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Pourquoi que le Sahara Occidental n'est pas marocain!

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  • Pourquoi que le Sahara Occidental n'est pas marocain!

    " Vous ne pouvez pas 'récupérer' quelque chose qui ne vous a jamais appartenu ".

    A Savoir ni la Mauritanie, ni le Sahara Occidental et les territoires espagnols d'Afrique du Nord, qui historiquement, n'ont jamais été marocaines et ne le seront jamais.

    Le débat est ouvert!

    - Sur la carte du Grand Maroc est venu ajouter -« de manière folklorique », selon certains- les îles Canaries comme revendication territoriale. « Ceuta et Melilla jouissent d’un statut différent. C’est une erreur de tout confondre alors qu’il y a eu des tentatives en ce sens », dénonce Fijan. En ce qui concerne la dernière controverse, l’Observatoire de Ceuta et Melilla a insisté sur le fait que les villes autonomes de Ceuta et Melilla sont espagnoles depuis plus de 4 siècles. « Vous ne pouvez pas 'récupérer' quelque chose qui ne vous a jamais appartenu », ajoutent-ils.

    Pour certains des experts consultés par ce journal, les déclarations qui dépoussièrent le Grand Maroc font partie d’une stratégie lancée par les médias officiels pour cacher les difficultés que traverse le pays, la véritable bombe à retardement pour la stabilité intérieure et les pays frontaliers. À l’absence de plus en plus fréquente de Mohamed VI – l’année dernière, il a passé environ 200 jours hors du pays, selon l’estimation d’un ancien responsable marocain à The Economist – s’ajoute la crise économique, avec une hausse des prix alimentaires supérieure à 18%. « Le patriotisme est un écran de fumée », concluent-ils.

    L'Indépendant.es

  • #2
    toutes les terres spoilées et prise par la force reviendront tot ou tard aux vraies propriétaires cela ne devrait pas tarder avant 2025 inchalla

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    • #3
      ceuta mélilla le persil et le sahara les bousbirs ont du pain sur la planche avec leurs frères sionistes !!!

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      • #4
        - Depuis, la position marocaine, s’adaptant aux évolutions de la situation et aux changements des conjonctures, n’a pas varié de cette ligne. Et c’est peut-être cette acception de la question palestinienne à l’esprit que le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a invité les parlementaires à ne pas se faire « plus Palestiniens que les Palestiniens. » Si tel est le cas, le moins que l’on puisse dire est qu’il l’a exprimée gauchement. Le « Taza avant Ghaza », paraphrase malheureuse du « plutôt la Corrèze que le Zambèze » qui en a découlé, ne peut germer que dans des esprits malformés et mal informés.

        Le parallèle entre la question du Sahara et la question palestinienne est une idée sournoise qui contorsionne les faits et tend vainement à trouver des convergences entre deux genèses différentes et deux causes différentes qui font face à des adversaires différents et qui ne se défendent pas de la même manière.

        Quid.ma (extraits)
        (...).
        Sahara : le modèle catalan

        Après le dernier rapport, très favorable au Maroc, de Kofi Annan, le secrétaire général de l’ONU, l’adoption le 18 juin du nouveau statut d’autonomie élargie de la province espagnole de Catalogne a conforté les dirigeants marocains dans ce qui est désormais « leur » solution pour le Sahara occidental : l’autonomie, toute l’autonomie, rien que l’autonomie. Comme en Catalogne, l’ancienne colonie espagnole aura son statut, son Parlement, son gouvernement local, ses prérogatives judiciaires, administratives et fiscales, le tout coiffé par la couronne royale.
        (...).
        Ainsi, Mohamed Moutawakil, le « Che Guevara » des irrédentistes, est un enseignant aït youssa natif d’Assa, dont le Polisario avait autrefois refusé l’inscription sur les listes référendaires sous prétexte qu’il était originaire du « Maroc incontesté ». Aujourd’hui, la propagande du Front en a fait un héros, tout comme elle s’efforce de récupérer et d’amplifier le moindre acte de dissidence, voire d’incivisme.

        Le dernier en date a eu lieu le 17 juin, non loin de Laayoune. Un véhicule avec cinq personnes à bord tente de forcer un barrage de gendarmerie. Parmi les interpellés, un homme exhibe sa carte du Polisario, sourire aux lèvres. Les gendarmes reconnaissent aussitôt Sid Ahmed Mahmoud Heddi, 30 ans, dit El Kainane (« L’homme qui mord »), l’un des principaux organisateurs de l’Intifada du quartier de Maatallah, à Laayoune, en mai 2005. Condamné à sept ans de prison, il a été libéré au mois d’avril après une grâce royale.

        Et a aussitôt récidivé en fondant une ONG ouvertement séparatiste. El Kainane est donc retourné en prison, ce qui n’est pas forcément pour lui déplaire et alimentera en pétitions les sites Internet du Polisario, avant que le Corcas ne réclame une nouvelle fois sa libération au roi – qui la lui accordera.

        Jeune Afrique (extraits)


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