions contradictoires de la guerre, souligne l’analyse publié par l’INSS, notant que d’une part, les intérêts politiques, sécuritaires et économiques communs entre les deux pays n’ont pas été entièrement affectés par le conflit. Ils continuent de constituer, estime-t-elle, des partenaires stratégiques au sein d’un axe régional visant à promouvoir la stabilité par le biais de la coopération économique et du développement.

              D’autre part, fait remarquer l’analyse, la pression nationale et régionale sur le Maroc pour adopter une position plus ferme en faveur des Palestiniens met à l’épreuve sa position traditionnelle dans le conflit israélo-palestinien.

              Au niveau régional, la solidarité panarabe envers la cause palestinienne place le Maroc dans une position délicate. Les manifestations publiques de soutien aux Palestiniens coexistent avec la nécessité de maintenir des relations solides avec Israël, estime la chercheuse dans son analyse, notant que la récente guerre à Gaza a accentué ces tensions, entraînant l’évacuation des responsables israéliens du Bureau de liaison à Rabat et la suspension des vols directs entre les deux pays.

              Les pressions régionales s’accompagnent également de défis nationaux pour le Maroc, fait elle observer, en ce sens, dit l’analyste, que les manifestations de soutien aux Palestiniens, bien que rassemblant un large éventail politique, reflètent une opinion publique majoritairement pro-palestinienne au Maroc qui appelle à rompre les liens avec Israël.

              Hespress.ma

              Commentaire

              Chargement...
              X