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Alors que le diplomate devait faire son grand retour au bureau de liaison israélien de Rabat, celui-ci devra encore attendre. En cause, l’énième report du Forum de Néguev, dont la date et le lieu demeurent incertains. Explications.
Dans les arcanes des gouvernements israéliens et marocains, le retour de David Govrin au royaume semble être un dossier épineux, si ce n’est polémique. Selon nos sources, le retour de l’ambassadeur a été reporté. En effet, tant que la tenue de la deuxième édition du Forum de Néguev ne sera pas définitivement actée, David Govrin ne retrouvera pas son poste à Rabat.
Âpres négociations
En coulisses, le cas de ce diplomate suscite des crispations aussi bien en Israël qu’au Maroc. Pour l’instant, et comme l’a annoncé Jeune Afrique, cette grand-messe réunissant l’État hébreu et ses partenaires arabes pourrait avoir lieu en juillet, au Maroc.
Initialement, elle était prévue en mars et a déjà été repoussée quatre fois. Ainsi, certaines sources israéliennes estiment qu’aujourd’hui encore « le flou règne » et que « le sommet pourrait aussi bien avoir lieu le mois prochain que dans deux mois ».
En cause ? La position israélienne sur le dossier sahraoui, le choix de la ville où devrait avoir lieu le sommet – Rabat privilégiant Dakhla –, les tensions israélo-palestiniennes, et le risque sécuritaire. Autant de problématiques sujettes à d’âpres négociations, que le gouvernement israélien souhaite mener à bien avant de renvoyer son ambassadeur controversé.
Jeune Afrique
Dans les arcanes des gouvernements israéliens et marocains, le retour de David Govrin au royaume semble être un dossier épineux, si ce n’est polémique. Selon nos sources, le retour de l’ambassadeur a été reporté. En effet, tant que la tenue de la deuxième édition du Forum de Néguev ne sera pas définitivement actée, David Govrin ne retrouvera pas son poste à Rabat.
Âpres négociations
En coulisses, le cas de ce diplomate suscite des crispations aussi bien en Israël qu’au Maroc. Pour l’instant, et comme l’a annoncé Jeune Afrique, cette grand-messe réunissant l’État hébreu et ses partenaires arabes pourrait avoir lieu en juillet, au Maroc.
Initialement, elle était prévue en mars et a déjà été repoussée quatre fois. Ainsi, certaines sources israéliennes estiment qu’aujourd’hui encore « le flou règne » et que « le sommet pourrait aussi bien avoir lieu le mois prochain que dans deux mois ».
En cause ? La position israélienne sur le dossier sahraoui, le choix de la ville où devrait avoir lieu le sommet – Rabat privilégiant Dakhla –, les tensions israélo-palestiniennes, et le risque sécuritaire. Autant de problématiques sujettes à d’âpres négociations, que le gouvernement israélien souhaite mener à bien avant de renvoyer son ambassadeur controversé.
Jeune Afrique
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