Il ne fait aucun doute que- très prochainement- les territoires espagnols d'Afrique du Nord vont être envahis de crèves-faim marocains qui n'ont pas d'autres options que de fuir l'enfer marocain ou mourir sur place.
Même la mendicité électronique au Maroc ne suffit plus à nourrir les bouches des damnés marocains. Sacré destin n'est-ce pas?
- Mercredi dernier, 21 juin, la présentation du rapport du forum d’analyse Europa Ciudadana intitulé « Le rôle de Ceuta et Melilla dans l’agenda mondial » a eu lieu à l’Association de la presse de Madrid. Le rapport, qui a été remis en main propre aux participants à sa présentation, a été présenté par le président d’Europa Ciudadana, José Carlos Cano et la présentation a été accompagnée de la célébration d’une table ronde entre trois personnalités de la diplomatie et de la défense telles que l’ambassadeur Javier Rupérez, l’amiral Juan Rodríguez Garat et le lieutenant-général Francisco Gan Pampols.
La table ronde a discuté de questions d’intérêt telles que le changement de position historique de l’Espagne par rapport au Sahara dirigé par le gouvernement de Pedro Sánchez, l’impact de ce changement sur les relations hispano-marocaines et sur la position du Maroc par rapport à la souveraineté espagnole sur les villes autonomes de Ceuta et Melilla, la couverture de la défense de Ceuta et Melilla par les garanties expresses de l’Alliance atlantique en tant qu’alliance politico-défensive ou le soutien de la communauté des nations à la souveraineté espagnole sur les villes autonomes de Ceuta et Melilla.
Bien que je l’aie déjà fait en d’autres occasions, je saisis cette occasion pour remercier, une fois de plus, l’Observatoire de Ceuta et Melilla de l’Institut de la sécurité et de la culture, sous la direction du professeur Carlos Echeverría Jesús, pour l’effort remarquable qu’il déploie pour faire connaître les principaux défis auxquels les deux villes sont confrontées et leur proposer des solutions. Le dernier effort connu et qui est à apprécier est de dénoncer à Google Maps l’inexactitude détectée dans certaines cartes numériques de ladite plate-forme dans lesquelles le caractère international de la ligne de séparation entre l’Espagne et le Maroc dans les deux villes n’est pas reconnu de manière fiable.
Par Fernando Gutíerrez Díaz de Otazu in Melilla Hoy (extraits)
Même la mendicité électronique au Maroc ne suffit plus à nourrir les bouches des damnés marocains. Sacré destin n'est-ce pas?
- Mercredi dernier, 21 juin, la présentation du rapport du forum d’analyse Europa Ciudadana intitulé « Le rôle de Ceuta et Melilla dans l’agenda mondial » a eu lieu à l’Association de la presse de Madrid. Le rapport, qui a été remis en main propre aux participants à sa présentation, a été présenté par le président d’Europa Ciudadana, José Carlos Cano et la présentation a été accompagnée de la célébration d’une table ronde entre trois personnalités de la diplomatie et de la défense telles que l’ambassadeur Javier Rupérez, l’amiral Juan Rodríguez Garat et le lieutenant-général Francisco Gan Pampols.
La table ronde a discuté de questions d’intérêt telles que le changement de position historique de l’Espagne par rapport au Sahara dirigé par le gouvernement de Pedro Sánchez, l’impact de ce changement sur les relations hispano-marocaines et sur la position du Maroc par rapport à la souveraineté espagnole sur les villes autonomes de Ceuta et Melilla, la couverture de la défense de Ceuta et Melilla par les garanties expresses de l’Alliance atlantique en tant qu’alliance politico-défensive ou le soutien de la communauté des nations à la souveraineté espagnole sur les villes autonomes de Ceuta et Melilla.
Bien que je l’aie déjà fait en d’autres occasions, je saisis cette occasion pour remercier, une fois de plus, l’Observatoire de Ceuta et Melilla de l’Institut de la sécurité et de la culture, sous la direction du professeur Carlos Echeverría Jesús, pour l’effort remarquable qu’il déploie pour faire connaître les principaux défis auxquels les deux villes sont confrontées et leur proposer des solutions. Le dernier effort connu et qui est à apprécier est de dénoncer à Google Maps l’inexactitude détectée dans certaines cartes numériques de ladite plate-forme dans lesquelles le caractère international de la ligne de séparation entre l’Espagne et le Maroc dans les deux villes n’est pas reconnu de manière fiable.
Par Fernando Gutíerrez Díaz de Otazu in Melilla Hoy (extraits)
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