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Résumé
En Iran, 4 000 travailleurs de l'industrie pétrochimique de la province de Bushehr sont en grève pour réclamer des augmentations de salaires et de meilleures conditions de travail. L'agence de presse officielle IRNA a annoncé que ces grévistes seront remplacés par de nouveaux travailleurs. En 2022, l'Iran a connu plusieurs vagues de grèves, notamment d'enseignants et de chauffeurs de bus, pour protester contre les bas salaires et le coût élevé de la vie. Depuis 2018, l'économie iranienne est touchée par des sanctions imposées par les Etats-Unis, une inflation galopante et une dépréciation record de sa monnaie nationale, le rial. Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a déclaré que certaines manifestations syndicales avaient été utiles au pays et que les travailleurs avaient raison dans certains cas.
En Iran, 4 000 travailleurs de l'industrie pétrochimique de la province de Bushehr sont en grève pour réclamer des augmentations de salaires et de meilleures conditions de travail. L'agence de presse officielle IRNA a annoncé que ces grévistes seront remplacés par de nouveaux travailleurs. En 2022, l'Iran a connu plusieurs vagues de grèves, notamment d'enseignants et de chauffeurs de bus, pour protester contre les bas salaires et le coût élevé de la vie. Depuis 2018, l'économie iranienne est touchée par des sanctions imposées par les Etats-Unis, une inflation galopante et une dépréciation record de sa monnaie nationale, le rial. Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a déclaré que certaines manifestations syndicales avaient été utiles au pays et que les travailleurs avaient raison dans certains cas.