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- En réponse à une question sur les civils tués dans la Bande de Gaza, depuis le début des raids israéliens
Mercredi, le président américain Joe Biden s'est dit certain que les frappes israéliennes dans la bande de Gaza avaient fait des victimes civiles, mais il a remis en question l'exactitude des chiffres annoncés par le ministère de la Santé à Gaza.
En réponse à une question sur les civils tués à Gaza, depuis le début des bombardements et des raids israéliens sur la bande de Gaza il y a plus de deux semaines, Biden a fait savoir ce qui suit: "Je ne sais pas si les Palestiniens disent la vérité sur le nombre des morts, mais je suis sûr que des innocents ont été tués".
Et d'ajouter: "C'est le prix à payer quand on mène une guerre. Je crois que les Israéliens devraient faire très attention en s'assurant qu'ils se concentrent sur la poursuite des personnes qui promeuvent cette guerre contre Israël. Sinon, c'est contre leurs intérêts".
"En tout cas, je n'ai aucune confiance quant aux chiffres publiés par les Palestiniens", a-t-il insisté.
Pour le 19e jour consécutif, l'armée israélienne continue de cibler Gaza avec d'intenses frappes aériennes qui ont détruit des quartiers entiers, faisant 6 546 morts parmi les Palestiniens, dont 2 704 enfants, 1 584 femmes et 364 personnes âgées, en plus de 17 439 blessés à divers degrés de gravité. 1600 personnes sont toujours portées disparues sous les décombres, selon un dernier bilan établi par le ministère palestinien de la Santé.
Le 7 octobre à l'aube, le mouvement de résistance Hamas et d'autres factions palestiniennes ont lancé depuis Gaza l'opération "Déluge d'Al-Aqsa", en réponse aux "attaques incessantes des forces israéliennes et des colons contre le peuple palestinien, ses biens et ses lieux saints, en particulier la mosquée Al-Aqsa dans la partie occupée de Jérusalem-Est".
De son côté, l'armée israélienne a lancé l'opération "Épées de fer" et continue de mener des raids intensifs sur plusieurs districts de la Bande de Gaza, où vivent plus de deux millions de Palestiniens qui souffrent de la détérioration de leurs conditions de vie en
AA
Mercredi, le président américain Joe Biden s'est dit certain que les frappes israéliennes dans la bande de Gaza avaient fait des victimes civiles, mais il a remis en question l'exactitude des chiffres annoncés par le ministère de la Santé à Gaza.
En réponse à une question sur les civils tués à Gaza, depuis le début des bombardements et des raids israéliens sur la bande de Gaza il y a plus de deux semaines, Biden a fait savoir ce qui suit: "Je ne sais pas si les Palestiniens disent la vérité sur le nombre des morts, mais je suis sûr que des innocents ont été tués".
Et d'ajouter: "C'est le prix à payer quand on mène une guerre. Je crois que les Israéliens devraient faire très attention en s'assurant qu'ils se concentrent sur la poursuite des personnes qui promeuvent cette guerre contre Israël. Sinon, c'est contre leurs intérêts".
"En tout cas, je n'ai aucune confiance quant aux chiffres publiés par les Palestiniens", a-t-il insisté.
Pour le 19e jour consécutif, l'armée israélienne continue de cibler Gaza avec d'intenses frappes aériennes qui ont détruit des quartiers entiers, faisant 6 546 morts parmi les Palestiniens, dont 2 704 enfants, 1 584 femmes et 364 personnes âgées, en plus de 17 439 blessés à divers degrés de gravité. 1600 personnes sont toujours portées disparues sous les décombres, selon un dernier bilan établi par le ministère palestinien de la Santé.
Le 7 octobre à l'aube, le mouvement de résistance Hamas et d'autres factions palestiniennes ont lancé depuis Gaza l'opération "Déluge d'Al-Aqsa", en réponse aux "attaques incessantes des forces israéliennes et des colons contre le peuple palestinien, ses biens et ses lieux saints, en particulier la mosquée Al-Aqsa dans la partie occupée de Jérusalem-Est".
De son côté, l'armée israélienne a lancé l'opération "Épées de fer" et continue de mener des raids intensifs sur plusieurs districts de la Bande de Gaza, où vivent plus de deux millions de Palestiniens qui souffrent de la détérioration de leurs conditions de vie en
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