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Maroc-Turquie: l'étonnante réciprocité de deux infames dictatures

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  • Maroc-Turquie: l'étonnante réciprocité de deux infames dictatures

    Si l'on considère en toute bonne foi que tant le Maroc que la Turquie colonisent des territoires qui ne leurs appartiennent pas (Sahara Occidental pour le narco-Etat marocain et le Kurdistan pour la Turquie), il est frappant de constater comme à nombreux niveaux les deux dictatures se ressemblent fondamentalement (sous réserve que la monarchie alaouite est plus arriérée que la Turquie).

    Le saviez-vous?

    - Donc loin du discours pleurnichant du PJD, Erdogan a pu s’authentifier, malgré les difficultés, comme étant l’homme fort et puissant qui a fait entrer la Turquie dans le club des 20 pays les plus riches grâces à des méga-projets d’infrastructures.

    Encore plus, l’histoire des deux pays résume logiquement les facteurs clés de succès de la réussite de l’AKP et de l’échec du PJD : Historiquement, sur les reliques des décombres fumants de « l’Ottomanisme », les turcs ont toujours été, à la quête d’un chef, d’un leader à l’image de « Mohammed El Fateh » qui pourrait remplacer la gloire de Mustapha Kemal Attaturk, chef éternel, « père des turcs », héros de l’indépendance, chef d’Etat réformateur et fondateur de la Turquie moderne, mais qui a entraîné son pays dans un mouvement forcé vers l’Occident. Car, sous le triptyque « Nationalisme- laïcisme -Modernisme » Mustapha Kemal a fait table rase du passé en faisant subir à la Turquie une lobotomie qui l’a éradiquée de son identité islamique.

    Par contre, les Marocains n’ont historiquement jamais été à la quête d’un leader politique, leur Chef et Souverain est le Roi, symbole de l’unité de la nation et garant de la pérennité et de la continuité de l’Etat, dont la relation avec le peuple demeure sacrée, et liée par un lien religieux «ALbayaa », avec une légitimité à triple dimension : traditionnelle, historique et constitutionnelle.

    La puissance de cette relation (monarchie /peuple) fut vérifiée à travers un des moments les plus marquants et les plus typiques de l’histoire du Maroc, qui est « La révolution du Roi et du peuple », quand tout un peuple s’est opposé à l’exil de son Sultan le Roi Mohamed V. Les Marocains furent un des rares peuples de la région voir même du monde entier à avoir refusé ce marchandage colonialiste offrant l’indépendance contre l’abandon de la monarchie ou le renoncement à sa légitimité.

    Hespress.ma (extraits)


  • #2

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