Contrairement aux Marocains, les européens se rendent au Maroc pour s'éclater suite au slogan: Maroc: sex,sun and see.
- Le tourisme marocain donne la désagréable impression de ne pas être fait pour le Marocain.
Quand ils programment leurs vacances, la plupart des opérateurs du tourisme marocain filent à l’étranger. Europe, Amérique, Asie… Pourquoi vont-ils si loin? Pourquoi ne sont-ils pas les premiers à profiter des trésors du tourisme marocain, ces fameux «kounouz bladi»?
Réponse: parce qu’ils sont les premiers à savoir que le tourisme marocain coûte trop cher et souffre de certaines tares rédhibitoires. Ils ne sont pas fous. Quand ils veulent s’éclater, et avoir la paix, ils vont à l’étranger, point barre.
(...).
Quand un couple marocain veut faire faire du tourisme local, il doit affronter un autre problème: «l’acte». Partout, on leur demandera l’acte de mariage, la preuve qu’ils sont mariés. En attendant les vérifications, ils sont coupables jusqu’à preuve du contraire. L’hôtelier qui leur fait face a un comportement de policier: il vérifie «l’acte» comme on vérifie l’authenticité d’une œuvre d’art, prêt à bondir au moindre soupçon d’irrégularité.
Ce même hôtelier ferme les yeux devant un couple européen. Comment expliquer un tel traitement?
Le 360.ma (extraits)
- Le tourisme marocain donne la désagréable impression de ne pas être fait pour le Marocain.
Quand ils programment leurs vacances, la plupart des opérateurs du tourisme marocain filent à l’étranger. Europe, Amérique, Asie… Pourquoi vont-ils si loin? Pourquoi ne sont-ils pas les premiers à profiter des trésors du tourisme marocain, ces fameux «kounouz bladi»?
Réponse: parce qu’ils sont les premiers à savoir que le tourisme marocain coûte trop cher et souffre de certaines tares rédhibitoires. Ils ne sont pas fous. Quand ils veulent s’éclater, et avoir la paix, ils vont à l’étranger, point barre.
(...).
Quand un couple marocain veut faire faire du tourisme local, il doit affronter un autre problème: «l’acte». Partout, on leur demandera l’acte de mariage, la preuve qu’ils sont mariés. En attendant les vérifications, ils sont coupables jusqu’à preuve du contraire. L’hôtelier qui leur fait face a un comportement de policier: il vérifie «l’acte» comme on vérifie l’authenticité d’une œuvre d’art, prêt à bondir au moindre soupçon d’irrégularité.
Ce même hôtelier ferme les yeux devant un couple européen. Comment expliquer un tel traitement?
Le 360.ma (extraits)
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