Il s'agit indubitablement d'un assassinat prémédité car la phrase " je vais te mettre ne balle dans la tête " est confirmée. La seule énigme à résoudre est de savoir lequel des deux flics-assassins aurait proféré la menace avant de faire: boum!
- FRANCE: Les derniers mots de Nahel: «C’est un fou, il a tiré»
L’adolescent de 14 ans qui était à l’arrière de la voiture de Nahel a livré pour la première fois son témoignage.
Lorsque le jeune Nahel, 17 ans, a été abattu dans sa voiture par un policier, la semaine dernière à Nanterre, deux autres personnes étaient avec lui dans le véhicule. Il y avait un adolescent de 17 ans, à l’avant, et un de 14 ans, à l’arrière. Avant de mourir, Nahel a lâché «C’est un fou, il a tiré» , selon ce dernier.
Le matin du 27 juin, Adam était sur le trajet du collège lorsque Nahel lui a proposé de l’emmener. Il dit qu’il ne savait pas que Nahel n’avait pas encore 18 ans et pas de permis de conduire.
Il confirme le refus d’obtempérer. Lorsque deux policiers somment Nahel de s’arrêter il refuse, mais sa voiture finira par être prise dans un embouteillage.
«Les policiers ont pointé leurs armes sur Nahel» et l’un d’eux aurait lancé qu’il allait lui mettre une balle dans la tête, raconte l’adolescent. Selon lui, le conducteur aurait ensuite pris «environ trois coups». Son pied aurait alors «lâché le frein, sûrement par panique, en essayant de se protéger».
Le Matic.ch (extraits)
- FRANCE: Les derniers mots de Nahel: «C’est un fou, il a tiré»
L’adolescent de 14 ans qui était à l’arrière de la voiture de Nahel a livré pour la première fois son témoignage.
Lorsque le jeune Nahel, 17 ans, a été abattu dans sa voiture par un policier, la semaine dernière à Nanterre, deux autres personnes étaient avec lui dans le véhicule. Il y avait un adolescent de 17 ans, à l’avant, et un de 14 ans, à l’arrière. Avant de mourir, Nahel a lâché «C’est un fou, il a tiré» , selon ce dernier.
Le matin du 27 juin, Adam était sur le trajet du collège lorsque Nahel lui a proposé de l’emmener. Il dit qu’il ne savait pas que Nahel n’avait pas encore 18 ans et pas de permis de conduire.
Il confirme le refus d’obtempérer. Lorsque deux policiers somment Nahel de s’arrêter il refuse, mais sa voiture finira par être prise dans un embouteillage.
«Les policiers ont pointé leurs armes sur Nahel» et l’un d’eux aurait lancé qu’il allait lui mettre une balle dans la tête, raconte l’adolescent. Selon lui, le conducteur aurait ensuite pris «environ trois coups». Son pied aurait alors «lâché le frein, sûrement par panique, en essayant de se protéger».
Le Matic.ch (extraits)