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Le marché des véhicules neufs en Algérie est quasiment à l’arrêt depuis cinq ans

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  • #16


    Le marché des véhicules neufs en Algérie est quasiment à l’arrêt depuis cinq ans

    y a til jamais eu une situation aussi cocasse dans un autre pays ou les gens ne pouvaient plus acheter pour incompetence caracterisee de ses dirigeants. Meme Cuba, l'Iran et la Coree du Nord ont l'excuse de l'embargo...
    "Tout ce qui te dérange chez les autres, c'est seulement une projection de ce que tu n'as pas résolu en toi-même" - Bouddha

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    • #17
      n'oubliez pas que ce pays qui bloque les importations a un pib de 233 milliards$... c'est tebboune qui me l'a dit.

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      • #18
        et ils viennent donner des leçons au Maroc qui produit sur son territoire plus de 700 000 voitures neuves .
        Primo, personne n'aurait entendu parler de ton maroc si t'es pas là. Secundo, tes 700 000 voitures sont destinées à l'exportation. Bref, externaliser une prodution pour baisser les coûts et maximiser le profit.
        La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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        • #19
          L’ex-premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal, jugé pour des faits de corruption à Alger, a avoué, le 4 novembre, que le régime algérien voulait saborder l’industrie automobile d’un pays voisin, allusion explicite au Maroc. L’ancien chef du gouvernement, en poste de 2012 à 2017, est jugé dans le cadre d’enquêtes anticorruption.

          Accusé de dilapidation de deniers publics, Abdelmalek Sellal est soupçonné d’avoir accordé à la famille influente des Tahkout des avantages fiscaux qui ont privé l’Etat d’importantes ressources. Sellal a expliqué cela par une volonté de «saboter l’industrie automobile d’un Etat voisin», selon le quotidien Echourouk. «L’importation de pièces destinées aux usines de montage de voitures était un élément central de notre stratégie pour lancer une industrie automobile, censée réduire notre facture d’importation et gêner les intérêts dans ce secteur d’un pays voisin», a déclaré Sellal devant le juge pour justifier le fiasco de l’industrie automobile en Algérie ainsi que ses malversations financières. Manque à gagner pour les caisses étatiques : 33 milliards de dinars.
          la junte a essayé de copier le voisin qui ne fait qu'assembler des véhicules sur son territoire, selon les bnadrias...resultats: lfachal comme d'habitude...ce n'est pas aussi facile de monter une industrie auto comme certains pourraient croire.

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