Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Maroc: Ouahbi : “Nous sommes contre le mariage et le viol des filles mineures”

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Maroc: Ouahbi : “Nous sommes contre le mariage et le viol des filles mineures”

    Il fat vraiment se frotter les eux pour lire un tel article. En ce sens qui de sain d'esprit serait pour le mariage et le viol des filles mineures?

    - Message clair. “Nous sommes contre le mariage et le viol des filles mineures”. C’est le message fort émis par Abdellatif Ouahbi, lors de la réunion du Conseil national du Parti authenticité et modernité (PAM), ce samedi 9 juillet à Salé.

    La chef du parti du Tracteur et ministre de la Justice a ainsi réitéré encore une fois ses positions aussi progressistes que controversées sur les questions de libertés individuelles et des droits de la femme. « Nous sommes avec des droits de la femme complets et globaux. Nous sommes contre le mariage et le viol des filles mineures, et pour la préservation du droit des filles d’aller à l’école. Nous sommes pour l’autonomisation économique et sociale de la femme marocaine », a-t-il affirmé devant les membres de son parti.

    M. Ouahbi a précisé que ces positions “ne sont pas uniquement les siennes, et seront défendues par la coalition gouvernementale qui comprend également le Rassemblement national des indépendants (RNI) et le parti de l’Istiqlal”

    Il a également assuré avoir le “soutien des amis modernistes en dehors du gouvernement, des activistes des droits humains, des forces vives et des acteurs éclairés de différents bords ».


    Ouahbi vs les conservateurs

    Le chef du PAM a assuré ainsi qu’il luttera pour la mise en œuvre effective de ces positions selon « une approche participative, et qu’il assumera sa responsabilité face aux lobbies qui s’opposent à la réforme et au changement, et aux idées rétrogrades destructrices ».

    Cette nouvelle sortie médiatique de M. Ouahbi intervient dans un contexte marqué par le débat autour de la question des droits de la femme et des libertés individuelles dans le cadre da la réforme du Code pénal et du Code de la famille (Moudawan).

    Pour rappel, M. Ouahbi avait déclaré à mainte reprises son projet d’ « interdire le mariage des mineures », ou encore pour le respect des « relations consensuelles », ce qui lui a valu des critiques acerbes de certaines figures et organisations conservatrices.

    Article 19.ma

  • #2
    Reste que l'abrogation du viol ne sera guère aisée au Maroc car il s'agit d'une culture dans ce pays!


    - Réparer des injustices qui sont commises envers celui qu’on a coutume de surnommer le sexe faible commence d’abord par une lutte sans merci contre la culture du viol (on peut saluer au passage ce verdict sévère contre les violeurs de Tiflet), une culture du viol qui s’accompagne d’ailleurs toujours, d’une impunité qui est accordée de facto à l’homme et qui n’est guère évoquée dans la haute société où le troussage des servantes reste bien ancré dans les mœurs.

    Il faut avoir aussi le courage de s’attaquer à des tabous et avoir l’audace de prendre de (simples mesures) administratives pour y mettre fin. On citera pêle-mêle l’interdiction pour une femme (chassée par son mari dans la nuit) de prendre une chambre d’hôtel dans la ville où elle réside, la non reconnaissance de l’enfant né du viol par le père même si l’ADN est positif, l’obligation pour un fiancé d’origine étrangère de prouver son statut de musulman (même s’il est musulman de naissance) s’il veut se marier avec une Marocaine, l’interdiction pour cette même Marocaine d’avoir un livret de famille avec l’inscription de ses enfants nés au Maroc etc.. Il faut aussi punir sévèrement le harcèlement sexuel.

    Le courrier de l'Atlas (extraits)

    Commentaire


    • #3
      Il est vrai que l'islam est un véritable frein à l'évolution des Marocains et ceci à tous les nouveaux. Hormis les Marocains quels autres sujets au monde sont contraints de se courber et baiser la main d'un ivrogne, narcotrafiquant et addictif à la coke comme l'empereur M6?

      - Benkirane part en guerre contre « l’égalité des sexes dans l’héritage » et « l’interdiction du mariage des mineures »

      (...).
      Il a également exprimé son opposition aux appels « à interdire le mariage des filles mineures », affirmant que la question relève de la compétence des juges.

      « Les Marocains n’ont aucun problème en matière d’héritage et ils ne se sont plaints à personne (à ce sujet) », a-t-il déclaré, appelant les PJDistes à ne pas garder le silence sur cette question.

