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En visite officielle à Laâyoune, le vendredi 23 juin, une délégation du Sénat chilien s’est informée de la dynamique de développement que connaît la ville sur tous les plans, se félicitant de la qualité des infrastructures et des investissements mis en œuvre au niveau de la capitale des provinces du Sud.
Les membres de la délégation du Sénat chilien, conduite par le président de la Commission des relations extérieures, Francisco Chahuán, ont pris connaissance des efforts déployés pour renforcer les infrastructures à Laâyoune, en plus des mesures prises par l’État pour insuffler un nouvel élan de développement, par le biais du nouveau modèle de développement des provinces du Sud lancé par le roi Mohammed VI en 2015.
Dans une déclaration à la presse à l’issue de son entretien avec le wali de la région Laâyoune-Sakia El Hamra, gouverneur de la province de Laâyoune, Abdeslam Bekrate, Francisco Chahuán s’est dit agréablement surpris par le niveau de développement que connaît Laâyoune sur tous les plans, se félicitant de la qualité des infrastructures et des investissements mis en œuvre au niveau de la ville.
Il a aussi réaffirmé la position constante de son pays en faveur du plan d’autonomie proposé par le Maroc. «Dans ce contexte, la Commission des relations extérieures au Sénat chilien vient soutenir la position ferme de l’État du Chili qui unit sa voix à celle du Royaume du Maroc pour trouver une solution à ce différend», a-t-il assuré.
Pour sa part, la présidente du Groupe d’amitié parlementaire Chili-Maroc au Sénat chilien, Yasna Provoste Campellay, a exprimé l’entière disposition de son pays à renforcer la coopération avec le Maroc, à travers un accord de libre-échange, qui renforcerait non seulement les liens commerciaux mais aussi culturels.
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De son côté, le conseiller parlementaire Ahmed Lakhrif a indiqué que cette visite est de nature à permettre aux membres de la délégation chilienne de s’informer de près du niveau de développement dans les provinces du Sud et de constater de visu le climat de sécurité et de stabilité régnant dans la région.
Le Chili est l’un des premiers pays à avoir soutenu une solution politique au conflit artificiel autour du Sahara marocain, dans le cadre de la souveraineté et de l’intégrité territoriale du Royaume, a rappelé le conseiller parlementaire.
Par Hamdi Yara
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