je n'ai absolument aucun atome crochu avec Tebboune mais grâce aux ticounes, le personnage me devient sympathique.
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Tebboune reconnait sa déception de ne pas rejoindre les Brics en 2023
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Le Maroc est officiellement demandeur d adhésion aux brics
mais en catimini
Je le sais.depuis ce matin
Même Bensalmane n'a pas osé promettre une adhesion aux Brics : Les richesses et le poids de l'Arabie Saoudite ne sont plus à démontrer lol
Toujours des surprises???
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Le Maroc de la suspicion est toujours présent en coulisse
il n affronte jamais les éventuelles difficultés
Pauvre pays
Le roitelet n a pas le temps de s en occuper
İl serait toujours aux mains du diable des frères criminels azaitarGone with the Wind.........
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Le Maroc de la suspicion est toujours présent en coulisse
il n affronte jamais les éventuelles difficultés
Le roitelet n a pas le temps de s en occuper
İl serait toujours aux mains du diable des frères criminels azaitar
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Nous sommes en 2023
La Russie a effacé les dettes de l'Algérie ( 5 milliards de $ ) et Tebboune gallik qu'il allait participait avec 1,5 milliard de $ avec la possibilité de les retirer quand il veut lol ....
Extrait
Moscou efface la dette d'Alger pour placer ses armes
Poutine tire un trait sur les 4,7 milliards de dollars de créances et réalise son plus gros contrat d'armement.
par José GARÇON
publié le 13 mars 2006 à 20h36
Deux ambitions se sont rencontrées, vendredi, lors de la visite de Vladimir Poutine à Alger : celle de la Russie de retrouver son influence dans le monde arabe, pour se poser en médiateur entre l'Occident et les musulmans, et celle de l'Algérie d'apparaître comme la grande puissance d'Afrique du Nord. Le moyen de ces ambitions se résume aisément : ventes d'armements (russes) pour 7,5 millions de dollars à Alger, dont 3,5 millions d'avions de guerre, notamment 28 chasseurs Sukhoi 30MK, 40 chasseurs Mig 29 SMT, 8 groupes de missiles antiaériens S300 PMU, 40 chars T90... Bref, le plus gros contrat militaire conclu par la Russie postsoviétique.
Pour en arriver là, il aura fallu d'intenses et longues négociations préalables, et trois heures et demie d'entretien en tête à tête entre Abdelaziz Bouteflika et son homologue russe. Des tractations assez dures pour avoir, dit-on, provoqué l'ire de Poutine. Faute d'obtenir un engagement écrit d'Alger d'acheter des armements, celui-ci aurait décidé de ramener sa visite de deux jours à six heures. L'enjeu, il est vrai, était de taille : l'Algérie conditionnait tout achat à l'effacement de sa dette de 4,7 milliards de dollars, contractée du temps de l'Union soviétique.
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encore ce mercenaire de Anouar Malek, après avoir travailler pour l'Arabie Saoudite contre l'Iran et la Syrie ,le voila embauché pour le Maroc contre l'Algérie
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