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L’Iran appel à un embargo pétrolier contre Israël et les pays de l’Opep déclinent
Le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amirabdollahian, a appelé mercredi les membres de l’Organisation de coopération islamique (OCI) à imposer un embargo pétrolier et d’autres sanctions à Israël et à expulser tous les ambassadeurs israéliens.
Un appel qui n’a pas trouvé d’écho pour le moment auprès des pays arabes, surtout qui sont membres de l’organisation des pays producteurs de pétrole (OPEP).
Quatre sources de l’Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole (OPEP), qui produit un tiers du pétrole mondial et comprend plusieurs pays musulmans, dont l’Iran, ont déclaré à l’agence Reuters “qu’aucune action immédiate ou réunion d’urgence n’était prévue par le groupe à la lumière des appels de l’Iran”.
Une des sources contactée par Reuters a déclaré que “nous ne sommes pas une organisation politique”. Mardi, le secrétaire général du Conseil de coopération du Golfe, lorsque Reuters lui a demandé si les pays arabes devraient réduire la production de pétrole en représailles aux actions d’Israël à Gaza, a déclaré que le CCG était attaché à la sécurité énergétique et ne devrait pas utiliser le pétrole comme arme.
“Le CCG travaille comme un partenaire clair et honnête en tant qu’exportateur de pétrole avec la communauté internationale et nous ne pouvons pas l’utiliser comme une arme de quelque manière que ce soit”, a déclaré Jasem al-Budaiwi.
En 1973, des producteurs arabes dirigés par l’Arabie saoudite ont imposé un embargo pétrolier aux partisans occidentaux d’Israël dans sa guerre contre l’Égypte, visant le Canada, le Japon, les Pays-Bas, la Grande-Bretagne et les États-Unis.
Les prix du pétrole ont augmenté en conséquence, mais à plus long terme, la crise a conduit au développement de nouvelles provinces pétrolières en dehors du Moyen-Orient comme la mer du Nord et les actifs en eau profonde, et encouragé les énergies alternatives.
Alors que les pays occidentaux étaient les principaux acheteurs de brut produit par les pays arabes à l’époque, l’Asie est aujourd’hui le principal acheteur de brut de l’OPEP.
“L’environnement géopolitique est différent par rapport à il y a 50 ans”, a expliqué une autre source de l’OPEP sur les raisons pour lesquelles un embargo ne sera pas mis en œuvre.
Une réunion urgente de l’OCI se déroule dans la ville saoudienne de Djeddah pour discuter du conflit israélo-palestinien, après une explosion dans un hôpital de Gaza mardi soir, un grand nombre de Palestiniens ont tué.
Amirabdollahian a également appelé à la formation d’une équipe d’avocats islamiques pour documenter les crimes de guerre potentiels commis par Israël à Gaza.
Le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amirabdollahian, a appelé mercredi les membres de l’Organisation de coopération islamique (OCI) à imposer un embargo pétrolier et d’autres sanctions à Israël et à expulser tous les ambassadeurs israéliens.
Un appel qui n’a pas trouvé d’écho pour le moment auprès des pays arabes, surtout qui sont membres de l’organisation des pays producteurs de pétrole (OPEP).
Quatre sources de l’Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole (OPEP), qui produit un tiers du pétrole mondial et comprend plusieurs pays musulmans, dont l’Iran, ont déclaré à l’agence Reuters “qu’aucune action immédiate ou réunion d’urgence n’était prévue par le groupe à la lumière des appels de l’Iran”.
Une des sources contactée par Reuters a déclaré que “nous ne sommes pas une organisation politique”. Mardi, le secrétaire général du Conseil de coopération du Golfe, lorsque Reuters lui a demandé si les pays arabes devraient réduire la production de pétrole en représailles aux actions d’Israël à Gaza, a déclaré que le CCG était attaché à la sécurité énergétique et ne devrait pas utiliser le pétrole comme arme.
“Le CCG travaille comme un partenaire clair et honnête en tant qu’exportateur de pétrole avec la communauté internationale et nous ne pouvons pas l’utiliser comme une arme de quelque manière que ce soit”, a déclaré Jasem al-Budaiwi.
En 1973, des producteurs arabes dirigés par l’Arabie saoudite ont imposé un embargo pétrolier aux partisans occidentaux d’Israël dans sa guerre contre l’Égypte, visant le Canada, le Japon, les Pays-Bas, la Grande-Bretagne et les États-Unis.
Les prix du pétrole ont augmenté en conséquence, mais à plus long terme, la crise a conduit au développement de nouvelles provinces pétrolières en dehors du Moyen-Orient comme la mer du Nord et les actifs en eau profonde, et encouragé les énergies alternatives.
Alors que les pays occidentaux étaient les principaux acheteurs de brut produit par les pays arabes à l’époque, l’Asie est aujourd’hui le principal acheteur de brut de l’OPEP.
“L’environnement géopolitique est différent par rapport à il y a 50 ans”, a expliqué une autre source de l’OPEP sur les raisons pour lesquelles un embargo ne sera pas mis en œuvre.
Une réunion urgente de l’OCI se déroule dans la ville saoudienne de Djeddah pour discuter du conflit israélo-palestinien, après une explosion dans un hôpital de Gaza mardi soir, un grand nombre de Palestiniens ont tué.
Amirabdollahian a également appelé à la formation d’une équipe d’avocats islamiques pour documenter les crimes de guerre potentiels commis par Israël à Gaza.
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