      Atraque frontale et approche démagogique

      Benkirane a attaqué, de manière frontale et démagogique, Le dirigeant du PJD a, la présidente du Conseil national des droits de l’homme (CNDH), Amina Bouayach.

      « Lorsque vous accusez l’islam de féminiser la pauvreté, est-ce que vous comprenez ce que vous dites, ou bien vous prononcez simplement des mots de manière aléatoire? », a-t-il dit à l’adresse de l’ancienne militante des droits humains, considérant son appel à l’égalité dans l’héritage comme étant « une accusation d’injustice envers Dieu et son messager ».

      Concernant le mariage des mineures, Benkirane a estimé que c’est aux juges de décider de la possibilité pour la jeune fille de pouvoir se marier ou non.

      Il s’est également dit étonné de l’opposition de certains aux mariages précoces « sans tenir compte du contexte social et de la situation de chacune des filles concernées », estimant que « toutes les femmes ne sont pas comme Mme Bouayach, en ce sens qu’il y a des familles qui ne trouvent pas, selon lui, de quoi nourrir leurs enfants.

      « Vous vous opposez au mariage des mineurs, mais vous défendez les relations sexuelles hors mariage, même entre des mineurs », a-t-il enchaîné avant d’ajoute r : «Nous ne sommes pas contre les droits des femmes, et s’il y a un appel au dialogue dans le cadre de la charia (loi isamique), nous nous en félicitrons ».

      Article19. ma (extraits).

      Commentaire


      • #4
        Pour les jeunes marocaines, la mentalité arriérée de leur pays est leur "bourreau". Être fille au Maroc, c'est la pire condamnation d'un destin.

        - Au Maroc, la « tragédie » des mariages de mineures

        Si le Code de la famille fixe la capacité matrimoniale à 18 ans, plus de 13 000 dérogations ont été délivrées en 2020. Sans compter les mariages scellés par la simple lecture d’une sourate du Coran, qui ne sont pas reconnus par la loi.

        « J’ai vécu un enfer. Mais le cauchemar est derrière moi », se souvient, la voix tremblante, Nadia*, une Marocaine mariée à 16 ans et qui se reconstruit dans un village reculé du royaume où subsiste le fléau du mariage des mineures.

        « J’ai été mariée à un homme qui a l’âge de mon père », confie Nadia, aujourd’hui âgée de 20 ans, rencontrée chez ses parents à Tamarwoute, un douar de la commune rurale de Tafraouten, sur les hauteurs de l’Anti-Atlas (sud). Un an après son union, l’adolescente a réussi à divorcer de son mari violent. Elle suit actuellement un programme contre l’analphabétisme. « Mon rêve est d’être indépendante, j’encourage les filles du village à faire de même », sourit-elle timidement, visage poupin drapé dans un foulard.

        Le Monde.fr

        Commentaire


        • #5
          La thérapie continue. Un jour tu feras ressortir tout ce que tu as subi. Tu seras délivré une fois pour toute.

          Cela s'est il passé au Maroc?

          Commentaire


          • #6
            Quand on est un sujet
            on est relégué au fin fond de la société

            Libérez vous de l'esclavage royal
            Et emancipez vous
            Gone with the Wind.........

            Commentaire


            • #7
              Il est intéressant ce M. Ouahbi. En tout état de cause, il s'éloigne de la mentalité marocaine arriérée de 227 ans qui autorise le viol et le mariage des gamines à peine pubères.

              - Ouahbi a de même souligné que le parti continue de soutenir les libertés et les droits, en particulier ceux des femmes, notant à ce propos que le PAM s’engage à libérer les femmes marocaines des illusions politiques, à lutter contre la misère et la tutelle, et à leur donner la place qui leur revient et qui leur a été accordée par la religion, les lois et la nature.

              Par ailleurs, le SG du PAM a également adressé un message aux militants du parti, critiquant ceux qui ont abandonné ou fait preuve de surréalisme, ainsi que ceux qui manquaient de sérieux et de responsabilité. Il a défendu les mesures disciplinaires strictes prises par le Bureau politique pour faire face à ces comportements, en faisant référence à l’expulsion d’un parlementaire et à la suspension de trois autres.

              Hespress.ma (extraits)

              Commentaire


              • #8
                Mais c'est invraisemblable qu'un pays comme le Maroc autorise le mariage des filles mineures - pédocriminalité- ainsi que le viol des filles mineurs.

                Le cas marocain doit être unique au monde.




                Commentaire

                Chargement...
                X