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Le despote Sanchez aura causé des dégâts irrémédiables par sa supercherie relative à la priorité de l'initiative marocaine pour le Sahara Occupé.
Heureusement que ce despote est sur le départ ( Postsanchismo: La guerre pour la succession de Sánchez entre en action)
- Il y a tout juste un an, l’Algérie a joué la carte de la vendetta économique contre l’Espagne en réponse au changement de position intervenu en mars dans le différend du Sahara occidental. Douze mois se sont écoulés au cours desquels les échanges commerciaux entre les deux pays ont été réduits au minimum, à l’exception de la fourniture de gaz naturel faisant l’objet de contrats à long terme. Les hommes d’affaires touchés des deux côtés de la Méditerranée croient qu’un changement de gouvernement en Espagne peut démanteler un blocus commercial qui projette des pertes supérieures à 4 000 millions d’euros.
(...).
Un constat qui est également confirmé par le monde des affaires espagnol. « Nous sommes totalement paralysés. La situation n’a pas changé du tout », affirme Julio Lebrero, président de l’Association des entreprises touchées par la crise avec l’Algérie (AECA), officiellement enregistrée au cours de la dernière semaine après des mois de négociations. Elle est initialement composée d’une vingtaine des 650 compagnies espagnoles qui opéraient en Algérie jusqu’au tour du gouvernement espagnol dans le conflit du Sahara. L’avancée électorale décrétée la semaine dernière par Pedro Sánchez a laissé sans effet les initiatives parlementaires qui tentaient de promouvoir l’aide au secteur.
L'Indépendant.es
Heureusement que ce despote est sur le départ ( Postsanchismo: La guerre pour la succession de Sánchez entre en action)
- Il y a tout juste un an, l’Algérie a joué la carte de la vendetta économique contre l’Espagne en réponse au changement de position intervenu en mars dans le différend du Sahara occidental. Douze mois se sont écoulés au cours desquels les échanges commerciaux entre les deux pays ont été réduits au minimum, à l’exception de la fourniture de gaz naturel faisant l’objet de contrats à long terme. Les hommes d’affaires touchés des deux côtés de la Méditerranée croient qu’un changement de gouvernement en Espagne peut démanteler un blocus commercial qui projette des pertes supérieures à 4 000 millions d’euros.
(...).
Un constat qui est également confirmé par le monde des affaires espagnol. « Nous sommes totalement paralysés. La situation n’a pas changé du tout », affirme Julio Lebrero, président de l’Association des entreprises touchées par la crise avec l’Algérie (AECA), officiellement enregistrée au cours de la dernière semaine après des mois de négociations. Elle est initialement composée d’une vingtaine des 650 compagnies espagnoles qui opéraient en Algérie jusqu’au tour du gouvernement espagnol dans le conflit du Sahara. L’avancée électorale décrétée la semaine dernière par Pedro Sánchez a laissé sans effet les initiatives parlementaires qui tentaient de promouvoir l’aide au secteur.
L'Indépendant.es