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À la suite des bombardements incessants à travers Gaza et des pressions croissantes exercées par Israël pour que les Gazaouis se réinstallent dans le Sinaï, des questions ont émergé quant à la volonté de l'Égypte d'héberger les Palestiniens déplacés.
L'imagerie satellite et une analyse approfondie des événements passés ont révélé des détails intrigants sur les immeubles encore vacants à New Rafah, en Égypte, soulevant des questions : quel récit entoure ces maisons et cette nouvelle ville?
- Cela pose une question cruciale : le Sinaï est-il vraiment prêt à accueillir les évacués de Gaza ?
- si oui, quand ces préparatifs ont-ils commencé, surtout compte tenu du déclenchement soudain des bombardements israéliens ?
- Et où seraient logés tous les habitants de Gaza ?
Grâce à une analyse approfondie des images satellite, des comptes rendus journalistiques et des évaluations open source, nous avons localisé une zone importante appelée « zone tampon », qui s'étend sur environ 50 kilomètres carrés, reliant le Sinaï et la bande de Gaza. Bande.
Adjacent à cette zone se trouve le projet New Rafah City, à une distance d’environ 4 kilomètres. Les responsables égyptiens suggèrent que sa fondation visait à accueillir les personnes déracinées de Rafah au milieu des turbulences des efforts antiterroristes.
La ville compte plus de 10 000 logements et une gamme de services.
Selon les affirmations du gouvernement, il peut accueillir au moins 50 000 personnes, avec une capacité d'agrandissement, étant donné que chaque unité d'habitation couvre 120 mètres carrés.
Les images satellite obtenues de Sentinel Hub détaillent le développement de la ville de 2017 jusqu'à son achèvement en 2023.
New Rafah est idéalement situé à seulement 8 kilomètres du terminal de Rafah, sur la route principale reliant le terminal à la ville égyptienne d'Al-Arish, ce qui en fait l'endroit le plus approprié pour accueillir les réfugiés palestiniens.
Après avoir passé au crible des articles de presse récents, un rapport de Human Rights Watch a été publié, soulignant la démolition par l'armée égyptienne d'environ 12 350 structures dans le nord du Sinaï entre fin 2013 et juillet 2020, dans le cadre de ses opérations antiterroristes.
Eekad - إيكاد
@EekadFacts
L'imagerie satellite et une analyse approfondie des événements passés ont révélé des détails intrigants sur les immeubles encore vacants à New Rafah, en Égypte, soulevant des questions : quel récit entoure ces maisons et cette nouvelle ville?
- Cela pose une question cruciale : le Sinaï est-il vraiment prêt à accueillir les évacués de Gaza ?
- si oui, quand ces préparatifs ont-ils commencé, surtout compte tenu du déclenchement soudain des bombardements israéliens ?
- Et où seraient logés tous les habitants de Gaza ?
Grâce à une analyse approfondie des images satellite, des comptes rendus journalistiques et des évaluations open source, nous avons localisé une zone importante appelée « zone tampon », qui s'étend sur environ 50 kilomètres carrés, reliant le Sinaï et la bande de Gaza. Bande.
Adjacent à cette zone se trouve le projet New Rafah City, à une distance d’environ 4 kilomètres. Les responsables égyptiens suggèrent que sa fondation visait à accueillir les personnes déracinées de Rafah au milieu des turbulences des efforts antiterroristes.
La ville compte plus de 10 000 logements et une gamme de services.
Selon les affirmations du gouvernement, il peut accueillir au moins 50 000 personnes, avec une capacité d'agrandissement, étant donné que chaque unité d'habitation couvre 120 mètres carrés.
Les images satellite obtenues de Sentinel Hub détaillent le développement de la ville de 2017 jusqu'à son achèvement en 2023.
New Rafah est idéalement situé à seulement 8 kilomètres du terminal de Rafah, sur la route principale reliant le terminal à la ville égyptienne d'Al-Arish, ce qui en fait l'endroit le plus approprié pour accueillir les réfugiés palestiniens.
Après avoir passé au crible des articles de presse récents, un rapport de Human Rights Watch a été publié, soulignant la démolition par l'armée égyptienne d'environ 12 350 structures dans le nord du Sinaï entre fin 2013 et juillet 2020, dans le cadre de ses opérations antiterroristes.
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@EekadFacts
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